Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
Cynthia et son laitTout a commencé au mois de juillet quand ma soeur, Cynthia, est venue s’installer chez son grand frère après avoir quitter son ami.Cynthia m’appela, désespérée, elle avait décidé de quitter son ami et de partir avec leur jeune fils de 18 mois. Elle ne savait pas où aller et je devinais qu’elle n’osait pas me demander de venir s’installer chez moi. Ce fut donc moi qui lui proposait, reprenant le rôle de grand frère protecteur que je n’avais plus joué depuis bien longtemps ce qui flattait mon ego de solitaire un peu cafardeux d’être toujours seul.Elle débarqua avec son fils par un beau samedi ensoleillé et chaud de juillet. J’allais les accueillir à la gare, où je me surpris à trouver ma soeur très sensuelle. Mais comment faire autrement quand on découvre sa sœur portant une robe d’été fort décolletée et moulant son ventre gracile.Ce furent des embrassades très tendres entre une soeur et un frère. J’éprouvais la plus grand-peine à rester dans mon rôle de frère en sentant ses rondeurs se blottir contre moi. J’avais honte car alors que Cynthia était très émue, moi, sale obsédé, je devais, pour ne pas entrer en érection, faire un effort qui s’avéra vain car au final je sentis ma petite queue de vicieux se dresser dans mon string.Cela me surpris car je n’avais jamais fantasmer sur ma soeur à la différence d’autre femmes de ma famille telle qu’une tante qui chaque été me mettait en émoi pendant les vacances chez les grands parents.Mon attirance pour ma soeur se confirma lorsque sa large croupe se cambra tandis qu’elle s’appliquait, le buste penché en avant, à faire tenir ses affaires dans la malle de la voiture où je les avais placé à la va-vite. Lors de notre arrivé mon excitation crut une autre fois quand étant retourné à la voiture chercher la dernière valise, je passais mon bras autour de sa taille tandis qu’elle tenait le petit blotti contre ses seins maternels. Ma main libre était posée ma main sur sa hanche et j’avais une envie folle de la faire glisser sur ses grosses fesses mais sagement je me contentais de l’embrasser à mon tour ainsi que le petit enfant pour leur souhaiter la bienvenue. Arrivés dans l’appartement sans plus attendre alla se rafraichir avec son fils dans la salle de bains tandis que je préparais son petit déjeuner.A travers la porte je lui demandais ce que prendrais et elle me répondit de façon énigmatique qu’elle avait tout ce qu’il fallait sur elle.Elle apparu dans la cuisine, l’enfant à son cou, vêtue d’une robe encore plus légère qu’à son arrivée en gare. Ses yeux gourmands dévoraient le petit déjeuner que j’avais préparé pour elle ; chocolat, “churros”, tartines grillés avec sa confiture favorite, celle de pastèque.Quant à moi, subjugué par ses formes opulentes, mon regard, aidé par le soleil à contre jour, dévorait ses seins soutenus par un vaillant soutien-gorge blanc mais aussi son ventre enrobé puis ses hanches larges, pour finir par se poser sur sa toison fournie et brune que je devinais à travers le tissu blanc de la robe. N’avait-elle pas mis de culotte? Si mais en voile très léger comme je le vérifias le soir dans la corbeille à linge.Voyant les beignets frais elle me demanda si c’était moi qui les lui avait préparé et à nouveau se blottit contre moi pour me remercier de cette attention. Comme je m’inquiétais à nouveau du petit déjeuner de mon neveu, elle pointa, en arborant un immense sourire, sa lourde poitrine.Sur sa lancée elle dégrafa le haut de sa robe et apparu le soutien-gorge entrevu un instant plus tôt à travers le fin tissu qui, le veinard, enfermait ses deux gros seins pleins de lait, de vrais mamelles maternelles dont elle libéra l’une d’elles pour la donner à la bouche avide de son fils.Voyant l’enfant téter doucement sa mère, je redevins un gentil frère, je débandais émerveillé par ce charmant spectacle de la mère nourrissant l’enfant.Assise devant moi avec l’enfant confortablement installé au creux de son bras elle commença son petit déjeuner, avalant churros et tartines de confiture. Elle me demanda un second bol de chocolat, tout cela était, dit elle, mauvais pour sa ligne mais excellent pour ses courbes que je l’encourageais à entretenir, lui déclarant fraternellement combien elle était belle ainsi, bien plus charmante que ces planches à pain faisant la une des magazines.Je lui promettais, si elle restait avec moi, de faire en sorte qu’elle conserve ses bahis firmaları rondeurs et, même, de m’employer à les développer.Elle éclata de rire et me dit qu’elle n’y voyais aucun inconvénient, son seul plaisir était la nourriture et cela ce voyait à vue d’oeil, faute de pouvoir le constater manuellement (Etienne enfin c’est ta soeur). Ce faisant elle englouti le dernier morceau de beignet et réalisa qu’elle n’en m’avait pas laissé gouter la moindre miette.Elle retira le petit de son sein qui resta nu et émouvant, son large mamelon brun mouillé par la bouche goulue de l’enfant. Elle joua ainsi plusieurs minutes avec son fils provocant de sensuels frémissements de sa mamelle excessivement lourde. Elle recouvrit le sein jusqu’à la tétée suivante que j’attendis avec le plus d’impatience de nous trois. Durant la journée je revis à nouveau Cynthia dénuder ses seins pour les offrir à la bouche de son fils, ne provoquant plus de pulsions sexuelles mais un profond sentiment de tendresse pour cette femme maternelle et ronde, je ne comprenais pas comment son ami avait pu la laisser partirJe n’avais qu’une envie, l’enlacer encore et encore, sentir son corps chaud contre le mien, ce qui par bonheur arriva plusieurs fois cette première journée de retrouvailles.Les jours suivant passèrent sans aucun geste ambigu entre nous, j’admirais sagement son corps ample et charnel évoluant avec une grâce toute féminine et sa fraicheur insouciante.Mais les choses ne pouvait rester en l’état et en milieu de semaine alors que le petit était couché nous évoquions les souvenirs de notre enfance. Nous ne vîmes pas le temps passé et bien qu’il fut déjà tard nous n’avions nulle envie d’aller nous coucher, aidés en cela par la chaleur de la nuit.Cynthia me paraissait toutefois incommodée, mais j’en ignorais la raison qu’elle finit par me révéler ; ses seins étaient gorgés de lait et elle devait les pomper.Je lui demandais si c’était douloureux, ce qui provoqua un grand rire qu’elle étouffa immédiatement de peur de réveiller le petit.Ce n’était pas douloureux, me dit-elle, mais ce n’était guère agréable de tirer le lait avec une pompe, elle n’était pas une vache laitière tout de même.Certes, lui dis-je mais tu t’en approche, tes seins ont atteint une taille vraiment impressionnante.Elle répliqua vertement et conclut en me disant :-Puisque c’est ainsi je te laisserait pas y gouter.Elle prononça ces paroles par simple provocation et je saisi la balle au bond lui promettant de ne jamais plus me moqueur de sa poitrine si elle me laissait la téter. Je m’agenouilla, implorant son pardon de façon théâtrale.-Dans ces conditions j’accepte me lança -t-elle, en extirpant son sein de sa robe dont elle fit glisser la bretelle.Je restais interloqué, je ne pensais pas quel le ferait, mon coeur se mit à battre très fort, mes jambes étaient en coton.Alors, dit-elle qu’attends tu, il ne mord pas tu sais.Je m’approcha et posa ma main sur le sein tant convoité, j’avais du mal à réaliser qu’il m’était offert. Mes lèvres s’approchèrent du large mamelons brun puis dt téton proéminent que je me mis a téter enfin.Elle m’interrompis un instant pour que l’on s’installe confortablement. Elle assise sur le canapé, le haut de sa robe pose sur son ventre les seins entièrement nus et moi allongé, ma tête reposant sur ses cuisses puissantes avec les mamelles juste au dessus des yeux et de la bouche. Nous nous étions départis de nos airs puérils et rieurs pour nous abandonner à un grand moment de tendresse matinée de sensualité car si le sein de Cynthia était nourricier il demeurait aussi charnel. Mes doigts et la paume de ma main prenaient grand plaisir à le caresser et à le palper. Je n’avais jamais caresser un sein aussi volumineux et voluptueux.J’étais simplement vêtu d’un caleçon et je craignais, face aux gestes innocents de ma soeur, d’avoir une réaction qui se serait révélée gênante. Mais il n’en fut rien je me laissais envahir par la douceur de la situation et de sa peau soyeuse de jeune femme. Je lui téta l’autre sein toujours dans un état second, j’oubliais le sexe et je me laissais porter par les gestes maternels de Cynthia pourtant plus jeune que moi. Son lait chaud coulait doucement dans ma bouche, puis dans ma gorge.Je n’avais jamais bu le lait d’une femme et il me paru être extrêmement doux, la situation surréaliste dans laquelle j’étais me transportait dans un monde kaçak iddaa féerique de grosses mamelles. Je ne me contentais pas de téter le sein nourricier de ma soeur, je le caressait suavement, palpant sa lourdeur et sa douceur, ma tête doucement posée sur les cuisses amples de Cynthia.Je poursuivais ma tétée même lorsque le lait se fût tari et Cynthia, me dit doucement que c’était finis pour ce soir.-C’était délicieux petite soeur, et pour tout de dire non seulement j’ai aimé ton lait mais c’était très agréable de me faire ainsi dorloter.Elle sourit, et dit :-Tu n’es qu’un grand enfant malgré tes airs d’ours bourru. Demain, si tu le veux, je te donnerais, à nouveau, mon sein à téter.-Ce sera un grand plaisir pour moi, je t’adore soeurette.Elle me prit dans ses bras me serrant contre sa poitrine restée nue. J”implorais mon vermicelle faisant office de pénis de se tenir à carreau. Il m’obéit et je suis ainsi resté blotti contre les gros seins maternels de Cynthia que j’embrassais fraternellement sur les joues, me serrant, avant de la libérer, encore plus fort contre elle.Lorsqu’elle se leva pour regagner sa chambre et me laisser le canapé convertible sa robe glissa sur ses hanches, Cynthia n’était plus vêtue que sa seule culotte légère qui laissait transparaitre ses poils bruns.-Ho, un peu plus et je reste toute nue dit elle en rajustant sa robe.Le spectacle était définitivement terminé cette fois et elle quitta la pièce en m’envoyant un baiser et en me souhaitant une bonne nuit,Et il est de fait que je dormis comme un bébé, je ne parviens pas à faire raidir mon radis et je m’endormi en songeant aux lourdes mamelles pleines de lait de Cynthia que je pourrais téter à nouveau demain.Les jours suivant, chaque soir je pouvais gouter aux tétons laiteux de ma chère soeur. Je buvais son nectar tout en me laissant dorloter contre ses formes rondes et généreuses.J’appréciais la douceur et la chaleur de ses cuisses sur lesquelles je laissait ma tête et mon cou reposer, sa chaleur envahissait peu à peu tout mon corps, cela me maintenait dans une sorte de torpeur inhibant mes pulsions sensuelles.Mais, il était dit que nous ne pourrions pas demeurer sages longtemps. Le dimanche matin, je me levais tôt car j’avais l’intention d’aller à la plage me baigner avant que la foule de vacanciers n’arrive. Machinalement je gagnais la salle de bains et eu l’agréable surprise d’être accueilli par l’immense fessier de Cynthia. L’espace de quelques secondes je vis sa vallée profonde et sa chair gélatineuse. Cette vision fugace provoqua une érection immédiate et avant qu’elle ne s’aperçoive de mon émoi je refermais la porte en lui présentant mes excuses.J’eus le plus grand mal à oublier ce gros cul moelleux, et lorsque je me baignais je me remis à bander de plus belle. La plage était quasiment déserte et je me laissa aller à me donner du plaisir en me caressant, les yeux fermés je revoyais ses grosses mamelles pleines de lait, ses hanches larges dont le voile de la culotte dissimule a peine la toison fournie et brune, et enfin ce cul divin, un vrai fessier large, rebondi avec se chair gélatineuse. Je l’imaginais en mouvement, les lourds lobes de chairs tressautant… et mon sperme jaillis de ma verge se propulsant dans la mer nourricière.Dans la journée je guettais la moindre vision du corps de Cynthia, ses cuisses, ses seins qu’elle dénuda pour nourrir le petit. Tout se précipita le soir où Cynthia me demanda si je ne voulais pas reprendre ma chambre elle s’installerait sur le canapé. J’insistais pour qu’elle conserve ma chambre.Elle me proposa alors de partager la chambre, après tout nous étions frère et soeur.Et ajouta -t-elle, pour ce qui est de la pudeur je crois que je n’ai plus grand chose à te cacher après ce matin.-Je suis confus tu sais, lui dis-je, je ne t’avais pas entendu te lever, je pensais que la salle de bains était libre.-Je dois te faire une confidence, dit-elle, je t’ai vu moi aussi ce matin quand tu dormais encore.-Ho tu as vu mes fesses toi aussi?-Non, pas exactement tu étais sur le dos… dit elle d’une voix à la fois timide et coquine. J’ai vu ta verge Etienne, c’était beau de te voir nu, ne sois pas gêné.-Cela ne me gêne pas que tu m’aies vu nu mais reste discrète, s’il-te-plait, sur ma particularité…-A quoi te réfères tu? A la petite taille de ta verge?-Pas seulement, surtout à mon unique testicule.-Je n’avais pas remarqué. kaçak bahis Mais rassure toi, rien ne sortira d’ici, je t’aime mon grand frère je ne veux pas que l’on se moque de toi.Je m’avança vers elle et elle se lova dans mes bras pour un câlin . J’adore moi aussi lui confiais-je.Alors, la tétée, ce soir la tétée c’est dans notre chambre?-Oui dans notre chambre lui confirmais-je.J”entourais ses hanches de mon bras pour regagner la chambre, ma main s’attarde innocemment sur le haut de sa fesse.Arrivés dans la chambre nous hésitâmes un instant, nous sentions qu’il se passait quelque chose d’étrange et d’interdit mais que pourtant nous n’avions pas envie d’arrêter.-Et si nous nous mettions tous nus? Viens déshabilles moi-Tu es sure? Tous nus?-On sera plus à l’aise et de toute façon nous dormons nus tous les deux n’est ce pas, alors pourquoi attendre, déshabilles moi.Moi? J’étais étonné par sa demande qui me semblait irréelle.-Oui, toi, termine de me découvrirJe ne sais où je trouva le courage de m’avancer vers elle pour faire glisser sa robe le long de son corps, une fois passées les hanches sur ces hanches, il restait la petite culotte, toujours très fine comme les autre. Je posais, hésitant mes mains sur ses hanches et fis glisser le mince tissu sur ses cuisses puis ses mollet, laissant son abondante toison brune nue.-A toi, maintenant lui dis-je.Elle sembla moins hésitante et sans rien dire posa ses mains sur le caleçon quelle tira sur mes chevilles-Voici les trésors de mon frère, petits mais charmants. Elle me serra très fort contre elle en me disant qu’elle se sentait bien avec moi. Ma verge frotta son pubis dense et moelleux, ces poils formait un nid douillet pour mon petit oiseau, Je me laissai écraser contre ses seins, mes bras autour de son buste et mes mains posées sur le bas du dos mais n’osant pas s’aventurer sur ses grosses fesses blanches.Elle nous conduisit sur le lit où, confortablement installé la tête entre ses cuisses et ses mamelles, je pris son lait chaud. J’aurais tété ses outres laitières indéfiniment, mais je dus me résoudre à cesser de tirer son lait et à m’allonger sagement à côté d’elle pour dormir.Couchée sur le dos ses seins se répandait sensuellement de part et d’autre de son buste. Elle attira mon visage au creux de son aisselle et posa ma tête sur sa poitrine qui était le plus merveilleux oreiller dont j’aurais pu rêver. Je craignais que ma verge lovée contre sa hanche ne manifeste un désir intempestif, mais avant que ses ardeurs ne se réveillent je m’endormis comme un bébé.Le matin, elle se réveilla avant moi et me caressa doucement la tête pour me signifier qu’il était temps de me lever. Je restais le visage collé sur sa poitrine pour me faire dorloter encore un peu.-Tu as bien dormi? Me demanda t elle-Oui, comme un bébé, si tu n’étais pas ma soeur je t’épouserais afin de pouvoir dormir toute les nuits sur ta poitrine-C’est gentil, mais pourquoi faut il que ce soit mon frère qui tombe sous le charme de la grosse Cynthia?-Tu n’es pas grosse, juste ronde lui dis-je pour la flatter, car, en réalité, elle est plus que ronde….Je ne suis pas grosse? En es tu bien sur me dit elle en s’allongeant sur moi. A ton avis combien est ce que je pèse? Insista t elle en se laissant entièrement reposer sur moi-Quatre-vingt? Hasardais-je-PlusQuatre-vingt-dix? Hésitais-je-Plus-Cent? Lançais-je comme un défi-Moins-Combien, dis moi-Quatre vingt dix-huit annonça t elle fièrement-Ha quand même, je pensais pas que tu pesais autant.A cet instant je réalisais effrayé que je bandais contre le ventre de Cynthia-Excuse-moi je suis confus parviens à dire dans la confusion la plus totale.-Il ne faut pas, en fait je suis fière d’être une femme bien en chair-Ce n’est pas cela dont je te parle, laisse moi me dégager, je ne voulais pas tu sais-C’est la nature, ne vas pas contre elle. Et pour être honnête non seulement cela ne me dérange pas mais moi aussi je suis … comment dire… troubléeElle pris ma main pour la guider entre ses cuisses humides.Je me demandais si je ne rêvais pas, était il possible que ma propre soeur me désire. Elle ne me laissa pas le loisir de réfléchir. Elle savait ce qu’elle désirait.-Oublie, que nous sommes frère et soeur, oublie que je suis grosse, oublie que tu as une petite queue et une seule couille. Laisse toi aller, prends moi.Ses lèvres se posèrent sur les miennes et firent disparaître tout scrupule, si tant est que j’en ai réellement eu. Elle nous retourna, je me retrouvais sur elle entre ses cuises largement ouvertes.Prends moi me répéta t elle.Ma verge pénétra la forêt touffue et humide de Cynthia
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32