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La reine Margo – 11L’empoisonneuseAssise face à ma sœur dans une grande baignoire double, mes pieds contre ses fesses, j’avais l’impression de me regarder dans un miroir comme d’habitude. On avait toujours tout partagé, le lit, les garçons et nos plus vils secrets de vicieuse, mais jamais la mort d’un homme. Des servantes nues, minces ou rondes, jeune et magnifique agenouillé sur le carrelage de céramique, seins poser sur le rebord du bain, nous lavait a l’éponge, mais en ne riant pas, en ne jacassant pas comme a l’habitude. La décapitation dans la salle du trône a laquelle elle venait d’assister ce matin les avaient quelque peut secouer, ma sœur également. Elle se laissait laver, tête basse, songeuse.-Miroir, miroir, dis-je pour détendre un peut l’atmosphère en lavant la jambe gauche de Jeanne, son pied délicat poser sur ma poitrine, dis-moi qui est la plus belle femme du royaume, moi ou ma sœur ?Les filles sourire enfin, sauf Jeanne.-Alors mes jolies, personne ne répond ?-Celle qui n’a pas mal dans le dos, dit la jeune Lucie avant d’éclater de rire.-WAIS, fit Solange qui derrière moi me lavait les épaules, celle qui ne marche pas pencher comme une vielle de 112 ans.-Très drôle les filles. Pour votre punition vous allez me masser les reins tout l’après-midi.-Quelle terrible punition ma reine. Ce n’est pas juste.-T’était vraiment obliger de faire ça ? demanda Jeanne tout à coup en me fixant, encore sous le choc de l’assassinat du général De LaSalle.-Oui !Les sourires s’évanouirent tandis que les filles trempaient les éponges dans l’eau, avant de les savonner généreusement pour nous frotter.-Ça te laisse indifférente on dirait Margo.-Tu as entendu comme moi ce qu’il rêvait de nous faire ; nous torturer et nous violer et imagine ce qui serait arriver a ta fille et aux autres.Elle soupira longuement.-Hum ! Je comprends, pas facile d’être reine parfois.-Non, surtout en ce moment, en train de me faire laver par de jolies coquines qui se moque de moi. Visiblement, elles n’ont pas peur de perdre la tête celle-la, les vilaines.-Oups, fit Mara, une jolie brune un peut ronde, frottons plus fort les filles, surtout entre les cuisses. A ce moment Marie entra portant une superbe robe neuve et vint parader devant les filles. Ma belle Marie c’était fait deux grosses couettes de chaque côté de la tête et arborait un décolleter profond qui me fit déglutir d’envie.-Merci, Jeanne pour cette belle robe.-Amplement mériter ma belle après la soirée d’hier. Et ma fille ?-A la cuisine, morte de faim, elle mange tout le temps, comme sa tante.Elle me fit un beau sourire moqueur et moi mes gros yeux méchants.-Parlant de bouffe, fit-je en faisant un clin d’œil discret a Jeanne, tu es nommé goûteuse officielle de la reine, Marie.-Quoi ! Moi ?-Oui, il y a une rumeur selon laquelle on voudrait m’empoisonner. Tes gages seront doublés bien sûr, c’est quand même un emploi des plus risqués. Tu pourras t’acheter d’autres belles robes, ma jolie. Es-tu heureuse de la nouvelle ?Marie en resta pantoise un instant, ça, c’était trop drôle.-Ehhh… Bien sûr, sauf que si je suis morte, je ne pourrai pas en profiter de mes belles robes. Pourquoi moi ? Qu’est ce que j’ai encore fait ? Et arrêter de rire vous autres.Les filles gloussaient, elles s’amusaient drôlement en nous lavant toujours.-Encore les chrétiens ? demanda Marie malheureuse se qui fit rire Jeanne aux larmes.-Non, pas les chrétiens, mais ma sœur, dis-je très sérieuse. Elle est pressée d’avoir son héritage et le trône apparemment.Marie soupira, décourager.-Je vois, encore un jeu idiot de jumelle. Bon, vu que mes gages seront doublés, ça me va. Mais tu manges tellement Margo que je vais engraisser comme…-Comme ? Dis-je en fronçant les sourcils.-Eh, un ours ma reine. Dit-elle en riant.-Hum, j’aime mieux ça. On sera plus souvent ensemble la goûteuse, voit le bon côté de la chose.-Plus souvent, dit-elle, 50 fois pas jours oui.Je voulus l’agripper pour l’attirer dans le bain, mais elle se sauva en riant. La bonne humeur était de retour, la vie continuait, mais j’avais toujours mal à mon maudit dos. Merde !Mara la sorcière était penchée sur l’une des grandes tables de lecture de la bibliothèque, jambes écarter, robe relever sur ses reins, gémissant faiblement. Le Rat la baisait, son ventre lui heurtant les fesses avec force en la tenant solidement par la taille et elle ne s’attendait vraiment pas a y ressentir autant de plaisir, n’y qu’il soit aussi bien monté. Elle en avait assez de se sentir surveiller par ce moine vicieux et laid qui passait son temps à se branler en l’espionnant. Elle lui avait donc offert de le laisser la prendre une fois par jour le temps quelle serait la, en lui faisant promettre qu’il cesserait de la surveiller pour qu’elle puisse travailler en paix. Il avait accepté prestement, évidemment.Maintenant, il la secouait rudement contre la table au point ou des piles de vieux livres qu’il lui avait apportés en tombèrent heurtant la lampe de lecture qui chambranla. Mara la rattrapa de justesse avant qu’elle ne mette le feu aux livres et a toute la bibliothèque. Elle gémit plus fort, en tassant du coude des bouquins poussiéreux qui lui avait heurté la tête. Puis, elle se lamenta encore plus fort pour le faire jouir au plus vite. Mais elle dut avouer qu’au bout d’un moment, ça bite longue et grosse fini par lui donner quelque sensation, même pas mal. Dans cette position, sans voir son partenaire, une bite est une bite et celle de son amant lui manquait. Son amant, mais aussi son amoureux. Jamais elle n’avait aimé un homme autant que le Pèlerin, même si elle préférait les filles habituellement, mais, malheureusement, lui ne pensait qu’à cette Reine Margo. Aussi, quand il lui avait demandé de lui faire porter un message, elle lui avait dit qu’elle allait le faire elle même et qu’elle en profiterait pour visiter la fameuse bibliothèque du château. Mais, en réalité, elle était venue pour tuer sa rivale en l’empoisonnant et lui voler quelques richesses au passage, pourquoi pas ? Malheureusement, elle n’en avait pas eu l’occasion avant de se rendre sur le toit avec elle et de baiser avec cette reine au corps si généreux et si doux. Cette femme-là était étonnante, brillante, ouverte d’esprit et surtout, ici, on se royaume, les femmes avaient les mêmes droits que les hommes grâce à elle. Ce qui était fort surprenant étant donné que partout ailleurs en Europe, les hommes étaient les maîtres et les femmes, les esclaves de leurs maris et des rois, la plupart du temps. Maintenant Mara ne savait plus que faire, perdre son amant ou tuer cette reine et risquer que ce royaume devienne comme les autres, gouverner par un con qui enlèverait tout droit aux femmes à moins que ça jumelle ne prenne la relève. Ce qui avait bien failli se produire ce matin lui avait raconté le Rat. Apparemment, Margo avait fait décapiter un général venu avec son armée pour s’emparer de son royaume et même fait tuer un archevêque. Cette femme n’était pas la reine fo-folle qu’elle imaginait, bien au contraire, et cela la rendait nerveuse.Mais le chevalier avait sûrement oublié sa reine pour l’instant et ne pensait plus qu’à baisé ses filles pour assouvir ses fantasmes d’homme, car elle avait ordonné par messager a ça plus vieille de lui faire boire une mixture qui engourdie l’esprit. Plus question qu’il quitte sa maison perdue au fond des bois avant qu’elle ne soit de retour, pour lui annoncer la mort de ça bien-aimer, son cœur ayant lâché, pour ensuite le consoler avec ses filles. Mara avait de très jolies jeunes filles qu’elle avait enlevé encore bébé et qu’elle gardait sous son pouvoir en se prétendant être leur mère. Elle les habituait jeune à dormir avec elle et à lui procurer du plaisir. Jamais elle ne les maltraitait, ce n’était pas utile, elles aimaient tant leurs mères. Elle leur enseignait des langues étrangères, la science de la guérison par les plantes, et le sexe. Elles vivaient en autarcie au fond des bois et s’amusaient bien entre filles jusqu’à l’arrivée du chevalier. Cet homme-là l’avait ensorcelé. Son désir pour lui était si fort qu’elle ne pouvait le contrôler. Et puis, elle canlı bahis voulait connaître enfin le grand amour alors, elle allait tout faire pour le garder auprès d’elle jusqu’à ce qu’elle s’en lasse pour ensuite le livrer au chrétien moyennant forte somme. Il avait tout de même tué un pape.Une claque puissante sur les fesses la ramena à la réalité.-Hum, ah oui…, c’est bon le Rat. Fit-elle tout près de l’orgasme.-T’aimes ce a, hein, sorcière ? Demanda t-il essoufflé en se démenant de plus en plus vite.-Oui, continue, ne vient pas maintenant.Mais il jouit en elle en rallant juste au moment ou elle allait jouir pour ensuite se retirer pour finir de se vider les couilles sur ses reins en frottant sa queue entre ses fesses. Mara soupira, frustrer, le front sur un gros codex. « Le pèlerin, lui, m’aurais fait jouir » se dit-elle déçut. Puis, visiblement très soulager, le moine la remercia et fila, elle put enfin se remettre a l’ouvrage l’esprit en paix, ne se sachant plus surveiller après c’être lavé. Cette bibliothèque contenait tout de même de véritables trésors sur la botanique et aussi et surtout… sur les poisons. Mais, comme elle le savait déjà, les poisons n’étaient pas tous mortels, bien au contraire et certains avaient même des propriétés tout à fait surprenantes. Un très vieux codex traduit en latin d’un ancien texte turc en particulier contenait des recettes fascinantes qu’elle pouvait maintenant recopier dans un petit cahier qu’elle gardait toujours avec elle. L’une de ses recettes, plus que les autres, l’intéressait tout particulièrement, car, ce poison ne tuait pas la victime, mais la plongeait dans un très long sommeil qui pouvait durer des mois, voir des années. Bref, elle avait beaucoup plus de choix qu’a son arrivée et puis, tuer une reine, c’est plutôt risqué, surtout dans son château. Mara sourit méchamment, le cœur léger, ne pensant plus qu’a retourné dans les bras de son amant et de ses filles dont elle avait tuer les parents et sans aucun remords. Elle se faisait inviter pour la nuit, une pauvre vielle voyageuse aux cheveux gris et glissait discrètement de la poudre dans la nourriture des adultes ou une tisane qu’elle leur préparait au souper du soir. Ils mouraient en dormant et à la faveur de la nuit, elle se sauvait alors avec l’enfant. Sa propre mère l’avait enlevé, elle aussi, et en procédant de cette manière, elle lui avait avoué sur son lit de mort. Soudain, la porte de la bibliothèque s’ouvrit, Mara grimaça d’être encore dérangé. -Quoi ? fit-elle en apercevant une jolie petite servante.-La reine souffre du dos atrocement, voyageuse, elle demande si tu pourrais la soulager avec un onguent ou autre chose.Mara retrouva sa bonne humeur en répondant :-Dit lui que je vais lui préparer un remède tout de suite et que je vais lui apporter. Il y a quelqu’un aux cuisines ?-Pas a cette heure madame.-Parfait. Va !Un peu plus tardAprès le bain, Jeanne et les filles m’avaient aidé à venir m’étendre dans mon lit et ce fut si douloureux que j’en avais l’esprit embrouiller. J’avais demandé aussitôt d’aller chercher Mara la guérisseuse, car le moindre mouvement était une véritable torture. Le médecin du village avait donné un onguent à Jeanne contre le mal de dos, mais malheureusement, il n’agissait pas. Après qu’elle m’eut frictionné longuement après m’avoir retourné comme une crêpe, je n’avais ressenti qu’une intense chaleur, mais pas le moindre apaisement de mes douleurs. Comme le Pèlerin m’avait donné rendez-vous ce soir, je ne voulais surtout pas le manquer et encore moins me présentez a lui plier en deux en grimaçant, me soutenant avec une canne. Comme sa venue devait rester encore secrète pour le moment, je ne pouvais le faire venir à mon chevet non plus. Jeanne aurait pu m’accompagner, mais je tenais à être seul avec lui. Je me mourais tant de le revoir que chaque fois que je pensais a mon ancien amant mon cœur martelait ma poitrine. Il m’avait donné rendez-vous, sous terre, sous les étoiles. Et il me tardait d’y être. Tout de même, je me sentais déchiré entre mon amour pour lui qui datait de plus de 10 ans et de mon amour pour la belle Marie. Elle et moi avions prévu d’échanger des vœux en secret, en plus.Je soupirais très fort, quand on frappa a la porte de ma chambre, je dit d’entré croyant que c’était Mara, mais ce fut mon capitaine qui se présenta, exciter comme toujours a la vue de mon corps nu. Je lever juste la tête pour le regarder et ça m’arracha une grimace de douleur.-Tu souffres on dirait Margo ? Dit-il en arborant un beau sourire moqueur.-T’as pas idée, sans cœur.-Même en grimaçant de douleur tu restes la plus belle.-C’est pour ça que tu as préféré baiser ma sœur hier pendant l’orgie.-Je croyais que c’était toi, comme tout le monde. Dit-il en esquissant un sourire qui disait le contraire.-Admettons gredin. Alors, tu as des questions à propos de ce qui s’est passé ce matin ?-Oui, mais en réalité je venais pour une autre sujets, qui pourra attendre un peut, mais pas trop. C’est vrai ce que tout le monde dit, que le Pèlerin est de retour, qu’il serait chez nous et qu’il a tué le pape ?-C’est vrai qu’il a décapité ce porc pour ce venger de l’avoir emprisonner et torturé pendant des années, on peut le comprendre, mais il n’est pas ici.-Doit-on rester en alerte ? Une autre armée risque tel de venir ?-C’est toujours possible, mais peut probable. Rester tout de même vigilant.-Et si cela se produit ?-On avisera. Ça ne va sûrement pas déplaire aux hommes de garder nos belles Vikings ici encore 30 jours.-Ça non ma reine. Bon, pour l’autre sujet, je…A ce moment, Mara apparue à la porte de ma chambre en tenant un bol fumant et mon capitaine se tue en la regardant drôlement.-Ah, Mara, entre.La sorcière s’avança en tenant le bol à deux mains en jetant un drôle de regard à mon capitaine, elle aussi. J’étais en train de me demander ce qu’il se passait entre eux quant au même moment, j’aperçus une silhouette dans le coin de ma chambre, près des grandes fenêtres, derrière mon paravent, que je reconnus aussitôt. L’homme venait d’entrer par une issue secrète que peu de gens connaissaient.-Voila qui devraient te soulager Reine Margo. Dit Mara tout sourire en admirant mes belles rondeurs, ce qui me fit sourire me revoyant dans la serre en train de baiser avec elle. Tu dois tout avaler même si le goût en est pas très bon, même très amer. Mais croit moi, ton mal de dos va vite devenir qu’un douloureux souvenir.Je remarquer que mon capitaine se raidit et voulue s’avancer, mais je lui fis signe de ne pas bouger. -Dommage, ma belle goûteuse n’est pas la. Dis-je en riant. Ah, la voilà justement. Entre Marie et au travail.-Quoi encore, fit-elle en venant s’asseoir près de moi sur le lit en me caressant un sein distraitement, ce qui me donna le frisson comme toujours.-Ton double gage, tu dois le mériter, beauté.-Ah, je croyais que c’était une blague idiote Margo. Je vais vraiment être mieux payé ?-Ça, on verra, surtout si ton coup de langue s’améliore.-Mon coup de langue est le meilleur a la ronde et tu le sais bien. Ça pas l’air ragoûtant cette mixture. Dit-elle en jetant un coup d’œil dans le bol.V’là mon capitaine qui s’avance d’un pas, mais je lui fais de gros yeux. Il semble bouillir d’impatience. La main sur le pommeau de son épée il fixait Mara, mais pourquoi ? Pas facile de réfléchir quand on souffre.Mara elle, eu une drôle de réaction avant de dire :-Tu, tu as une goûteuse, depuis quand ?-Pas longtemps, Marie a osé dire que j’étais grosse et que je passais mon temps a m’empiffrer, alors, dorénavant elle va goûter tous mes plats.-On dit pourtant que tu bouffait des pâtisseries pendant qu’on décapitait le chrétien. Fit Marie tout sourire. Faut le faire quand même.Je lui fit la grimace avant de regarder l’étrange mixture verte moi aussi que Mara me présentait, elle dégageait vraiment une drôle d’odeur.-Seigneur, mais qu’est-ce qu’il y a dans ce bol, un ragoût de grenouille ? Fit Marie en plissant le nez, mignonne comme tout. Pas question que je goûte a ça, oh que non !-Mais non, ce sont des plantes médicinales que j’ai ramassées en forêt, répondit Mara. Goûte avant que ça ne bahis siteleri refroidisse et toi Margo bois au complet, et après, je te frotterai le dos avec un onguent magique. Après ça, tu vas dormir comme un bébé et as ton réveil, ton mal aura disparu.-Moi, je ne boirais pas cette chose peut ragoûtante. Fit Rutack très sérieux tout à coup.-Aller, fit Mara, c’est vrai que c’est peut ragoûtant, mais c’est un médicament, pas un mets raffiner soldat, avale tout d’une seule traite Margo, ça passera mieux. Ensuite je vais te frotter les reins et si tu le désires, peut être te faire vérifier a nouveau si mon coup de langue vaut celui de ta jolie goûteuse quand tu t’éveilleras.Je fixer Mara droit dans les yeux, elle semblait quelque peut nerveuse, même si elle souriait. -Bon, fit Marie en prenant le bol, juste du bout des lèvres alors, qu’on en finisse, j’en mourrai pas.Mais je lui pris un bras pour l’arrêter en disant :-Qu’en pense tu le Rat, devrai-je boire de cette mixture ?Mara me regarda sans comprendre, fronçant les sourcils en regardant derrière elle sans voir personne d’autre que mon capitaine qui semblait très soulager tout à coup, puis le moine qui était caché derrière mon paravent en sortit. Elle ne fut pas très heureuse de le voir apparaître apparemment.-Bien, fit le Rat en prenant le bol des mains de Marie pour en humer l’odeur, vu ce qu’elle consulte comme ouvrage quand elle croit que je ne suis pas la, et ce qu’elle prend comme note dans son cahier que j’ai lu pendant son sommeil cette nuit, moi je n’y toucherais même pas reine Margo. Les poisons de toutes sortes l’intéressent terriblement ce qui n’est pas vraiment étrange pour une sorcière, mais par contre, ça l’est terriblement pour une guérisseuse. Et cette femme est les deux, je n’ai aucun doute là-dessus.-Mais non je… commençai Mara, mais je lever la main pour l’arrêter et dit :-Vois tu Mara, j’ai beaucoup d’ennemies, mon royaume en est pratiquement entouré, alors, quand un étranger ce présente ici pour consulter la bibliothèque ou pour autre chose, je le fais étroitement surveiller. Ce moine, vois-tu, est nul autre que Heras de St-Ange le grand érudit.La sorcière se raidit aussitôt en fixant le moine, intriguer. Visiblement, elle connaissait de réputation Héras qui la salua bien bas en souriant.-Toi, ce n’est pas possible. On te dit grand et beau, noble de nature et d’une intelligence supérieure a la moyenne et la, je ne vois qu’un sale petit moine pervers et laid a faire peur, mais bien équiper coté bite, je l’avoue. Ton seul atout quant à moi.Le moine se contenta de sourire en enlevant son faux nez, ses faux furoncles, ses faux gros sourcils broussailleux et de fausses dents jaunies, se redressant en écartant les épaules, paraissant beaucoup plus grand, plus imposant, et il l’était et très beaux en plus. Un bel homme dans la quarantaine avancer au regard vif et intelligent se tenait maintenant devant nous. Et c’était surtout, un sacré bon comédien et un homme extrêmement intelligent et futé, verser dans l’art de se travestir. La sorcière en fut secouée de voir sa transformation, moi aussi d’ailleurs même si j’avais vu cela très souvent tout comme Marie. C’était quand même toujours stupéfiant. Cet homme a été le plus grand espion du roi de France, il pouvait se faire passé pour a peut près n’importe qui, du simple paysan a un noble italien en passant par une vielle ivrogne ou un moine vicieux. Le rôle qu’il venait de jouer pour pouvoir espionner Mara tranquillement. Par contre, il était le vrai conservateur de nos bibliothèques. Cet homme-là savait tout sur tout ; alchimie, botanique, astronomie, médecine et, surtout, l’âme humaine.-Comme tu le sais sans doute Mara, ce moine et sans nul doute un des esprits les plus aiguiser de notre temps et un espion en disgrâce. Il m’a demandé asile il y a plus de 10 ans et me sert bien depuis tout ce temps. Je lui ai demandé de te garder à l’œil et il a joué les moines obsédés et voyeur comme je lui avais demandé.Héras tendit le bol à Mara.-Je te parie ce que tu veux Reine Margo qu’elle n’osera jamais y goûter. Tu en veux, sorcière ?Mara sembla vieillir de 10 ans subitement, elle pâlit et les larmes coulèrent sur ses joues.-Je me suis bien trompé sur ton compte apparemment. Dis-je dents serrer, sentant la colère monter en moi. Qui t’envoie pour me tuer ?-Que vas t-il m’arriver ? Je vais mourir, c’est ça ?Mon capitaine qui était resté impassible lui mit une main sur l’épaule en disant :-Tu parleras avant, tout le monde parle. C’est de cela que je voulais t’entretenir Margo. Héras est venu me parler d’elle tout à l’heure.-Le pèlerin ne viendra pas Mara, c’est ça ? Lui demandai-je inquiète.-Non, dit-elle.-Alors, comment savait tu pour notre secret a lui et a moi ?-Le message était vrai, il est vraiment chez moi et il va bien, il baise mes filles présentement.-T’es filles, celle a qui tu enseignes ?-Elles sont aussi mes enfants, j’en ai 14.On se regarda tous un peut surprit.-Si tu t’expliquais sorcière, dit Héras intriguer, qu’elles sont tes motivations pour vouloir la tuer, l’argent ?-Non, l’amour, et cela ne l’aurais pas tuer, juste endormie pour… pour quelques semaines. Je trouve que tu es une femme admirable, qui dirige bien son royaume reine Margo. Je ne t’aurais jamais tué.-Quelque semaines, criai-je, est tu folle ? Je serais morte d’inanition de toute façon. Dans quel but, la jalousie, hasardai-je ?-Oui ! Mais on aurait pu te faire boire et même te nourrir comme une enfant.-Tu est donc tomber amoureuse de lui et tu voulais te débarrasser de moi. -Juste le temps qu’il t’oublie.-Tu y serais arriver avec tes mixtures ? demanda Héras. -Oui, mais le procéder est long et toi Margo, comme il ne serait jamais venu tu l’aurais oublié toi aussi, enfin, suffisamment pour ne plus avoir envie de le revoir et lui, serait tombé amoureux fou de moi.Elle pleurait maintenant, c’en était pathétique et son plan n’avait ni queue ni tête. Et v’là Marie qui se lève soudainement et me fixe, furieuse, les larmes aux yeux et file en courant. Merde !-Qu’est-ce qu’on fait d’elle ? Me demanda mon capitaine. Mais c’est Héras qui répondit.-Regardez la, dit-il, elle a l’air d’une femme qui a accouché 14 fois d’après vous ?-Ça non, fi-je intriguer. A quoi pense tu Héras ?-Au nombreux cas enlèvement d’enfant et toujours des filles au berceau qui on eu lieux, loin au nord au fils des années et a chaque fois, les parents et le reste de leur famille furent retrouvés mort sans qu’on ne trouve d’explication. On parla d’intoxication par le pin ou le porc, ou de démon venu cherche de jeunes enfants. Cela a terrorisé la populace. Je n’ai jamais été appelé là-bas pour résoudre ce mystère malheureusement, mais j’aimerais bien le résoudre maintenant. J’aimerais également la ramenez chez elle avec une escorte et soigner pour commencer ton ex-amant, si cela s’avère possible Margo et ensuite voire ce qu’il en est de ces filles.-Seigneur ! Fis-je abasourdit. As-tu quelque chose à dire Mara ?Elle fit simplement non en s’essuyant les yeux.-C’est d’accord Héras, mais assurez-vous qu’elle ne vous file pas entre les doigts ou qu’elle ne se suicide pas avec ces mixtures. Si elle est responsable des enlèvements, menez-la à la justice et comme je connais les chrétiens, elle sera sans doute amenée au bûcher. Rutack, débarrasse-moi le plancher de cette sorcière et fait chercher Marie, ramenez la de force s’il le faut, je dois lui parler à tout prix.Mon capitaine acquiesça et sortit avec Mara après qu’Héras lui ait enlevé son sac qu’il fouilla en disant :-J’ai résolus de difficiles histoires de crime au fil du temps Margo, mais si cette femme-la est se que je pense, se seras une délivrance pour les gens du nord.-Quelle journée ; un général décapiter ce matin sous mes yeux, un archevêque qui lui aussi voulait ma mort et sans doute mort a ce moment, et une empoisonneuse meurtrière, peut être, et jalouse de moi. -Et que j’ai dû baiser pour te servir Margo.-Pof, comme si tu n’en avais pas pris quelque plaisir. Et moi en passant, tu me délaisses depuis quelques semaines.-Pas du tout, on a baiser hier, a la fête.-Laisse moi deviner, l’homme bahis şirketleri a trois jambes c’était toi ?Il rit de bon cœur avant de répondre :-Non, j’ai du talent, mais pas à ce point. Mais, te rappelles-tu du bossu ?-Seigneur, oui ! Mais il baisait ma sœur.-Oh ! Bon, je dois me préparer pour le voyage. C’est dommage, car l’on doit manquer le début du carnaval moi et l’escorte. J’enverrai un messager dès qu’on sera là-bas pour te tenir au courant.-Merci mille fois Héras, sans toi, je dormirais présentement et pour longtemps.-Ou tu serais morte, elle a peut être mentit, mais je n’ai pas le temps de voir se qu’il y a vraiment dans ce bol. Ah oui, tient, dit-il en sortant un petit pot de ses poches, je l’ai fait préparer par le médecin d’après une vielle recette grecque trouver hier. Y paraît que cela fait des miracles. Tu trouveras sûrement un volontaire pour te frotter le dos. A Bientôt ma superbe reine. A, j’y pense, dit, il de la porte, le mot de passe est… Marguerite.-Le mot de passe pour quoi ?-Pour être certain que je baise la bonne jumelle la prochaine fois et que toi tu sais que ces moi l’étrange gars qui te secoue.Je riais aux éclats quand il sortit en refermant la porte. Une fois seul, je réaliser que je ne verrais pas mon beau chevalier de si tôt, si jamais je le revois. Seigneur ! Elle l’avait peut-être empoisonné, mais je savais bien que cet homme-la était dur a tué. Je ne pouvais pas imaginer qu’il avait débarqué chez elle sans trouver anormale cette femme avec 14 filles. Quoique, quand on a passé plus de 10 ans emprisonner, se retrouver dans un harem doit engourdir l’esprit d’un homme sans avoir besoin de mixture.Je soupirer fortement en pensant a Marie tout en regardant l’onguent qu’Héras m’avait laissé et étirer le bras vers le cordon rouge pour appeler une servante, mais impossible de l’atteindre sans souffrir le martyre. Merde !-Et oh ! Il y a quelqu’un dans ce château, criai-je ? Personne pour venir frotter les reins d’une jolie reine toute nue.Rien, le silence total. En désespoir de cause je du me frotter moi même en grimaçant sans doute autant qu’une nonne se passant un crucifix pour ensuite trouver le temps long en espérant que Marie se pointe pour une discutions qui risquait d’être orageuse. J’avais peut- être perdu mes deux amours en même temps. Je mit à broyer du noir découragé par cette journée, mais malgré tout, je finis par m’assoupir.Sous les étoiles, sous la terreDes cris étranges me réveillèrent, en fait c’était des croassements. Surprise j’aperçus des dizaines de gros corbeaux poser un peut partout dans ma chambre qui me regardait, en secouant leurs ailes ou déféquant sur les meubles. Il y en avait partout, même sur le lit et même sur moi, leurs griffes me piquant et me lacérant la peau. Paniquer je voulut les chasser, mais impossible de remuer les bras ou les jambes, je ne pouvais même pas crier, aucun son ne sortait de ma bouche. J’étais paralysé totalement. Les battements de mon cœur grimpèrent en flèche en me demandant ce que cette maudite sorcière de Mara m’avait fait. Ce n’était sûrement pas l’onguent d’Héras, mais qui sait ce que pouvait faire une vieille recette grecque qui datait de 2000 ans, voir plus. En tournant les yeux, je vis que d’autres corbeaux enteraient pas les grandes fenêtres du balcon rester ouvert et que le soir tombait. Un des corbeaux sur mon ventre me picora un mamelon essayant de l’arracher, la douleur fut si intense que des larmes me montèrent aux yeux. Pourquoi personne ne venait à mon secours, tous ces croassements devaient bien s’entendre du couloir. Un deuxième corbeau aida son ami a essayer de m’arracher le mamelon tandis qu’un troisième se posa sur mon sein droit en penchant la tête pour me regarder…. les yeux. Je vis mon visage se refléter dans son œil noir. Je ne pouvais même pas fermer les paupières.« Oh non, mes Dieux, faite que ce soit qu’un cauchemar et que je me réveille en hurlant. »Je respirait si vite que je me sentis étourdit tout en souffrant, car, les corbeaux arrachaient peut a peut mes mamelons pour avaler la chaire sanguinolente. Du sang giclait et coulait sur mes seins ce qui sembla énerver les autres qui s’approchèrent pour essayer de leur en voler des morceaux. Il y en avait de plus en plus maintenant qui se posait sur le lit et sur moi sans doute près pour le curé. Des becs effiler essayait a présent de m’arracher la peau tout partout et même mon clitoris m’infligeant une douleur insoutenable. On me picorait les orteils, les cuisses, les doigts, les oreilles, leurs griffes m’ouvrirent même le ventre pour se repaître de mes entrailles. A chaque coup de griffes, j’avais l’impression qu’on me lacérait au couteau. Soudain, horrifier, je vis celui poser sur mes seins droits se pencher et donner un violent coup de bec dans mon œil gauche. Je ne vis plus que du noir. Un autre, percher sur mon front s’attaqua a mon œil droit. Maintenant aveugle, les deux yeux crevé, je sentis qu’on me les arrachait. J’avais l’impression cette fois que l’on venait de m’enfoncer des barres de fer chauffé au rouge dans la cervelle. La douleur fut si violente que je m’assis dans le lit en hurlant, chassant les oiseaux de toutes mes forces….Une gifle puissante qui me brûla la joue me fit ouvrir les yeux. Je vis Jeanne qui m’agrippait les bras que j’agitais en tous sens pour chasser ces maudits corbeaux… mais ils avaient disparu. Derrière Jeanne il y avait ma nièce et Marie, médusées par mes cris et une dizaine de gardes épée a la main fouillant la chambre et le balcon tout en se rinçant l’œil au passage.-Calme toi, m’ordonna Jeanne, qu’est-ce qui t’arrive, un cauchemar ?-Seigneur, fis-je le cœur battant et le corps couvert de sueur en me calmant, j’ai encore mes yeux ? Ou son les corbeaux ?-Y as pas de corbeaux ici ma vieille. T’as dû rêver.-Il n’y a rien ici Jeanne, dit un soldat en faisant signe à l’autre de sortir.-Ton dos va mieux on dirait ma tante, dit Maria, en se retenant pour ne pas pouffer de rire.Je me laisser tomber sur le dos en me tâtant les mamelons et le clitoris, tout était la.-WAIS, elle va mieux, fit Jeanne tout sourire. Bon, t’arrive à te lever ? Parce que je t’invite ce soir a un spectacle pré carnaval. Une soirée entre sœurs seulement.-Je ne sais pas trop, aide-moi.Je me lever lentement et toute douleur avait disparu. L’onguent de Héras avait fait des miracles, mais je n’étais pas près d’oublier ce maudit cauchemar.-Ouf, ça fait du bien. Quel genre de spectacle ?-Le genre que tu vas aimer, qui vas nous détendre un peut, surtout après la journée que tu viens de passé.-Hum, j’en ai bien besoin, merci ma petite sœur et tu ne sais pas tout, Mara a voulue m’empoisonnée.Je me mis a rire en voyant Jeanne et sa fille me fixer les yeux tout rond, puis je leur raconter. Ensuite j’eus ma discussion avec Marie, seul à seul. Comment expliquer a une personne qu’on l’aime de tout son cœur, et que l’on aime quelqu’un d’autre tout autant. Mais cette discussion se termina de manière fort étrange.-Dire que j’ai failli me faire empoisonner pour des robes neuves, fit Marie tout à coup en regardant le plafond.-Eh.., l’on discutait d’autre chose la, ma jolie.-Hum, ah oui. Je vais devoir te partager probablement. Bof, finalement s’il est bon amant, ça ira. De toute façon je dois déjà te partager avec ta sœur, sans parler de ta nièce qui m’a déclaré son amour…-Hein !-Et Bertrand qui…-Bertrand, c’est qui celui-là ?-Le jeune nouveau garde si bien membré. Il ne cesse de me faire des cadeaux et de grandes déclarations d’amour en me baisant drôlement bien. Je suis si populaire dit dont Margo.Elle me regarda avec l’un de ses sourires ravageurs qui me fis fondre.-Bien, vas falloir que je fasse avec, moi aussi, la jolie menteuse. Nos nuits d’hiver ne seront pas trop froides apparemment. Et nos veux ?-Ça, j’y tiens toujours et toi ?-Plus que jamais, la jalouse.-C’est toi la jalouse.-Viens m’embrasser, dis-je en lui palpant un sein par-dessus sa jolie robe neuve.-Pas question, dit-elle en me tapant la main, plus avant notre mariage. Et elle se sauva en riant.Je me laisser tomber sur mon lit soulager de ne plus avoir mal au dos et que mes histoires d’amour soient réglées, enfin presque, en criant ; garde !Un soldat entra en me reluquant sans vergogne en se prenant la fourche.-Oui ma reine, besoin d’une bite ?-C’est qui Bertrand ?
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