Féminisé par Lady Zohra

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Féminisé par Lady ZohraLalla Zohra (ou Lady Zohra) était ma maîtresse, mon initiatrice vers mon travestisme, ma féminisation et ma soumission, bien avant mon mariage.Je sonne chez Lalla Zohra avec qui je partage une grande complicité. Je la vois régulièrement car elle me fait vivre mes fantasmes dans des jeux de rôles captivants. C’est une voluptueuse brune marocaine en déshabillé transparent qui m’ouvre la porte. Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel. Sa robe de nuit s’ouvre sur un corset rose qui comprime ses seins généreux. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas fixés par quatre paires de jarretelles qui mettent en valeur ses cuisses fuselées. Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.Après l’échange de quelques mots, elle me demande : – Karim, décris-moi ton fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes !Je lui confie alors que :- Je rêve de devenir une fille dotée d’une somptueuse poitrine, d’une croupe à damner un saint, d’un clito ultra sensible et d’avoir une garde robe pleine de lingerie. J’aimerais aussi qu’une fascinante dominatrice me prenne avec son gode ceinture ou qu’une belle transsexuelle me fasse l’amour toute la nuit.- Beau programme, tu me donnes des idées ! Me dit Zohra d’un air inspiré. – A partir de maintenant, tu es Leila, je m’adresse à toi au féminin et puisque tu es déjà entièrement épilé, je vais t’aider à t’habiller et à te maquiller. Suis-moi dans ma chambre, nous allons choisir tes dessous ! Me dit-elle en me prenant par la taille.Un peu plus tard, ayant achevé ma métamorphose, elle me met devant la glace pour que je puisse juger du résultat. – Regarde-toi ma belle Leila, tu es prête pour l’amour ! Me chuchote-t-elle à l’oreille.Le miroir me renvoie l’image troublante d’une belle de nuit portant tous les symboles de la féminité.Je porte une perruque blonde bouclée, très glamour. Mes yeux allongés par le maquillage sont mis en valeur par de faux cils. Un rouge intense souligne mes lèvres pulpeuses. Un slip ouvert encadre mon petit zizi d’un écrin de dentelle et de soie qui met ma croupe en valeur en dévoilant mon oeillet. Lalla Zohra complète mon harnachement de femme fatale en accrochant huit jarretelles affriolantes à mes bas pour maintenir les coutures bien alignées et orne mes cuisses de deux ravissantes jarretières. Virevoltant devant la glace, j’admire ma silhouette élancée et ma taille sanglée dans mon ensorcelante guêpière qui fait ressortir ma croupe. Puis, je marche dans la chambre pour sentir la tension de mes bas en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour les entendre crisser. Lorsque je me déplace dans la pièce, je mets en valeur mes fesses hautes et bien cambrées qui font généralement kaynarca escort craquer les femmes.Lalla Zohra n’y fait pas exception et me dit en les fixant avec insistance :- Allonge-toi sur le lit ma chérie, je suis impatiente d’explorer ta croupe !Elle me renverse sur le dos et glisse sa main sous ma nuisette en la remontant lentement le long de mes cuisses. Puis, elle la referme sur mes bourses qu’elle caresse avec douceur.Ne pouvant lui résister, j’écarte les jambes pour lui faciliter la tâche.- Je vais te faire craquer ma chérie, me chuchote-t-elle à l’oreille.En souriant, elle continue à saper ma résistance en sentant durcir mon clito sous ses doigts. Puis, écartant la fente de mon slip, elle m’enfonce son majeur dans les fesses.Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance ma glande d’amour tout en continuant à me masturber d’une main experte.J’ai très vite une érection spectaculaire.- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton oeillet est déjà bien ouvert ! Attends-moi un instant, je vais me changer ! Me dit-elle d’un ton prometteur.Un moment plus tard, elle réapparaît vêtue d’une longue cape rouge et de bottes assorties.Elle s’approche de moi en ouvrant sa cape et me dit en souriant :- Je t’ai réservé cette surprise ma chérie ! Je reste sidérée en découvrant le gode ceinture qui est fixé sur ses hanches. Semblant sortir de son ventre, un zob monstrueux se balance lourdement entre ses cuissardes. Son gland épais se prolonge d’une hampe sur laquelle courent de grosses veines apparentes. Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue en latex en doutant fort de pouvoir la prendre dans mes fesses.- Ce gode atteint presque les 30 centimètres. Mais c’est surtout son diamètre qui va te donner du plaisir, rajoute-t-elle en connaisseuse.Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.Puis, avec une étrange lueur dans les yeux, elle s’avance vers moi. – Lève-toi mon ange et remonte ta combinaison, je veux te prendre debout comme une fille des rues !A la fois excitée et inquiète, je la retrousse fébrilement sur mon ventre en dévoilant mes jarretières.Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert. Zohra sourit devant ce spectacle et me plaque contre la cloison de la chambre en m’ouvrant les cuisses avec son genou.Elle relève mes bourses pour dégager l’accès à ma grotte et pousse le gode dans la fente de mon slip. Puis, elle s’enfonce doucement en moi sans me quitter des yeux. Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse embrocher sans résister. Elle me cloue maintenant au mur comme un papillon, en m’embrassant avec fougue.Elle accompagne ses coups de reins de puissantes poussées de ses mains sur mes hanches qui m’empalent littéralement sur le pendik escort pieu.Peu après, elle entame une irrésistible danse du ventre en le tournant lentement dans mes chairs. – Tu as un zob de 800 grammes dans les fesses ma belle ! Me dit-elle en me violant avec une joie non dissimulée.Elle continue à se tortiller vicieusement dans mes reins en frottant son clito contre le gode.Soudée à moi, elle me relève une jambe pour pousser toujours plus loin son énorme zob.Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.L’image que me renvoie le miroir est très excitante : Je suis debout, une jambe remontée sur sa hanche. Ma combinaison, retroussée sur le haut de ma cuisse, laisse apparaître mes bas et mes jarretelles tendues à craquer.Fascinée, je vois mon corps tressauter en cadence à chacun de ses coups de reins.J’ai vraiment l’impression d’être dans la peau d’une fille que l’on plaque contre un mur pour satisfaire ses pulsions.Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Lalla Zohra par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.Me voyant trembler de désir et vaciller sur mes escarpins, elle me dit avec un sourire prometteur :- Je vais t’achever sur mon lit, ma belle !Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance entre ses cuisses.- Écarte les jambes et prends tes chevilles en main pour rester ouverte ! Me dit-elle. Debout face à moi, elle contemple ma rosette qui s’ouvre comme une fleur. J’ai des frissons lorsqu’elle s’approche en tenant d’une main ferme le glaive qu’elle me destine. Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre et c’est avec un regard brûlant qu’elle me pénètre avec une lenteur calculée. Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland démesuré et je laisse échapper un cri lorsqu’il me transperce le ventre.Elle me possède méthodiquement, profondément.- Pousse fort ma chérie, m’ordonne-t-elle. Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber de tout son poids. Je sens alors le pal se ruer dans mes reins.Le souffle coupé, je referme instinctivement mes mains dessus en essayant en vain de freiner sa course.- Ce doit être la première fois que tu prends un tel calibre dans les fesses ?En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour qu’elle accélère ses va et vient.- Puisque tu aimes cela mon ange, je vais déployer tout mon savoir faire ! Me dit-elle.Collée contre moi, elle trouve facilement mon point G et le pilonne avec une habilité diabolique. A d’autres moments, elle tourne vicieusement le gode dans mon fourreau pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.Puis, elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pal qui m’enflamme kartal escort le ventre.Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher de jouir. Mais elle voit à mon souffle court et aux tremblements de ma queue que je ne vais pas pouvoir résister longtemps.Elle me chuchote à l’oreille :- C’est le moment ma chérie, donne-moi toute ta sève !Savourant l’instant, j’essaye de prolonger mon plaisir en contractant mes fesses pour retenir la lave que je sens monter dans mes reins.- N’essaye pas de me résister ! M’assure-t-elle en riant. En effet, pleine de ressource, elle gratte lentement mon zizi avec son ongle.L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.Elle plaque alors son bassin contre moi en poussant le gode à fond dans mes entrailles.Mon sperme, trop longtemps contenu, éclabousse sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues coulées épaisses sur ma guêpière. Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe. Très expérimentée, Zohra presse mon périnée et ma queue en faisant sortir mes dernières giclées de sperme.- Tu avais des réserves ! Me dit-elle en voyant ma lingerie recouverte de foutre.Puis, elle me retire le gode en m’épongeant de son mieux.- A ton tour de me donner du plaisir ! Me dit-elle.Très chatte, elle s’allonge sur moi et m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins contre ma poitrine. Je frotte mes jambes contre les siennes en m’enflammant au contact électrique de ses bas. Mon excitation redouble quand Zohra serre vicieusement mon gland entre ses cuisses gainées de nylon. Excitée par ma superbe érection, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent. Avec l’instinct d’une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe s’ouvre alors sur ma queue en la dévorant avec une rare voracité. Survoltée, Zohra se tortille un long moment sur ma verge et finit par jouir en m’inondant de cyprine. – Je vais te faire découvrir une autre de mes spécialités, me dit-elle enfin calmée.Elle se lève et sort d’un tiroir une poire remplie de lubrifiant.Avec des gestes précis, elle se penche sur moi et m’enfonce la canule dans les fesses en tapissant ma muqueuse d’un gel. Puis, elle me fait asseoir sur le lit, le dos appuyé contre le mur.Avec un regard complice, elle ouvre la fente de mon slip et plonge ses cinq doigts dans ma grotte en jouant habilement du poignet pour les faire rentrer.- Tu es déjà bien ouverte, cela va être facile ma chérie ! Me dit-elle.Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des gémissements de bonheur.Stupéfaite, je vois son poignet s’enfoncer lentement dans mon ventre…Elle me fiste de plus belle en léchant mon zizi jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.S’étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s’empresse de l’avaler rapidement.FIN

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Bon week end à la campagne (part 1)

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Bon week end à la campagne (part 1)Quoi de plus relaxant que d’aller se mettre au vert  durant le week end afin de pouvoir se reposer et reprendre des forces pour la semaine  suivante. L’occasion m’en a été donnée par un couple d’ami qui ont une ferme dans la région de Béni Mellal. Aussitôt ma journée de travail finie  je quitte la ville de Casablanca pour rejoindre au plus vite mes amis qui m’attendent dès le vendredi soir. La chaleur de cette fin de journée me donne envie de me débarrasser de certain vêtement et sentir le vent chaud caresser ma peau; ce fut chose faite une fois le péage de l’autoroute franchi. La joie de profiter qu’un bon week end de repos me donnait la force de faire la route d’un seul trait. Quelques km après le péage je vois au loin un  homme seule qui marchait le long de l’autoroute avec un simple sac a dos sur l’épaule. J’ai ralenti légèrement et en arrivant a sa hauteur pour essayer de le voir et je vis un très beau jeune homme avec un visage souriant qui se retourna en entendant ma voiture arriver vers lui, en tendant le bras et le pousse en l’air pour me signifier qu’il fait de l’auto stop. Pendant quelque secondes je ne savais pas si je devais m’arrêter pour le prendre ou continuer mon chemin en le laissant sur le bord de la route.De façon quasi immédiate dans  ma très courte  réflexion  j’ai mis mon clignotant  et j’ai commencé à freiner; je le voyais arriver en courant vers ma voiture avec un très grand sourire et certainement du soulagement en voyant une voiture s’arrêter enfin. J’ai baissé la vitre passager  et lorsqu’il est arrivé a la hauteur de ma voiture je lui ai demandé ou est ce qu’il allait comme cela. Sa réponse fut immédiate et directe:  “Béni Mellal”. Je lui ai dit que c’était aussi ma destination et qu’il pouvait monter dans ma voiture. Dés qu’il fut installé dans la voiture sur le fauteuil passager il me dit qu’il s’appelle Hicham et qu’il est super content que je me sois arrêté.Etant torse nu dans la voiture je lui ai dit que j’allait mettre un tee shirt et que nous allions reprendre la route. Hicham me dit que si je veux rester torse nu ça ne le dérange pas et si je suis ok lui aussi va se mettre torse nu car il avait chaud aussi. Bien videment je lui ai dit ok très rapidement. En moins de deux secondes après mon ok il avait enlevé son tee shirt et je vis un corps musclé sec  poilu sur le torse et le bas ventre et d’une couleur chocolat ….. je dois avouer que son corps m’a bien évidement donné des envies mais je ne fis rien qui puisse le déranger car je ne le connaissais pas.Nous avons repris la route et Hicham me disait qu’il avait quitté casa pour rejoindre sa famille à Béni Mellal. J’étais surpris de le voir marcher le long de l’autoroute et il me dit qu’une autre voiture l’avait déposé quelques km avant car il quittait l’autoroute. Hicham que me demandais a son tour pourquoi j’allais à Béni Mellal et je lui ai dit que j’allais passer un week end chez des amis. Il me dit qu’il connaissait cette ferme ou je me rendais et que ses parents habitaient à quelques km seulement. Tout en roulant nous avons parlé de différentes choses pendant  plusieurs dizaines de minutes et à un moment donné Hicham me demande :- (Hicham) … tu es marié ? tu  as des enfants ?  – (moi) … non je ne suis pas marié je suis plus tranquille comme ça et toi ? – (Hicham) … non non je suis jeune encore pour me marier- (moi) … tu  as quel âge Hicham- (Hicham) … j’ai bientôt 28 ans  et toi- (moi) … moi j’ai 35ans- (Hicham) … c ‘est bien … alors si tu n’es pas marié, t’aimes les femmes ou les hommes je ne savais pas quoi lui répondre; je me suis dit que d’il me pose la question il n’est pas forcément contre que deux hommes ankara escort bayan puissent se faire plaisir. – (moi) … ben les deux  pas de soucis c’est  du plaisir avec les deux ( je n’osais pas lui dire que je ne suis et que je n’aime que les hommes bien viril et actif)- (Hicham) … moi  aussi j’aime les deux ….. mais je ne suis que actif les hommes ; c’est moi qui baise, je suis l’homme et l’autre mec est comme la femmeEn entendant cela  je senti en moi quelques frissons d’excitation de voir que ce beau mâle était un actif qui aimait baiser passif comme sa femme. cette excitation s’est immédiatement exprimée sur mes tétons qui se sont mis à pointer.- (moi) … ok c’est bien… et tu préfères les femmes ou les hommes – (Hicham) … avant j’aimais que les femmes, mais maintenant pour le plaisir du sexe seulement j’aime trop un vrai passif discretje ne savais plus quoi répondre car j’étais à la fois étonné de sa franchise et très excité de ce qu’il me disait en imaginant de partager des plaisirs avec lui.- (Hicham) …  ça te gène de parler de ça – (moi) … non non pas du tout – (Hicham) … toi tu préfères les femmes ou  les hommes – (moi) … comme toi Hicham, je préfère plus les hommes maintenant en disant cela je me suis dit qu’il aurait envie d’en savoir plus sur ce que j’aime avec un homme, et je ne me suis pas trompé…- (Hicham) … tu aimes être passif avec un mec?- (moi) … oui j’aime tout  comme je te dis – (Hicham) … ok c bien je pense que tu es passif car j’ai vu tes seins bien pointus et souvent les passifs ont des seins comme ça (tout en me disant cela il se mis a me toucher les tétons…. ça m’a donné des frissons et j’ai meme respiré très fort comme pour lui dire que j’aimais cela)- (Hicham) …  j’aime bien tes seins c’est comme les femmes  et bien pointus ( tout en me les caressant et en les faisant rouler entre ses doigts)- (moi) … je pense que c mieux de ne pas faire cela en conduisant Hicham – (Hicham) … arête  toi si tu veux il y  personne sur la route – (moi) … okk je vais voir ou m’arrêterpuis il pris ma main droite pour la poser sur son short… j’ai alors senti qu’il bandait déjà très fort et qu’il avait un sacré bon morceau entre les jambes- (Hicham) … tu aimes ça – (moi) … oui bien sur, tu as une sacré  grosse bite Hicham d’après ce que je sens en la touchant- (Hicham) … oui bien grosse et les couilles bien pleines de jus si tu aimes ( tout en me faisant caresser ses couilles a travers son short)- (moi) … oui je vois ça … tu n’as pas baisé depuis quand – (Hicham) … plus de 3 semaines maintenant et  j’ai trop envie tu me plais beaucoupHicham lâcha ma main  et immédiatement a fait sortir  sa bite et ses couilles en baissant ton short; d’un simple coup d’œil j’ai vu une bonne grosse bite bien raide de couleur marron foncé et qui mouillait déjà d’excitation- (Hicham) …  elle te plait – (moi) … oui beaucoup… tu es hyper bien monté – (Hicham) … 22 cm et bien large tu aimes comme ça – (moi) … oui bien sur – (Hicham) …  j’ai envie que tu me suce , j’ai besoin de me vider les couilles bb comment pourvoir résister a une aussi belle invitation et je me suis mis à la recherche d’un endroit discret pour pouvoir m’arrêter… quelques km plus loin j’ai enfin trouvé l’endroit idéal pour nous arrêter… une fois la voiture stationnée Hicham sorti de la voiture immédiatement :- (Hicham) … viens bb on va se mettre dehors – (moi) …  ok j’arrive ( je sorti de la voiture et me mis devant Hicham qui tenait son zeb entre les mains – (Hicham) … vas y suce moi bien bb Sans dire un moi je me suis mis a genoux devant son énorme bite qui mouillait encorej’ai commencé par lécher sa mouille et passer escort ankara quelques coups de langue sur son gland. j’ai senti sa main sur ma tête qui d’un seul coup m’a fait prendre en gorge profonde toute sa bite entièrement dans ma bouche. j’etais hyper excité de sentir ce mâle me baiser la bouche pendant que moi je m’occupais de mes tétons en les travaillant entre mes doigts. il avait pris ma tête entre ses mains et je le laissais faire des vas et viens comme il voulait – (Hicham) … hummmmm tu  suce bien bb tu aimes la bite  toi ça se voit vas y continue comme ça je n’ai pas pu lui répondre car j’avais la bouche bien rempli mais je l’ai regardé quand il m’a dit cela et je lui ai fait comprendre que ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii j’aime trop ça- (Hicham) … oui vas y bb continues tu es une bonne suceuse comme j’aime; tu aimes le zeb toi hummmm c’est pour toi vas y  bb tu vas avoir ta récompense toujours sans rien dire je suivais les mouvement de se mains. Hicham ne lâchait pas ma tête et lui faisait faire des vas et viens – (Hicham) … tu  es une bonne salope comme j’aime … tu vas bien me vider les couilles qui sont bien pleines de jusQuelle bonheur pour moi de sentir se mâle faire de moi sa salope vide couilles tout en le laissant me baiser la bouche comme il aime …. et au bon d’une dizaines de min Hicham me rentrait sa grosse et longue bite jusqu’au fond de ma gorge a plusieurs reprise et il me dit – (Hicham) … ça y est bb ta va avoir ce que tu aimes , vas y avale  tout  me dit il en gémissant très fortement de plaisirs En appuyant fortement sur la tête  sa bite entièrement dans ma bouche et au fond de ma gorge  j’ai senti les jets puissant de son jus me remplir jusqu’à l’étouffement et je me laissait faire pour qu’il finisse de se vider les couilles tout en l’entendant gémir de plaisirs. Une fois qu’il a eu fini  de jouir il sorti sa bite encore raide de ma bouche et me dit:- (Hicham) … lèche mon lait sur la bite salope Sans dire un moi j’ai fait ce que ce vrai mâle me demandait de faire avec une excitation qui ne descendait pas. Lui aussi avait son zeb toujours dur et suintant de sperme . tout en lui léchant sa bite je malaxais ses couilles- (moi) … hummmmmm tu avais vraiment les couilles bien pleines bb – (Hicham) … oui depuis plus de 3 semaines – (moi) … j’espère que tu te les ais bien vidé – (Hicham) … c’est pas fini bb j’ai besoin d’un autre coup pour bien les vider les couilles  et j’ai envie de ton cul pour bien le remplir aussi- (moi) … hummmmmmmmmmmm tu es chaud comme j’aime tu es un – (Hicham) … oui je sais que tu aimes être bonne salope pour un baiseur ; tu aimes trop le zeb toi et le jus aussi- (moi) … oui beaucoup bb hummmEn me relevant il me dit immédiatement- (Hicham) … tourne toi et mets soi sur le capot de la voiture pour me donner ton cul de salope … je veux le baiser maintenantSans rien dire j’ai fait immédiatement ce qu’il m’avait demandé; j’ai senti immédiatement son zeb toujours raide frotter mon trou ce qui me faisait gémir de plaisirs et d’excitation a l’idée de me faire baiser par ce gros zeb de mâle en chaleur- (Hicham) …  hummm t’as envie que je te baise salope, tu veux que je te défonce bien le cul – (moi) … ouiiiiiiiiiiiiiiiii bb c’est pour toi donne lui ton zeb et vide bien ton jus bien au fond – (Hicham) … t’en fais pas tu vas bien le rendre en entier dans le cul même si tu cris  y a personne ici pour t’entendre et je vais bien te le remplir aussi de mon jus – (moi) … oh oui bb je suis ta salope- (Hicham) … crache dans ma main le jus que tu as dans ta bouche , je vais te baiser avecMême si j’avais déjà tout bien tout avalé  j’ai craché dans sa main et il a commencé a me mouille ankara escort me trou et a faire rentrer un et deux doigts pour le faire ouvrir – (Hicham) … hummmmm j’aime les bon culs de salope comme le tiens, je vais bien te baiser comme tu  aimes – (moi) … ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii bb baise moi comme ta femme  je suis ton vide couilles – (Hicham) … oui je vais bien me vider les couilles  t’en fais pas c garanti J’ai alors senti son gros gland contre mon trou et tout doucement rentrer avec des vas et viens. j’avais l’impression de me faire déchirer le cul tellement sa bite était grosse et dure. je gémissait de plaisirs et de douleurs en même temps mais je le laissais faire tellement l’excitation l’emportait – (Hicham) … c bien bb  tu te fais bien baiser même si tu as mal c ça que j’aime avec une bonne salope comme toi.Il se cramponna à mes hanches et commençait des vas et viens tout doucement pour bien faire ouvrir mon cul- (moi) … vas y bb baise moi bien j’aime ça – (Hicham) … oui bb tu te fais bien baiser hummmmmil a sorti sa bite entièrement de mon cul et me dit en regardant mon trou- (Hicham) … ok c bon  tu es bien ouvert maintenant le vais te défoncer comme tu aimes D’un seul coup a fait rentrer sa bite dans mon cul. J’ai hurlé de plaisirs et de douleurs en même temps  tellement c’était bon. Penché sur le  capot de la voiture je sentait sa bite de me défoncer le trou comme peu  de baiseur m’avaient baisé avant. je gémissait tellement fort que lui aussi se laissait aller a des mots pour me traiter de salope de bon cul a baiser de chienne  de pute …. mots qui m’excitaient aussi. Puis il m’a demandé de me mettre a quatre pattes pour continuer a bien me baiser et a me défoncer le trou en sortant et en rentrant complètement sa grosse bite – (Hicham) … t’aime te faire bien baiser comme une salope bb – (moi) … oh  oui j’aime trop ça vas y continue – (Hicham) … oui je vais bien te remplir le cul aussi- (moi) … hummmmmmmmm ouiiiiiiiiiiiii bb donne moi ton jus bien au fond du culEt dans un énorme râle de plaisir Hicham s’est mis bien au fond de mon cul pour vider ses couilles. En même temps qu’il jouissait je lui tenais les cuisses pour qu’il aille le plus profond possible dans mon cul.- (Hicham) … wawwwwwwwwwwwwww j’ai jamais baisé une salope comme toi … faut se revoir Béni Mellal et à Casa …  Il sorti sa bite de mon cul et me demanda de la sucer pour enlever le sperme encore dessus  et de tout avaler bien sur – (Hicham) … toi tu ne veux pas jouir aussi- (moi) … non pas besoin  tu m’as  donné beaucoup de plaisirs et surtout tu m’as bien fais jouir du cul en me baisant- (Hicham) … hummmmm vraiment tu es une excellente salope comme j’aime bb Tout en restant nu tous les deux après un moment de baises délicieux nous avons allumé une cigarette et repris nos esprit. Jute avant de se rhabiller je lui ai fait des bisous sur son zeb – (Hicham) … si tu continues il va encore avoir envie – (moi) … ok ok J’ai arrêté de faire des bisous sur son zeb  pour nous rhabiller de monter dans la voiture et reprendre la route l’estomac et le cul bien rempli du jus de ce bon mâle baiseur de salope.- (Hicham) … tu sais c la première fois que je baise un passif comme toi- (moi) … lol merci c gentil mais comment ça comme moi- (Hicham) … tu aimes trop le zeb et tu fais tout ce que ton baiseur aime. – (moi) … ok je vois Hicham, mais je suis comme ça – (Hicham) … C’est cool alors faudra se revoir…..Nous sommes arrivés à Béni Mellal plus tard que prévu mais avec tellement de plaisirs pour tous les deux. Hicham m’a laissé ses coordonnées et nous nous revoyons sur casa pour d’aussi bons moments de sexeMes amis étaient inquiet me voir arriver aussi tardivement mais l’excuse facile des embouteillages  la sortie de cas m’a sauvé hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhPour ceux qui en auront envie, à suivre Bon week end à la campagne (part 2) avec Rachid et Youssef (les employés de la ferme)

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Die Verletzte Ehefrau oder der Neubeginn einer Lie

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Babes

Die Verletzte Ehefrau oder der Neubeginn einer LieAlles lief auf eine Trennung hinaus: Maria und ich redeten kaum ein Wort miteinander und vermieden jede unnötige Begegnung in unserem Haus. Wir teilten weder Tisch noch Bett; sie schlief allein im Schlafzimmer; ich hatte mich im Gästezimmer wohnlich eingerichtet. Nur ab und zu kreuzten sich unsere Wege, wenn ich Wäsche oder anderes aus dem Schlafzimmerschrank holte.Der Neue, mit dem Maria ging, hieß Bernt, ein starker Raucher. Wenn sie von ihm zurückkehrte, wehte durch unser Haus ein Hauch von Zigarettenrauch, der verriet, wie nahe sie sich gekommen waren. Bald würde er ganz meinen Platz an Marias Seite einnehmen. Es war nur noch eine Frage der Zeit.Um mich von meinem leidvollen Kummer abzulenken, buchte ich kurz entschlossen eine mehrtägige Boots Reise. Maria zuckte gleichgültig mit den Achseln, als ich ihr mitteilte, dass sie für ein paar Tage ‚sturmfreie Bude‘ hätte und sie es hier ungestört mit ihrem Bernt treiben könnte.Bei meiner Rückkehr befürchtete ich, überall in unserem Haus Bernts Spuren zu begegnen, vor allem dem Rauch seiner Zigaretten. Doch zu meiner Überraschung nahm ich im Haus nur einen Geruch wahr, der mich an Arztbesuche erinnerte.Ich verstaute gerade meine letzten Reisesachen in meinem Zimmerschrank, als Maria in der Zimmertür erschien und mich mit einem freundlichen ‚Hallo! Da bist du ja‘ begrüßte.Die Veränderungen an ihr fielen mir sofort auf: Um beide Arme war ein dicker Verband gewickelt; einer steckte sogar in einer Schlinge um ihren Hals. Ihre Gesichtsmiene verriet, dass sie unter Schmerzen litt.„Wie du siehst, hatte ich Schwierigkeiten“, antwortete sie auf meine Frage, was passiert sei. Sie trat einen Schritt näher an mich heran. „Ich versuche die ganze Zeit, ohne fremde Hilfe auszukommen. Es gelingt mir nur mühsam unter Schmerzen.“„Und Bernt? Warum hilft er dir nicht?“ Maria stieß einen Seufzer aus und starrte grimmig an mir vorbei. Nur bruchstückhaft erfuhr ich, was in meiner Abwesenheit geschehen war: Bernt war nicht allein gekommen, er hatte auch seinen großen Hund mitgebracht. In einem Augenblick, als er und Maria sich offenbar sehr nahe gekommen waren, sah das Tier seinen Herrn in Gefahr, hatte sich auf Maria gestürzt und sie erst in die Arme, dann in die Hand gebissen, bevor er gebändigt werden konnte.Ihr Bernt hatte den Vorfall abgewiegelt, erzählte Maria. Das wäre halb so schlimm. Auch er sei schon gebissen worden. Ein, zwei Tage Ruhe und Pflege zuhause, schon wäre alles vorbei. Bernt hatte danach seinen Hund an die Leine genommen und war nach Hause zurückgekehrt, ohne sich weiter um sie zu kümmern.Maria hatte die Notaufnahme des Städtischen Krankenhauses aufgesucht und war mit verbundenen Armen und vielen guten Ratschlägen entlassen worden. „Sie sind ja verheiratet. Ihr Mann wird Ihnen sicher in intimen Lebenssituationen behilflich sein“, hatte eine Krankenschwester gemeint und sich pflichtbewusst nach der Haftpflichtversicherung Bernts erkundigt, die bei ihm am folgenden Tag vorstellig geworden war, und wenig später auch das städtische Ordnungsamt, das überprüfen wollte, ob Bernt die Vorschriften zur Hundehaltung einhielt.„Du kannst dir vorstellen, wie hilflos ich mich jetzt fühle. Ich schlafe zurzeit in Unterwäsche und mit BH“, erklärte sie. „Mit diesen verbundenen Armen kann ich mich weder richtig aus- noch anziehen.“Ich erwiderte, dass mich ihre missliche Lage nichts anginge. Sie sollte sich an Bernt wenden. Schließlich wurde sie von seinem Hund gebissen.„Bei ihm brauche ich mich nicht mehr zu melden. Der beendet jedes Gespräch sofort, wenn er nur meinen Namen hört.“„Und was erwartest du von mir?“, fragte ich sie unwirsch. „Bitte Toni, hilf mir! Ich möchte endlich wieder in einem normalen Pyjama schlafen.“Widerstrebend folgte ich ihr ins Schlafzimmer. „Zieh mich bitte aus! Oder hilf mir wenigstens dabei!“ Sie stellte sich vor mir auf und schloss abwartend die Augen.Ich riss ihr das T-Shirt über ihren Kopf und zerrte ihre Jeans über ihre Schenkel und Beine zu Boden. Sie ertrug mein grobes Verhalten klaglos und wandte mir danach ihren Rücken zu. „Ich kann den BH hinten nicht öffnen.“ In einem wilden Ruck hakte ich den Verschluss auf und wollte den BH auf einen Stuhl werfen, als ich bemerkte, wie Maria tief atmend langsam vorsichtig ihren nackten Rücken gegen meine Brust neigte, als wollte sie testen, ob ich ihre Berührung duldete oder sie von mir stieß.- Ich hielt einen Augenblick inne, musste mehrmals schlucken und warf bursa escort gedankenversunken einen Blick über ihre Schultern auf ihre Brüste, die ich einst so bewunderte, als wir noch ineinander verliebt waren. Damals genoss sie es, wenn ich erregt mit meinen Händen liebkosend darüber strich und ihre Brustknospen lustvoll zwischen den Fingern rollte, während sie mein Glied abtastete, bis es stahlhart in ihrer Hand lag. Jetzt löste der Anblick ihrer nackten Brüste nur schmerzhafte Erinnerungen in mir aus.Maria drehte sich um zu mir. „Ich will im Pyjama schlafen, ohne was darunter. Das erleichtert mir einiges“, meinte sie und streckte mir den Schoß mit ihrem Höschen entgegen. – Das sollte ich ihr ausziehen.Zusammen mit dem Bund zog ich ihren Slip herunter, über ihren Po und über ihre Schamhärchen, die ich kurz streifte. Ein kurzes Aufzucken ihrer Schenkel zeigte mir, wie nervös angespannt Maria war. „Mein Pyjama liegt dort.“ Sie zeigte auf das Bett.Beim Ankleiden brauchte ich sie nur zu stützen. „Noch etwas?“, raunzte ich sie kurz angebunden an, wandte mich um, als sie schwieg, und verschwand in mein Zimmer.Ich traf Maria am nächsten Morgen in der Küche bei ihrem Bemühen, eine Scheibe Brot abzuschneiden. Ich half ihr und nicht nur dabei. Mühsam ergriff sie die Frühstücksbrote mit einer Hand und führte sie angestrengt zum Mund – ohne meine Hilfe. Mir reichte es, dass wir zum ersten Mal seit Wochen, ja seit Monaten, gemeinsam an einem Tisch saßen.Als ich versehentlich meine Beine darunter zu weit ausstreckte, berührte ich ihre, die sie mit einem Lächeln weiter zwischen meine schieben wollte. Ich zog mich erschrocken zurück, winkelte meine Knie an, damit Maria mich nicht mehr berühren konnte.Bei meiner Rückkehr von der Arbeit ertappte ich mich dabei, dass ich mich gleich nach Maria umschaute. Erst im Schlafzimmer fand ich sie mit geschlossenen Augen auf dem Bett liegend.Ich blickte mich um und bemerkte auf dem Nachtkonsölchen zwei Briefe, die an sie gerichtet waren. Neugierig nahm ich beide zur Hand und las. Im ersten teilte ihr Arzt mit, dass sie nicht schwanger war. Im zweiten bat die Haftpflichtversicherung Gernots um eine Stellungnahme Marias zu dem beigefügten Schreiben, in dem Bernt detailliert den Vorfall mit dem Hund sc***derte: Maria wollte sich mit Bernt ins Schlafzimmer zurückziehen. Sie hätte sich dort nicht mit normalem Sex begnügt, behauptete Bernt in dem Schreiben, sondern, geil wie sie war, ausdrücklich darum gebeten, dass sein Hund zuschaute, wenn sie auf seinem Glied ritt. Als er und Maria zum Höhepunkt kamen, er röhrend, sie lustvoll kreischend, sei das Tier nur seinem Ur-Instinkt gefolgt, sah sein Herrchen in Gefahr und fiel beißend über die splitternackte Maria her, beschrieb Bernt den Hergang der Ereignisse im Bett.Maria schlug plötzlich ihre Augen auf und blickte auf die Briefe. Sie erhob sich mit einem Ruck und riss mir beide aus der Hand. „Dieser Mistkerl will sich nur rausreden. Kein Wort davon ist wahr, Toni.“ Sie setzte sich auf die Bettkante und ließ die Briefe in einer Schublade verschwinden.Wenig später machte sich Maria in meiner Zimmertür mit einem lauten Räuspern bemerkbar. „Toni!“ Fast flüsternd rief sie meinen Namen. “Toni! Ich weiß nicht, wie ich es machen soll.“„Was machen?“, fragte ich kühl.„Ich möchte mich duschen. Aber die Verbände an den Armen dürfen nicht nass werden.“ Sie hatte von einer Krankenschwester den Tipp mit den Plastiktüten erhalten. Das wollte sie probieren, brauchte aber dabei Hilfe – natürlich meine.Ich folgte ihr widerwillig ins Badezimmer, wo sie ihren Bademantel abstreifte und mich bat, ihren Slip auszuziehen. Sie zeigte auf zwei Plastiktüten, die ich über ihre Arme stülpte und mit einem Klettverschluss wasserdicht abband.Während Maria die Dusche betrat, zog ich mir einen Bademantel über, stellte den Wasserstrahl der Duschbrause ein und richtete ihn auf Marias Körper. „Das Haarshampoo steht da!“, erklärte sie und zeigte auf eine Plastikflasche. „Ich gehe morgen sowieso zum Friseur“, erklärte sie, als ich zornig wild mit einer Hand durch ihre kurzen Haare fuchtelte. Klaglos nahm sie meine ruppigen Berührungen hin, auch noch, als ich mit Duschgel über ihre Schultern, über ihren Hals und Rücken, über ihre Brüste und ihren Bauch rieb. Für ihre Schenkel und ihren Schoß dazwischen fühlte ich mich nicht mehr zuständig.Sie schaute mich bittend an: „Ich kann mich auf dem Klo nicht richtig abputzen.“ Sie stieß einen lauten Seufzer aus; ich verrieb mit schnellen bursa escort bayan Strichen das Duschgel über ihre Po-Backen und fuhr einmal kurz durch ihre Po-Furche.Ich verrichtete alles mit dem Anschein großer Unlust und redete mir ein, dabei keinerlei Lust zu empfinden. Doch beim Anblick ihres nackten Körpers, den sie mir darbot, als bräuchte ich nur noch zuzugreifen, keimten erste Erregungen in mir auf: Ich spürte, wie sich mein Glied zwischen meinen Schenkeln aufrichtete. – Peinlich war mir das; ich erklärte meine Hilfe für beendet.Maria stieg aus der Dusche und wartete, bis ich die Plastiktüten von ihren Armen gebunden hatte. Nackt stand sie vor und verfolgte verführerisch lächelnd meinen Blicken, die erregt ihren Körper abtasteten, ihre schmalen Lippen, ihre Brüste, ihre hohen Beine, an denen meine Augen aufwärts bis zu ihren dunklen Schamhärchen kletterten und dort auf ihren fleischfarben Schamlippen verharrten.„Toni! Bitte trockne mich ab!“ Widerstrebend und nur flüchtig strich ich mit einem Handtuch erst über ihre Haare, dann über ihren Körper, als sei das alles für mich eine große Last.„Du lächelst zum ersten Mal seit Langem“, bemerkte sie, als ich am nächsten Morgen am Frühstückstisch auf ihre wuscheligen Haare blickte und mir überlegte, wie teuer es sein würde, wenn gleich der Friseur darin Ordnung schaffte. Ich half ihr beim Frühstück so wenig wie möglich, hielt meine Beine unter dem Tisch angewinkelt, stand schließlich auf und machte mich auf den Weg zur Arbeit.Am Abend bat mich Maria erneut um Hilfe, beim Wechseln ihrer Unterwäsche, beim Ausziehen des Slips, beim Anziehen ihres Pyjamas und des Bademantels. Sie wollte erst zu Bett gehen, wenn auch ich mich in mein Zimmer zurückzog.„Kannst du nicht wieder zu mir ins Schlafzimmer ziehen?“, hauchte sie mir zu. „Das dauernde Hin und Her beim Aus- und Anziehen können wir uns doch ersparen.“ Sie gab mir einen flüchtigen Kuss auf die Wange und wartete meine Reaktion ab. Doch ich ließ sie stehen und verschwand in mein Zimmer.Später allein in meinem Bett wälzte ich mich unruhig von einer Seite zur anderen, bis ich mich überwand, wenigstens einen ersten tastenden Schritt zu Maria ins Schlafzimmer zu versuchen.Ich fand die Tür nur angelehnt, warf einen Blick hindurch auf das Bett, auf dem Maria lag. Sie hatte ihre Pyjamahose über ihre Schenkel heruntergezogen und fuhr mit zwei freien Fingern durch ihre Schamhaare, über ihre feucht glänzenden Schamlippen und ihren Kitzler, der wie eine Knospe hervortrat. Ich vernahm ihr Seufzen, das in ein Wimmern überging, als Maria mit einem Finger tiefer in ihren Schoß eindrang und sie sich stöhnend aufbäumte.Mit pochendem Glied kehrte ich zurück in mein Zimmer, wo ich mich auf das Bett warf und begann, meinen Penis kraftvoll mit einer Hand zu massieren, bis sich die männlichen Säfte in meinem Schoß zu einer gewaltigen Lawine sammelten. Ich überlegte noch, ob ich an Maria oder an eine andere Frau denken sollte, als sich ein gewaltiger Spermastrahl über meine Hand ergoss.Erschlafft sackte ich auf mein Bett zurück und hörte plötzlich Geräusche an der Tür. Ich erkannte Maria, die mich mit großen Augen und einem angedeuteten Lächeln anstarrte.Wir begegneten uns am nächsten Morgen verlegen in der Küche. „Du brauchst dich nicht zu schämen“, flüsterte sie, „mir geht es genauso.“ Sie hielt ihren Blick auf mich gerichtet. „Glaub mir, ich brauche keinen Hund dabei.“ Sie schluckte mehrmals. „Aber dich hätte ich gern wieder bei mir.“ Sie schob ihre verbundene Hand über den Tisch auf meine. „Bist du heute Abend früh von der Arbeit zurück?“ Ich nickte, mehr ungewollt.Als ich am Abend nach der Arbeit das Wohnzimmer betrat, drehte sich Maria vor meinen Augen wie bei einem Tanz und hielt beide Arme in die Höhe. Einer trug einen dünnen Verband, auf dem anderen schützten nur noch zwei große Pflaster die Bisswunden, eine Schlinge brauchte sie nicht mehr.„Ich bin jetzt wieder beweglich, Toni“, rief sie mir zu, blieb vor mir stehen und schaute mich an. „Ich habe eine Pizza für uns gekauft und noch eine Flasche Rotwein gefunden. Ich möchte mit dir gemeinsam auf uns anstoßen.“Ohnmächtig, wie betäubt ließ ich es zu, dass wir uns an diesem Abend bei Pizza und Rotwein gegenübersaßen. Maria trug nur einen Bademantel, darunter noch nicht einmal einen BH. Jedes Mal, wenn sie ein Stück Pizza zum Mund führte, öffnete sich einladend ihr Bademantel und gab den Blick frei auf ihre nackten Brüste. Hatte sich an einem Finger ein Pizzarest görükle escort verfangen, führte sie ihn atemberaubend tief in ihren Mund und leckte ihn schmatzend ab. Ihr Blick verriet mir, woran ich dabei denken sollte.Ich spürte unter dem Tisch ihre Beine, die sie zwischen meine schob. Warm fühlten sie sich an und lustvoll erregend, als sie damit streichelnd an meinen Waden hochfuhr.Maria beugte sich über den Tisch vor zu mir und suchte meine Hand, die sie ergriff. Ich ließ mich widerstandslos von ihr ins Schlafzimmer führen. Sie brauchte nur ihren Bademantel fallen zu lassen, um nackt vor mir zu stehen, löste gekonnt den Gürtel meiner Hose mit nur einer Hand und streifte sie ab. Ich spürte ihre Lippen auf meinem Mund und ihren Schoß, den sie gegen meinen presste. – Nichts hielt mich mehr zurück, als wir gemeinsam auf das Bett sanken.Maria lächelte mich an wie eine Siegerin und beugte sich über meinen Schoß, wo ich schon bald ihre Hände an meinen Hoden spürte und ihre Zunge, mit der sie über den Schaft meines Gliedes strich.„Dein Sperma, dein Samen!“, hauchte sie. Ihre Lippen umschlossen die Krone meiner Eichel, die sie tief in ihrer Kehle verschwinden ließ. Kräftig massierte sie mein Glied, bis ich in zuckend meinen Samen in ihren Mund spritzte. Sie schluckte alles und lächelte mich an, als sie bemerkte, dass mein Glied steif blieb. Mit beiden Händen umfasste sie es. „Jetzt produzieren deine Hoden frisches Sperma, wenn du gleich in mir kommst.“Sie drehte sich auf den Rücken und öffnete ihre Schenkel. Ich zögerte keinen Augenblick, drang zwischen ihre tropfnasse Pforte ein und stieß zu, bis wir zu einem gemeinsamen Rhythmus fanden. Meine Bewegungen wurden kraftvoller, heftiger, fast zornig, als gälte es, die Spuren eines anderen Mannes aus ihrem Schoß zu vertreiben.„Tiefer, so tief du kannst, damit es dein Samen nicht so weit hat“, hauchte sie mir stöhnend zu und kreischte laut auf, als ich mich in einer gewaltigen Flut in sie ergoss und über ihre Brüste erschöpft zusammensackte.- Schneller als meine Gedanken, die sich immer noch mit Marias Untreue befassten, hatten unsere Körper in lustvoller Vereinigung wieder zueinander gefunden. Es war seit Langem die erste Nacht, in der ich an der Seite Marias einschlief.Als ich wenige Tage danach früher als erwartet von der Arbeit heimkehrte, vernahm ich schon im Flur die Stimmen Marias und einer anderen Frau. Beide unterhielten sich angeregt im Wohnzimmer.„Ich hatte gedacht, von Bernt schnell schwanger zu werden. Dann hätte es kein Zurück mehr gegeben, weder für ihn noch für mich“, hörte ich Maria. „Ich hatte Zwei bis Dreimal in der Woche Sex mit ihm und in allen erdenklichen Varianten. Aber die Chemie zwischen uns stimmte einfach nicht. Mein Körper hat sich gegen diesen Raucher gesträubt, und sein Hund hat das bestimmt gespürt, als er über mich herfiel. “„War er impotent?“, wollte Marias Besucherin wissen.„Impotent?“, wiederholte Maria. „über haupt nicht der steht one Probleme .“ Ich vernahm das Lachen beider Frauen.„Bei Toni ist das alles ganz anders.“„Wie meinst du das?“„Mein Schoß hat sich unter ihm wie eine Blüte geöffnet, als sei ich nur für ihn geschaffen. Gleich beim ersten Mal, als wir wieder miteinander geschlafen haben, bin ich schwanger geworden.“„Aber ihr seid doch schon so lange verheiratet.“„Ich hatte die Pille viel zu lange genommen bis ich Bernt begegnet bin.“Eine Weile herrschte Stille. – „Liebst du Toni wieder?“ „Das wird er mir nicht glauben, wenn ich es ihm sage. Auf jeden Fall werde ich alles tun, damit er bei mir bleibt – alles!“, hörte ich wieder Marias Stimme. „Wenn er will, gebäre ich ihm eine ganze Fußballmannschaft.“Nach einer Pause vernahm ich wieder die Stimme der anderen Frau. „Sag mal Maria, hast du die Telefonnummer von Bernt oder sogar seine Anschrift?“Maria lachte schallend auf. „Wenn du ihn treffen willst: Er sitzt jeden Samstagnachmittag mit seinem Hund im Stadtcafé ‚Rauchereck‘ und trinkt seinen Cappuccino. Aber sage auf keinen Fall, dass du das von mir hast! Tu so, als hättest du eine Kontaktlinse verloren! Er begleitet dich bestimmt nach Hause und hilft dir auch dort weiter.“ Beide Frauen lachten wieder laut auf.Ich drehte mich im Hausflur um und ließ die Tür geräuschvoll ins Schloss fallen, bevor ich das Wohnzimmer betrat.„Melanie, meine engste Freundin“, stellte Maria ihren Besuch. Wir begrüßten uns flüchtig, wechselten ein paar höfliche Floskeln, bis Melanie aufstand und sich verabschiedete.Maria trat an mich heran und schlang ihre Arme um mich. „Halte mich fest, Toni! Für immer!“ – Ich umarmte sie zögernd und erwiderte zum ersten Mal seit langer Zeit ihre Küsse, zärtlich vorsichtig, als befürchtete ich, etwas zu zerbrechen, was gerade wider zwischen uns heranwuchs.

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Réflexions sur le sexeRéflexions sur le sexeChapitre I – MarikaEn ce mois de novembre triste, gris et froid, j’ai des pensées malsaines, des pensées anciennes, des pensées tristes, grises et froides…Seule dans ma villa, ce matin j’ai posté mes Vacances en Espagne sur xH et j’ai fini le récit de Ambre, cette adolescente timide qui est devenue jeune fille presque dans mes bras et qui, dans ce second volet, devient une femme à travers des rencontres et des expériences de vie…Il me semble avoir refermé une porte. Assise au salon, de mon canapé, j’aperçois la piscine recouverte d’une bâche, qui ne reprendra vie qu’au printemps prochain, un peu comme moi…Autour, les arbustes passent du côté obscur, eux aussi, feuilles qui tombent, qui jaunissent. Et que dure de mon havre de repos, ce coin discret, où je mets matelas, coussins, petite table, pour accueillir mes amies et faire d’autres choses parfois en toute quiétude…J’adore la nature, et le printemps, l’éveil, les fleurs, et je pense à la sève qui circule, qui gonfle les bourgeons et nous donne des idées…En Espagne j’ai connu Claudia, ma dernière copine, avec laquelle j’ai partagé, selon son vœu, nos ébats nocturnes avec deux godelureaux de passage… Intense moment ce dernier soir, dans lequel je me suis lâchée, grâce à elle et à son franc-parler, surtout lorsqu’elle dépassait un certain stade dans le plaisir et l’abandon. Moi qui n’aime que le doux, le tendre ; le malsain et le grossier me répugnent.Dans la bouche d’une femme, les gros-mots sont vulgaires, pire dans un contexte sexuel, dégradant, avilissant…Mais j’ai pris cela comme un besoin de m’extérioriser, de crier à Romain, mon ami depuis près de dix ans, combien mes parenthèses sexuelles sans lui me transforment en une autre femme… Je ne sais pas s’il apprécierait de me voir ainsi et surtout de m’entendre…Oui, j’ai regoûté au sexe pluriel, brut, basique, où la femme n’est qu’un objet, un exutoire pour des besoins physiologiques naturels…J’avais connu cela il y a dix ans, facile, avant de faillir me perdre, mais on m’a aidée et j’étais sortie de là sans trop de dommages, juste mon ego qui en avait pris un coup d’être tombée si bas, tout ça à cause de mon divorce et de ma haine contre les hommes que je voulais punir… Mais je faisais le contraire en devenant leur jouet…Depuis ce temps-là, je n’avais plus connu cet abandon total, l’esprit embrumé par l’alcool et la drogue que l’on me donnait à mon insu…Je me voyais agir, je comprenais que c’était moi, mais ne pouvais qu’accepter ce que l’on me faisait… Les pires humiliations qu’une femme de mon rang, connue et appréciée, puisse subir…Je ne jouissais même pas de leurs sexes qui se plantaient dans tous mes orifices. Je n’entendais pas leurs sarcasmes, ni leurs injures, ils se défoulaient…Mais l’esprit est retors, et en Espagne, emportée par ce groupe, j’ai revécu quelques scènes anciennes, enfouies en moi… Pas les plus dures, mais les plus hard au plan sexuel.Gang-band, fellations, sodomies à la chaîne, Claudia en a eu des traces pendant plusieurs jours, je ne peux pas dire que l’on avait été violées, puisque nous avions accepté le fait d’être partagées, attachées, livrées aux fantasmes des collègues de nos deux amants…Claudia s’est mise à délirer des grossièretés, elle jouissait sans compter, se donnant de tout son être pour la première fois dans ce contexte.Je l’ai suivie, employant ses mots, me sublimant en accomplissant des records, en nombre et en intensité, et en longueur…Ils étaient fourbus, éreintés, même une des épouses avait participé à notre orgie…Je reconnaissais leur respect, voire leur douceur, respect de nos principes, respect de nos corps dont ils n’usaient que pour ce que nous avions défini… Partage du plaisir, et orgie de sexe… Nous avons toutes les deux, joui de chacun, aimé leur passion, leur entrain, comblé leurs désirs…Je repense à ces instants, les yeux dans le vague, je n’en n’ai pas parlé à Romain.Claudia voulait me revoir, il est certain que nous avons été proches dans cette aventure, mais pas longtemps, elle aurait aimé garder le contact… Nous nous sommes téléphoné en ce sens depuis…Claudia est nature, elle était un peu à la dérive après son divorce, mais elle s’en remet à grandes enjambées, et pense désormais, après notre voyage, plus au sexe pour l’aider à oublier son ex…La journée s’étire, moi aussi, je me fais à manger sans trop d’envie, je bois de l’eau, une catastrophe…Claudia m’appelle justement après manger…-Alors tu te traînes ?-Je suis grise de partout…-Oh, ma chérie, je t’ai connu pimpante, et si active…-Oui, certes…-On sort ce soir ? J’ai envie de bouger et tu m’as tant appris, et surtout permis de m’aventurer dans des chemins qui m’étaient inconnus… J’en rêve encore tant c’était intense, et ils étaient finalement très sains et très respectueux, j’ai mis une semaine à effacer leurs traces et mes courbatures…-C’est vrai, nous avons beaucoup donné cette nuit-là… -Et pas mal reçu…-Oh… Oui, je suis d’accord, on dîne et on sort ? Je prépare un truc ici, viens chez moi, je t’envoie l’adresse…Chapitre II – ClaudiaBelle, avec une jupe jaune citron, chemisier fleuri, escarpins rouges, elle glisse vers moi, radieuse…Bavardages autour d’un magret de canard, quelques pommes de terre, glace… Elle apprécie ma cuisine, surtout le Pomerol que j’ai trouvé à la foire au vin…-Tu n’es pas avec ton ami Romain ?-Non, pas cette semaine, il a dû se rendre chez sa fille, je crois…-Vous êtes en froid ?-Pas du tout, mais il a moyennement apprécié mon escapade seule…-Tu fais profil bas ?-Un peu, et je ne suis pas entrée dans les détails des soirées…-Ouh… -Et toi ça va ?-Oui, j’ai apprécié ta présence, je n’aurais pas fait le dixième sans toi…-Tu aurais quand même craqué pour un de ces beaux danseurs ?-Je pense que oui, mais tu sais je suis très timide, mon mari faisait tout, dirigeait ma vie… Je réagis mieux désormais, je me sens mieux dans ma peau… J’ai envie de ressentir encore les frissons du désir… Je me suis surprise à regarder une voisine qui était venue m’emprunter un fait-tout… Elle a mon âge, pas mal du tout, souriante. Elle vit seule aussi mais je ne sais pas encore pourquoi. -Tu as eu envie d’elle ?-Je n’ai pas osé faire des avances, je ne sais pas m’y prendre, j’ai peur d’être maladroite, de vexer.-Tu aimerais t’en faire une amie ?-Je n’ai personne de « désirable autour de moi, maintenant. Oui, j’aimerais connaître une femme comme toi, une amie avec laquelle je serais à l’aise, parler de tout, de nos désirs, être amantes mais sans vivre ensemble… Pouvoir partager nos amants…-Tu veux connaître Romain ?-Oh, non… oui… le rencontrer, oui…-Il baise facile, surtout quand il kiffe la personne… C’est un dragueur hors pair…-Tu le laisserais faire avec moi ?-Bien sûr ce sont nos accords… Libres et libertins… Cela te gênerait ?-Pas du tout après ce qu’on a connu… Il le sait ?-Non, pas dans les détails… Pas envie de me dévoiler.-Je comprends, mais tu as tant joui avec toutes ce bites…-Ouais… Et toi tu as aimé ?-Bien oui mais dans ces conditions, plusieurs hommes, et femmes, ambiance club libertin, bon niveau, que du sexe, de la baise sans prise de tête, recherche du plaisir par le nombre de rapports sexuels engendrés dans la soirée… je dirai près de 50, entre les fellations, les pénétrations vaginales, celles de l’anus, et autres masturbations manuelles… Oui, ils étaient une dizaine…-Tu dois être dans la fourchette… 50 coups de bite, dans le vagin, l’anus et la bouche, plus les masturbations de deux queues tendues et simultanées, celles entre les seins, les éjaculations sur nos ventres et le visage, la femme qui nous broutait en se faisant ramoner par son mari et par d’autres quand il l’a laissée prendre une douche de sperme, tant elle générait leurs libidos, avec son gros cul ouvert… -Je l’ai vue sortir de la chambre avec Mike et Jo… Une douche de sperme… Je m’en souviendrai…-Tu n’as pas honte d’en parler ?-Si, mais pas à toi, tu es devenue une amie avec tout ce partage très intime…-Et puis on a… toutes les deux… Tu l’oublies ?-Non, je le garde sur mon cœur, dans ma mémoire, comme une carte postale, un délicieux souvenir que j’aimerais réitérer…Sa bouche se fait douce sur la mienne, nous roulons dans le canapé rouge de mon salon, elle défait sa jupe jaune, retire son chemisier, je suis nue avant elle, j’avais triché avec ma robe d’intérieur…Je redécouvre ses seins pleins, beaux, fermes et sensibles… Si sensibles que ma main fait ériger ses tétons dans la seconde, et elle pleure comme une chatte, en se trémoussant…-Dis-donc, tu es chaude…-Je te l’ai dit le rêve de toi, tu m’excites de te voir, de t’imaginer avec des hommes…Je suce les tétons et c’est de la folie, elle pleure, tremble, se donne, écartant ses cuisses…-Viens me lécher… J’ai envie de toi…Je caresse avant d’y aller, son ventre, ses seins de nouveau, que je masse tendrement, la serrant dans mes bras… Elle est chatte, se tord, se frotte à moi, ouvre mes cuisses et me masturbe, mon vagin détrempé par ses réactions, son abandon, elle aime…Je jouis de sa langue, nos sexes se trouvent, s’emboîtent, se frottent… Nous montons dans les tours de cette envolée lyrique… Je sens mon vagin délivrer sa source, elle délire sa jouissance…-Oh, oui, viens, frotte, glisse, je sens ta chatte s’ouvrir à moi, c’est un délice, un partage divin, une fusion de nos sens…Elle frotte son sexe contre ma cuisse, contre le mien, il s’ouvre… Elle y plonge ses doigts, je jouis, emportée par ses caresses, par sa tendresse, ses baisers…Elle me reçoit, écartelée, frénétique, mes doigts glissent en cadence, elle gémit, mes doigts frottent son point G… Elle se libère d’un jet puissant qui coule le long de ma gorge, entre me seins, elle le lèche…Elle ne semble pas perturbée par cette fontaine…-Tu as découvert ma source, tu es rare… vas-y régale-toi à me faire jouir…Et, tandis qu’un doigt s’insinue dans mon anus, je la triture et l’envoie au paradis, elle délire, elle se donne, coule de nouveau, écartelée, dans sa nudité, je ne peux me retenir de jouir aussi, et nous crions ensemble cet instant divin où nos orgasmes arrivent ensemble, nous délivrant de notre excitation sexuelle si intense…Entrelacées, enchevêtrées, enlacées, nous nous embrassons tendrement comme deux amoureuses, ivres de plaisir balıkesir escort après l’amour lesbien, abandonnées l’une à l’autre dans la nuit de mon salon…-Tu es merveilleuse… Je t’adore…-Tu es parfaite… Tu avais envie de moi…-J’avais raison d’avoir envie…-Oui, moi aussi sans doute, mais je ne m’en apercevais pas…-J’aime faire l’amour avec toi, tu es la première que je ressens en moi, dans mon ventre, dans mon sexe qui s’ouvre à ta langue, à ta bouche, à tes doigts…-Tu es fusionnelle… Je te ressens vibrer ton plaisir, j’adore cet abandon dont tu fais preuve, une amie…-Je suis ton amie, tu peux me demander ce que tu veux…-Toi aussi, tu deviens mon amie, tu me plais, la femme que tu es me plait…-C’est gentil…-Je ne peux te cacher, je te présenterai à Romain, dès qu’il revient… Il t’aimera comme je t’aime ce soir… Il te fera jouir comme il le fait avec moi… Il aime la douceur, la tendresse de la femme, sait la combler… Tu mérites notre amour, notre tendresse…-Je suis impatiente de le rencontrer…-Je t’aiderai à avoir ta voisine…-Oh, tu es si… Restons ici cette nuit, j’ai envie de la passer dans tes bras… Je crois que je t’aime…-Je suis d’accord, je crois que j’ai une nouvelle véritable amie… Et tu vois, on peut jouir sans sperme…-Vrai, et cette tendresse, ce bien-être que je ressens avec toi est si rare… La nuit est vite passée, et au matin, douche et séparation douloureuse pour Claudia qui fond en pleurs dans mes bras…-Je suis si bien… Dommage que tu ne sois pas libre, enfin comme je l’entends…-Tu m’aurais demandée en mariage ?-Ne te moque pas, oui… Ma vie change depuis que je te connais, à cent à l’heure…-Je te préviens dès que Romain vient ici…Je passe la matinée sur xH, je suis détendue, j’appelle ma fille à Annecy, tout va bien, enfants à l’école, ils sont grands, sérieux, la grande commence à parler des garçons…Je souris, Claudia aussi…Romain m’appelle en fin d’après-midi, tout va bien il est encore à Bordeaux et rentre demain… Il passera samedi si je suis là ce week-end…L’allusion est évidente… je réponds que j’ai ujne surprise pour lui, elle était dans mes bagages quand je suis rentrée d’Espagne, mais il ne l’avait pas mérité à mon retour…Il cherche à savoir quoi, Sangria, cadeau, cuir, alcool ???Je reste inflexible. Je lui dis l’attendre pour 20h00 samedi, je prépare un repas.Surpris, mais beau joueur, il me souhaite bonne soirée…J’appelle Claudia…-Allo ?-Claudia c’est moi, Marika… J’ai une bonne nouvelle, Romain sera ici samedi… -Oh, chouette, tu me gâtes… On est 3 ?-Oui, au début, autant faire connaissance… et s’apprécier…-Tu as raison je dis n’importe quoi.-Tu as avancé avec ta voisine ?-Pas vue depuis l’autre soir, elle ne m’a pas rendu ma cocotte. Tu veux la connaître, comme tu me présentes Romain…-A fond ?-Coquine, je sens que je vais aller réclamer mon accessoire…C’est le lendemain vendredi qu’elle m’appelle juste avant midi…-Tu sais, j’ai vu ma voisine, on a parlé pour faire connaissance, elle est passée me rendre mon bien, elle te connaît…-Ah ? -Du temps où tu organisais des ventes chez toi… Je t’en parlerai de vive voix… Elle a un très bon souvenir… Tu as été sa divorcée modèle quand elle se sentait mal, seule, trompée par son mari. Tu lui remontais le moral avec tes ventes coquines entre lesbiennes…-Oh, alors elle est bien…-Elle vient chez moi tantôt vers 14h00… Elle m’a donné ce rendez-vous quand je lui ai dit qu’on était amies…-Dans le sens de lesbiennes ?-Je crois qu’elle l’a pris comme ça…C’est vite fait, je commande au traiteur le plat principal pour samedi, je ferai une tarte en dessert…Chapitre III – CoraQui est cette ancienne voisine que j’ai perdu de vue, sans doute dans ma débauche de cette époque…Les mamans en quête de nouveauté, les épouses délaissées, les divorcées en jachère, les retraitées solitaires, venaient petit à petit se réchauffer dans mon salon. De quelques-unes au début, il a fallu partager les ventes à domicile, les déléguer. Puis nous avons compris que certaines ventes venaient juste à point éveiller leur libido endormie… Sextoys électroniques, jouets basiques et toute la panoplie des godes et des aphrodisiaques… Les tenues spéciales, et autres vêtements et sous-vêtements plutôt coquins étaient essayés, testés, je faisais un carton en terme commercial, et mon salon devenait un lupanar de première, pour ce que j’ai appelé mes après-midis coquins…Mes voisines aimaient se retrouver entre femmes, les femmes entre lesbiennes, et les lesbiennes renouvelaient leurs stocks, et puisaient dans ce réservoir d’amitiés faciles…J’y ai trouvé pas mal d’amies, d’un soir, à plus sérieux et j’ai abandonné ces réunions en plongeant dans mon calvaire, avec la vengeance activée car j’avais repris le sexe avec les hommes pour me venger… Jusqu’à ma résurrection, justement grâce à une ancienne voisine…Je tape à la porte de Claudia, seule encore…-Tu ne m’avais pas dit que tu venais m’aider, mais j’en suis heureuse…-Cela ne te gêne pas ?-Pas du tout, au contraire. Et ce soir… Je rêve de ton mec…-Oh, doucement… Voyons plutôt cette ancienne voisine, accroc aux objets féminins…-Elle n’a pas parlé de ça !… Qu’est-ce que tu faisais à l’époque ?Je rentre dans les détails, ce que je viens d’aborder, mes frasques sous le ne de mon mari, j’avais trouvé pratique de le tromper chez moi, alors qu’il habitait dans notre ex garage transformé en studio, pour donner le change à Anne et à nos amis. Il croisait mes amies, avait interdiction de venir au premier étage, d’ailleurs, il préférait s’en aller pour draguer à loisir et travailler la journée… Je connus une cinquantaine de femmes, simples curieuses, aventurières, nymphomanes, et cougars en mal de partenaires… D’ailleurs la fin du truc fut l’amenée de garçons dont certaines raffolaient, étudiants pubères, fils de voisines, qui devenaient des proies faciles…Pas de prostitution, ni de dérives sexuelles, c’était bien défini, je virais les imbéciles manu-militari…On sonne, je finis mon verre de jus d’oranges…Une belle femme, bien habillée, superbe coiffure, maquillage… Et dessous ?-Marika !-Cora !La voilà, cette petite bonne femme qui avait échoué dans mon salon, autant pour oublier sa triste vie d’épouse bafouée et sa solitude, que pour découvrir nos jeux lesbiens avec mes amies. Perdue de vue, comme beaucoup, je me souviens d’elle, et de quelques torrides séances privées… Elle savourait sa nouvelle vie avec une de ses voisines…Elle raconte en détail son passé, qui correspond à cela… Claudia boit ses paroles, elle lui sert un peu d’alcool, whisky avec coca, elle se détend, me regarde souvent et demande de mes nouvelles…-Oh, je n’ai pas changé, Anne s’est mariée, mon mari Paul est parti enfin, j’ai divorcé officiel et ai évolué dans mon métier, jusqu’à ma retraite. Là, j’ai connu un homme qui est mon ami depuis 10 ans, Romain… Nous partageons pas mal de choses dont notre indépendance…-Tu as été malade, non ?-Oui, mais c’est Evelyne qui m’a sauvée d’une dépression, j’étais avec elle pendant un an… C’est là qu’on s’est perdues de vue…-Je n’ai jamais osé frapper à ta porte, ni téléphoner… Cela n’allait pas avec mon mari quand je suis venue chez toi me divertir. Cela a empiré, il m’a frappée un soir, il me trompait sans se cacher, puis m’a coupé les vivres, je suis partie avec une de tes clientes, une voisine, avec qui j’étais bien. Elle m’a hébergée quelques temps, puis elle a refait sa vie… Grâce à toi, à ton réseau, je me suis battue et j’ai gagné mon divorce. Cela m’a servi à me sentir bien dans ma peau, revoyant nos ébats et le plaisir qu’on y prenait.Puis j’ai repris une vie normale, j’ai rencontré des hommes, certains biens, d’autres moins, et voilà, je vis seule, dans ma villa, à quelques mètres de toi…Sa robe s’est retroussée sur ses cuisses, belles et fuselées. Claudia, de l’autre côté du canapé me sourit… Je comprends qu’il est temps et que la douce Cora est venue chercher de la compagnie…Je la caresse, elle me sourit, s’avance et m’embrasse…Une main glisse entre mes cuisses, que j’ouvre… Claudia l’embrasse à son tour, tandis qu’elle s’abandonne contre moi… Je défais quelques boutons, libère ses seins majestueux, masse, câline, embrasse et tête…Elle nous vampe, nous caresse, attirée par Claudia dont elle retire le haut… Mes seins sont honorés aussi, libérés, et mes premiers soupirs s’envolent, Claudia s’est agenouillée entre ses cuisses et descend sa culotte…-Venez dans ma chambre, nous serons plus à l’aise et à l’abri des regards…Je termine mon effeuillage, Cora est délicieuse, elle a gardé sa ligne, nous nous allongeons toutes trois et partageons ces instants magiques entre trois femmes, actives, amantes, sensuelles et libérées…J’ai le privilège de regoûter à sa chatte avant Claudia, qui lui offre la sienne sans détour, cuisses écartées devant nous…Elles semblent partager, nous fermons le cercle, Claudia caresse ma vulve et s’y perd, savourant mes délices trempés de désir…Langues habiles, doigts magiques, nos vulves s’écartent, se laissent pénétrer, et un concert à trois voix remplit la pièce…Nous changeons souvent de position, Claudia découvre sa nouvelle amie, elles se dévorent mutuellement, s’envolent magistralement, en un 69 divin, qui me pousse à agir…Cora m’attire près d’elle, ouvre mes cuisses et me lèche, puis ses doigts s’enfoncent et je gémis… Elles continuent leur ballet, les doigts ont largement remplacés les langues, et elles se font jouir ensemble, enchaînant les orgasmes…Leurs sexes s’emboîtent, se frottent, elles se caresses, seins, bouches, ventre, et se tournent vers moi afin que je m’occupe de leurs trésors… Seins, chattes détrempées, je lèche, aspire, puis pénètre…C’est un délire des sens, je prends Cora sur moi, embrassées, Claudia monte sur elle et savoure ses fesses ouvertes… Petit doigt inquisiteur, elle se laisse pénétrer et jouit tant et plus, pleurant de plaisir quand elle ressent un nouvel orgasme l’emporter…Chacune à notre tour, nous sommes pénétrées, doigtées, sodomisées par l’une ou l’autre, ou ensemble. Puis face à face, seins contre seins, masturbant à loisir à droite et à gauche, savourant une ultime fois les corps alanguis de nos partenaires, les gémissements se calment, les libidos sont rassasiées… Enlacées, épuisées, nous nous relâchons, ivres de nos échanges escort balıkesir intimes, si délirants…Cora est béate, Claudia embrasse son ventre, ses seins, et nos mains glissent entre ses cuisses, et elle vient la lécher avec passion, buvant, savourant son nectar…-Oh, oui… C’est bon, vous êtes divines toutes les deux, quel cadeau !…-Tu veux un gode ?-Oh, merci, j’ai joui comme une reine… Mais ne vous gênez pas…-Oh, nous avons trop apprécié ton corps et tes caresses pour envisager une autre séance. Merci… Caro…Je l’embrasse tendrement, Claudia prend mon relais, elles tombent, se frottent, se caressent, lèchent, embrassent en prenant des poses divines dont je profite pour ajouter à leurs plaisirs.Trois femmes, trois déesses, nues, comblées de sexe, cuisses écartées, alanguies dans ce grand lit, je m’allonge sur Caro, et la prends dans mes bras pour un dernier baiser de feu…Claudia nous enlace toutes les deux, et nous caresse tendrement, en partageant nos baisers.…-Merci pour ce moment, merci de m’avoir retrouvée. Claudia est adorable, nous nous reverrons toutes les trois…-Vous êtes mes amies, je vous aime… Vous m’avez faite jouir sans arrêt… trois mois que je suis seule…-Caro, tu es sensuelle, magnifique, tu es la femme que j’espérais rencontrer. Tu me plais… Caro s’en va, un peu triste de nous quitter rapidement, elle a rendez-vous avec son ex, pour régler quelques problèmes, mais se sent si forte maintenant…-Elle est sublime, un trésor… Belle sensuelle racée, intelligente, passionnée…-Cultivée aussi, elle travaille dans les antiquités je crois… Tu vas la revoir ?-Oui, je pense, tu n’es pas toujours là… Entre vous deux, je serai comblée…-Je t’apprécie aussi, tu le sais, allez viens avec moi…Claudia me suit dans sa voiture, elle m’accompagne chez le traiteur récupérer la commande, je prends quelques entrées feuilletées…-Je mets la table si tu veux…Je dresse quelques plats de service, répartis mes entrées, épluche des pommes, pendant que mon robot fait la pâte… Tout est prêt au bout d’une heure, tarte dans le four, une marmite qui chauffe, le pain coupé, du vin qui chambre, une salade avec sa sauce…Il ne manque que Romain…Chapitre IV – Romain-On se le fait avant ou après le repas ?-Oh !… Tu es crue… mais tu as raison, l’apéro de cet après-midi, m’a mise en forme…-Tu veux un gel ? Si tu as été meurtrie…-Pourquoi pas ? Tu en mets ?-Parfois, je suis un peu sèche malgré mon traitement.-Je n’en suis pas encore là. Mais ce doit être handicapant ?-Oh, quand on me caresse, je deviens fontaine, mais cette séance a entamé mes réserves !…-Il l’a vraiment grosse ?-Assez… Mais il est doux… Il adore sentir sa partenaire monter les degrés, et il te prend lentement. Là, tu savoures chaque pénétration, tu t’ouvres encore plus, il t’emporte dans son monde et tu jouis, jouis… Ensuite c’est un déferlement de sexe. Partout, rapide, lent, devant derrière si tu veux, dessus, dessous, jusqu’à ce qu’il te prenne… Là, tu gémis en le sentant venir en toi… Et tu pleures quand il se retire…Le voilà !…Romain est intrigué par la voiture dans la cour… Je lui présente Claudia, une voisine rencontrée à l’arrêt du car, ici, et qui est devenue une amie…Il la dévore des yeux, quand elle sort du salon… Je le sais, il la fusille, la détaille, en expert du corps de la femme…Il m’embrasse enfin…-Cadeau…-Claudia ?-Tu aimes ?-Je crois que je vais aimer…Claudia revient avec un petit paquet…-Marika m’avait parlé de toi pendant notre voyage et j’ai cru bon de t’amener la preuve de sa loyauté…Il ouvre le petit paquet, un livre en Espagnol…-Voilà, tu vois, nous l’avons appris par cœur, pendant nos temps de libre, afin que tu saches combien on a pensé à toi…-Je peux t’embrasser pour avoir veillé sur Marika ?-Avec plaisir…C’est mal le connaître que de se lover dans ses bras, dès l’apéro…Devant moi, sans ambages, il colle ses lèvres aux lèvres de mon amie, qui surprise, se laisse embrasser et passe ses bras autour de son cou…Il en profite, la serrant contre lui, pour recommencer, puis la caresser et elle lui répond, offrant ses lèvres, avançant son ventre contre le sien, jusqu’à ressentir le plaisir que cela lui procure…Romain me sourit…-Marika est géniale, elle me fait un cadeau merveilleux, un souvenir d’Espagne en la forme d’une magnifique jeune femme… Sans parler du livre…-Tu peux les feuilleter tous les deux, Claudia sait pas mal de choses maintenant sur toi, ta virilité, ton esprit libertin qu’elle partage aussi désormais…Il l’entraîne sur le canapé et la déshabille lentement…Il ouvre son chemisier, sort les seins de leur corbeille, elle défait l’agrafe, il savoure ses tétons, les voit s’ériger sous ses lèvres, elle ferme les yeux…Je me défaits de ma robe, qui tombe au sol, retire mon tee-shirt, fait valser ma culotte et mon soutien-gorge…Il s’est agenouillé entre les cuisses écartées et plonge sa langue en cadence dans le puits d’amour de Claudia… Il lèche, écarte encore, le clitoris se lève doucement, il l’accompagne de ses lèvres douces, elle jouit !-Oh, Oh !… Ah !… Hum… Heu!… Heu!…. Oui!….Elle empoigne ses genoux et lui offre sa chatte, écartelée, divine…J’aperçois le membre aimé se déployer sous lui…Ma main glisse, l’empoigne, le caresse, le berce… Je me caresse aussi, tenaillée par le désir qui monte de les voir ainsi, jouir sous mon nez…Il masse les seins pleins, elle soulève son bassin, elle le veut… elle est prête…-Oui… Viens !… C’est bon… C’est doux… Encore !…Il ajoute ses doigts, et c’est une explosion !Elle se tord, crie, supplie…-Oui, viens !… Oh, prends-moi !… J’adore !… Encore !…Il la pénètre avec ses doigts en coin, comme un petit sexe qui va et vient dans le vagin ouvert…Elle n’arrête pas de gémir, de bouger, de le supplier de la prendre…Je suis contre elle et savoure ses lèvres, ses seins, son ventre, son mont de Vénus… De l’autre main, la verge est tendue, raidie, sublime et je me penche, pour la prendre dans ma bouche…Je le déguste lentement, glissant mes lèvres, je le pompe lentement, salivant cette longue hampe…Je prends les testicules dans ma main et imprime une pression lancinante… Claudia délire encore, elle aperçoit la bite dans ma bouche… Elle rugit…-Oui, tu vas l’avoir… Oui, patiente, ouvre-toi encore, désire-le, tu dois l’imaginer en toi, le sentir ouvrir ta vulve, les grandes lèvres, s’imbiber de tes sucs dans ta vallée, appuyer sur ton clitoris exacerbé, plonger vers ta grotte grande ouverte et inondée, par le désir… Oui, vous allez y passer, je vais vous défoncer le minou à l’apéro et le reste au dessert…Il s’installe tranquillement en continuant à la caresser, l’embrasser en se penchant sur elle…Il bande de plus en plus fort, grossit encore à l’idée de pénétrer ce vagin largement ouvert, il la regarde, elle le fixe…Il est proche de son intimité, prêt…Elle sent le moment arriver, tremble, bouge son bassin, masse ses seins, s’offre à lui, femelle en chaleur, chienne et chatte désirant un coït sauvage, immédiat…Le gland pousse, je le lâche, m’allonge à son côté pour la sentir vibrer…Elle me caresse, je suis pleine de désir aussi, je le vois lisser dans la vallée plusieurs fois, elle gémit…Je me masturbe…Il plante sa verge lentement…Je me masse les seins, touche mon clitoris…Elle s’ouvre encore, se donne, il plonge toujours…Elle délire, il ressort et repénètre, plus loin, plus profond, elle att**** ses épaules, son cou…Il est au fond, planté, immobile… Elle gémit, veut bouger, il la tient, la maîtrise, comme une bête sauvage…Je suis détrempée, je frotte ma vulve avec intensité et jouit enfin…Il ressort et recommence à la prendre, lentement, délicieusement, ressort et revient sans cesse en elle, et continue ses aller-retours magique, jusqu’à ce qu’elle lance des cris de lionne, rugissant de plaisir…J’accélère mon rythme, mes seins s’envolent, il me voit, me calme ajoute ses doigts aux miens…Il la laboure doucement, sans se presser…Elle ressent la vague maintenant… cette vague qui la fait onduler sous ses reins…Cette vague qui la porte à l’extase, déclenchant un premier orgasme, elle délire sa passion, son plaisir, tremble, ses doigts griffent les draps, elle jouit longuement… Il m’a calmée… J’ai senti son doigt entrer délicieusement et déclencher ma fontaine, je coule entre ses doigts, il accélère…Claudia est parcourue de spasmes, il ressort de son vagin… Elle regarde, pleure, il la reprend, plus vite, plus fort, marquant ses coups de reins…Je jouis…Le spectacle est divin, cette jeune femme ouverte, les cuisses repliées, Romain la pénétrant et moi, à leur côté qui ressent le plaisir de mon amie, ses orgasmes, les lent coups de reins qui la portent au nirvana…-Oh, oui… Oui !… Heu !… Heu !…………. Viens !… Oui, viens en moi… Prends-moi…Il la retourne, l’agenouille, cale ses cuisses, et la pénètre de nouveau en levrette… La bite plonge dans son abricot, jusqu’au bout, venant buter son pubis, s’encastrant dans son intimité, dévoilant un petit trou sombre quand il ressort…Elle pleure, se tord, griffe, tend ses fesses, les ouvre avec ses mains pour qu’il la prenne encore plus loin, plus profond, plus vite…Elle le ressent, et c’est sublime… Elle lui parle, il rugit aussi, se prépare… Les coups de reins deviennent plus secs, plus machos, elle vibre de plaisir, attend l’explosion de son amant…J’embrasse Claudia, caresse ses seins, me mettant comme elle, attendant comme elle qu’il me prenne…Quand il éjacule, elle est prise de folie… Elle a senti cette onde chaude l’envahir, envahir son vagin, son ventre, tout son corps, monter, la submerger… Elle vit son orgasme, le partage, le fait d’être inséminée, de ressentir la passion de cet inconnu quelques minutes avant, et de partager cet acte avec moi…Elle retombe, inanimée, vidée de son désir…Il me sourit, vient contre moi et glisse sa bite, encore maculée de sperme, dans mon vagin exposé comme une toile de maître…Il n’a aucun mal à me pourfendre, me faire jouir au centuple de ce que j’ai connu en Espagne, il me sublime, explose mes chairs, me remplit, recommence, puis sur le côté il me prend dans ses bras et me baise longuement, tendrement, Claudia vient l’assister et complète ce jeu, trio indécent, trio magique et je ressens les orgasmes se succéder, mon corps réagir au moindre baiser, les lèvres de balıkesir escort bayan Claudia me donnent le LA…Je jouis pleinement de lui, il me reprend sans cesse, se régénérant de temps en temps, puis glissant de nouveau au plus profond de moi, accompagné par les doigts de Claudia…Ils prennent mes seins à tour de rôle, les massant avec tact, avec tant d’expérience que j’en jouis…Je le sens venir en moi, se libérer, me donner sa semence, avec tant de tendresse que j’en pleure dans ses bras…Le repas est joyeux, au salon, encore jonché de nos vêtements…Le traiteur s’est surpassé, avec ces magrets de canard en sauce, quelques pommes de terre et pommes fruits, des raisins de saison, un délice et ce Bordeaux, qui glisse en nous, se mariant dans notre gorge avec les senteurs poivrées de la sauce…Le dessert est une simple tarte, mais bien cuite, avec quelques cuillers de confiture de groseille…Ils sont aux anges, parlent de l’actualité, Romain raconte son week-end chez sa mère, à Bordeaux, justement… Sa sœur, que je n’ai jamais vue en 3 ans, vient de divorcer et n’est pas à prendre avec des pincette, caractère de chien, qu’il a du mal à supporter. La maman est là pour calmer les esprits… Enfin, elle reconnaît qu’elle exagère, jalouse de sa réussite et de son amie avec laquelle il s’entend si bien, lui ayant raconté quelques-unes de nos frasques… Il a pu oublier Alice, son ex, entre mes bras, et notre libertinage nous aide à nous compléter et nous supporter… Sa sœur l’envie de ce deal, si son mari ne l’avait pas surprise en pleine action avec le jardinier, il n’avait qu’à mieux s’occuper d’elle… Mais c’est de l’histoire ancienne, et il est parti de la maison, la laissant seule…-Elle m’a dit que ça faisait cinq mois, et qu’elle n’arrivait pas à penser ailleurs !… Elle aimerait prendre un amant, un vrai, ressentir quelque chose avant de craquer pour une nouvelle vie, nouvelle aventure du moins, elle sait qu’elle est difficile et ne veux pas retomber dans le style jardinier…-C’est vrai, nous sommes amoureuses et puis bêtes quand on craque ailleurs, on fait le premier accro, et on veut être pardonnée comme si de rien n’était…-Et oui, les hommes sont aussi sensibles, enfin certains… Si on les trompe, le ressort est cassé…-Tu as raison, mais c’est réciproque. Mon ex me faisait cocue avec toutes mes amies, même les soi-disant lesbiennes… Des salopes de première qui venaient pour le caresser sous la table, ou lui faire une pipe au bord de la piscine quand j’avais le dos tourné… Je l’ai surpris au jardin, la bite plantée dans le vagin d’une ancienne amante qui beuglait de plaisir aux oiseaux, le cul à l’air, les seins pendants, accoudée à la barrière devant la cage…-Bien dis-donc, ça a dû te chambouler…-Je suis allée vomir dans la salle de bains… Elle était encore avec moi la veille, on avait fait l’amour dans le jardin justement… Je l’ai foutue à la porte immédiatement… J’ai retrouvé sa culotte derrière un bosquet, en passant la tondeuse 1 semaine plus tard… Lui a filé dans la chambre d’amis, je n’ai jamais refait l’amour avec lui, malgré ses essais pour me coincer… Chapitre V – Romain 2Nous rangeons un peu nos habits, nous avions pris une douche et j’ai prêté un peignoir à Claudia… Romain adore ce peignoir court, juste sous les fesses… J’ai une robe d’intérieur, nue en dessous…Je leur sers un alcool de poire, Claudia est ravie, elle s’assied remontant son habit sur le ventre…Il n’en faut pas plus à Romain pour se tourner vers elle, ouvrir son peignoir, et l’attirer contre lui…Je vais les rejoindre, nue et fière de mon repas…Le sofa du salon nous accueille, mais je préfère la chambre directement…Elle dépose le peignoir avant de sortir de la salle de bains, se retourne et me donne un long baiser tendresse…-Merci, tout était délicieux, surtout l’apéro…-Dis, coquine, tu vas y prendre goût à mon Romain ?-Heu… Quelle matinée !… Quelle baise !… Il est comme tu as dit… Je te comprends et t’envie… Et de plus il t’adore, la façon qu’il a eu de te prendre à la fin, après moi… Un surhomme !… Je ressentais son amour pour toi quand il te savourait avec tendresse… Vous allez bien ensemble, tu es si sensuelle aussi…Elle ouvre la porte et se dirige vers notre chambre…Il est planté au milieu du lit, rêvasse, la verge en attente…Il nous regarde arriver, nues, nous allonger de part et d’autre, glisser une cuisse sur lui…Un instant caresses, baisers, elle prend le sexe dans sa main et caresse, coulisse, puis s’avance et le prend en bouche…Elle lui fait une fellation divine, mouillant le gland, le serrant dans sa main, gros, dur… Ses lèvres parcourent la chose, jusqu’à la base, elle en profite pour caresser les bourses, puis remonte jusqu’au gland, luisant, étincelant… Je caresse sa chatte, elle est trempée, elle continue de s’exciter sur lui… Je la regarde, retenant mon envie…Elle minaude sa verge, jouant, glissant ses lèvres, s’en pénétrant profondément… Il adore !Je n’y tiens plus, rampe entre ses cuisses et la bois… Elle s’ouvre et réagit, gémissant sous ma langue…Au bout d’un moment, elle a envie de plus que mes 2 ou 3 centimètres de langue…Elle se trémousse, l’agrippe, se poste en levrette, s’offre… Mais retors, il plaque sa main entière dans son sexe, débordant largement vers l’arrière… Il frotte, mouille, caresse, ouvre, puis glisse une phalange dans l’anus et la prépare…Il s’approche d’elle, glisse vers l’anus, dirigeant le membre, et hop, il pousse lentement, puis il entre majestueusement, en conquérant…Elle se libère de son appréhension en poussant un cri aigu…-Hi !… Oui !…Il s’active et la lutine lentement… Elle nous gratifie de variations vocales envoûtantes et variées…Je m’y colle et entre mes doigts dans la grotte délaissée… Un fist en règle, une vaginisation de première… Experte en échanges lesbiens, celui-ci est explosif et dépasse en intensité ce que Romain lui pratique, je souris, continue jusqu’à la sentir proche de jouir… Elle délire de nos caresses combinées, écartelée, impudique entre nous deux, et moi, qui m’oublie, aussi offerte sans pudeur aux regards de mon vicieux ami…Elle sent Romain venir, elle l’appelle, le veut, s’écartèle en se plantant en cadence sur le vît démesuré…Je sens le pénis grossir au fond de son vagin, caresse la paroi au moment où il éjacule…Elle beugle de plaisir, s’effondre en tremblant, jouit sans complexe, se touchant la chatte et les fesses, écartelée, sentant la semence s’échapper lentement de son anus en pièce de deux euros…Quelle volée encore, quel pied…Romain me sourit, s’installe dans mon dos et me sodomise à mon tour. Je sens son membre durcir quand il me pénètre, et il s’enfonce en moi, réveillant mes troubles et mes émois, heureux de m’avoir pénétrée… La sensation ressentie de son membre me prenant ainsi est torride… Mon ventre semble se dilater, cette chose qui remonte en moi est très intime et prenante…Il me laboure avec ardeur, attend pour raviver ses forces, recommence… Claudia, redescendue sur terre, vient l’assister, me caresse, s’offre, frotte ses seins contre les miens, embrasse Romain, en me montrant son derrière… Je ne résiste pas à glisser un doigt dans son petit trou encore ouvert…Elle me rend la monnaie et pénètre mon vagin distendu, avec trois doigts, les agitant, touchant le membre de Romain à travers la paroi du périnée… Puis elle passe à deux doigts pour mieux les bouger et me faire jouir… Elle trouve mon point G… Et cela devient divin, entre la verge qui pilonne mon rectum et ses doigts qui furètent dans mon vagin et me donnent soudain un plaisir infini, provoquant un orgasme bestial que je délire en vociférant…Je les ressens tous les deux, je n’en peux plus, je me libère, épuisée, quand je sens sa chaleur investir mes entrailles et Claudia qui m’a propulsée au summum de l’excitation vaginale…Je retombe fourbue, écartelée, démontée de toutes parts, ouverte et béante…Ils viennent chacun manger mon intimité, s’en délecter, un devant, une derrière qui vient recueillir le jet de sperme qui s’échappe lentement, et lui, se délecte de ma chatte ouverte, rougie, ma grotte béante, encore humide de plaisir…Quelle séance !… Quel abandon… Romain y est allé à fond, Claudia est ravie, exténuée et ravie, nous nous endormons tous les trois dans mon lit, notre homme au centre…J’entends des soupirs, sens des corps bouger, mais j’ai trop sommeil…Claudia me dira le lendemain, qu’elle a refait l’amour dans la nuit, montant sur lui en amazone se perforant avec cette bite si envoûtante qu’elle en a trop rêvé pour la laisser s’endormir… Il a joui en elle, comme elle aime, puis elle s’est lovée dans ses bras jusqu’au matin, le sentant encore en elle, tandis que je ronflotais innocemment…-N’aie pas peur, je sais que c’est pour le sexe. Romain est un homme, un vrai, droit, et si sensuel… Je ne le regarderai jamais comme une proie, mais comme un ami avec lequel je suis bien, que je partage avec toi, pour faire l’amour à l’occasion… Et toi que j’aime au fond de moi, qui est tant pour moi… Mes nouveaux amis, je vous remercie pour cette soirée merveilleuse…-A refaire ma chérie, Romain sera d’accord, j’en suis certaine…Elle sort de mon jardin, le portail se referme, je suis triste et seule, il est parti voir son ex…Chapitre VI – Réflexions…Vous venez d’assister à une partie de jambes en l’air de première, entre 3 adultes consentants, libertins, aimant faire l’amour, en toute sécurité et amitié.-Etes-vous pour cette liberté que nous prônons et pratiquons Romain et moi ?-Aimez-vous cette façon de vivre notre couple en partageant nos expériences, nos désirs, en les réalisant ensemble, en toute lucidité et complicité, cela pour ne jamais laisser passer une occasion de connaître le plaisir avec des gens, hommes, femmes que l’on apprécie et qui partagent et respectent nos valeurs ?-Avez-vous tenté cette expérience au sein de votre couple ? Echangisme entre deux couples d’amis ? A plusieurs ? Avec un homme ou une femme ? En club ?-Pensez-vous que ces jeux échangistes entament l’amour que vous partagez ensemble ?-Pensez-vous que ces échanges renforcent vos liens affectifs, vous rendent plus fort(e) puisque à tout moment vous pouvez réaliser un fantasme, une envie adultère, qui mettrait en péril un couple ordinaire ? -Le faire au grand jour, devant lui, devant elle, partager, n’est-il pas la solution pour rebooster un amour vieillissant, englué entre habitudes, vies familiale et professionnelle ?J’aimerais recevoir vos commentaires sur ce texte, merci de vous impliquer dans mon message…FINMarika842010novembre 2018

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Après ma voisine, c’est la pharmaciennePeut être vous souvenez vous l’histoire que j’ai vécu avec ma voisine, celle qui voulait son cadeau en nature à Noël…. J’ai vécu quelques années de bonheur avec elle mais, un jour sombre d’hiver, elle m’a quitté le matin pour le travail et c’est les gendarmes qui sont venus m’annoncer que quelques kilomètres plus loin un énorme camion lui a coupé la route. Elle est décédée sur le coup. Anéantie ! Voilà ce que j’étais. Mon toubib m’a prescrit des calmants et des calmants pendant des mois ! Je ne voulait plus vivre et mes tentatives de suppression de moi se sont soldées par long séjour en centre de repos forcé.Voilà bientôt trois années que je suis seul. Je vivote entre des marches forcées que je m’oblige à faire tous les jours et une lecture à plus soif de romans et autres policiers.Bien entendu, vu mon âge, j’ai 70 ans, je suis toujours contraint de prendre des médicaments et donc, j’en vient au sujet de cette narration. Passage régulier chez le pharmacien. C’est un homme charmant et très humain. Une petite amitié est née entre nous et nous discutons sur tous les sujets. Dans sa pharmacie, il y a une femme, Sophie, qui me sert de temps en temps et avec laquelle j’ai grand plaisir a échanger. Là nous parlons de nos malheurs respectifs. De nos petits bobo de la vie. Il me semble qu’elle vie seule. Physiquement, elle est petite et mince, très mince. Elle a une poitrine de bon aloi. Bref, elle est pas mal à regarder.Voilà des mois que je m’arrange toujours à tomber sur elle lors du renouvellement de mes médocs. Elle me sourit et nous discutons en toute amitié. Sans arrière pensée aucune pour ce qui me concerne. La différence d’âge est un obstacle caché dans mon subconscient. Elle a 47 ans.Ce jour, elle est seul dans la boutique. Quand j’entre et que je la vois,je comprend qu’il y quelque chose qui se passe. Elle fait une tête pas possible, elle a les traits tirés et n’est absolument maquillée. C’est la première fois que je la voie sans fard. Elle me sourit mais je sent bien que c’est forcé.Elle me sert mes médicaments sans prononcer un mot. Je n’essaie pas d’engager la conversation. Je la sent gênée tout comme moi d’ailleurs.Et d’un coup, elle éclate en sanglot et s’en va précipitamment dans l’arrière boutique. Désemparé, devant cette scène, je la suis.Elle pleure à chaude larmes. Je lui demande « Qu’est ce qui ce passe ? Vous êtes souffrante ? » « Non, c’est mon fils… » me dit elle en sanglotant « Il m’a tapé et m’a pris ma carte bleu pour acheter de la drogue…)Je reste coi. Elle m’a déjà parlé de ce fils qui est très dur avec elle depuis son divorce il y a quelques années. Il a maintenant 23 ans.« Et ? Vous avez fait quoi ! » demandai je« J’ai appelé au secours et mes voisins ont appelé la police. La patrouille était près de chez moi et ils sont intervenus très rapidement. Mon fils les a insultés. Ils l’ont maîtrisé en force. Ils ont découvert de la drogue dans son sac à dos et aussi ma carte bleue qu’ils m’ont rendu. »« Il est où maintenant ? »« Ils l’ont emmené en cellule et il va être présenté au juge pour détention de drogue, rébellion et insultes à agent. Je n’ai pas voulu porter plainte contre lui pour les coups » « Vous avez raison, mais il faut le faire désintoxiquer ! »« La police m’a dit que le juge allait l’obliger à le faire »Les larmes ce sont interrompues. Je mesure maintenant l’importance des événement et j’avoue que je ne sais pas comment réagir. C’est l’arrivée du pharmacien qui sauve la situation. Il lui dit de prendre sa journée et de rentrer chez elle.Je lui propose de la raccompagner en voiture, ce que je fais aussitôt. Arrivé chez elle, je lui demande si elle veut que je reste un moment, elle accepte.De ce jour, nous nous sommes vus régulièrement pour échanger. Une amitié sincère et grandissante nous a rapproché. Nous nous sommes découvert plein de points communs. La marche en fait partie. Et comme je marche tous les jours, dès qu’elle a de la liberté, elle se joint à notre petite équipe pour parcourir les chemins de campagne de notre région. Elle se remets émotionnellement de ces incidents sans pour autant oublier les événements. Son fils est emprisonné pour une année avec obligation de soins. Elle ne veut pas aller le voir, mais lui écrit de longues lettres mais lui ne réponds pas. Nous nous voyons régulièrement pour sortir au cinéma ou bien faire du shopping etc…Les mois passent et le printemps arrive. Mai. J’ai envie d’aller passer quelques jours au Pays Basque que j’affectionne tout particulièrement. Et je loue un mobil home pour une semaine. Lorsque je lui annonce que je pars huit jours, elle ne me dit rien, bien au contraire elle me dit que j’ai raison et que je dois en profiter. Mais , je vois tout de suite passer une ombre dans son regard.Toute la journée qui suis, je me sens coupable de quelque chose, je n’arrive pas définir ce mal être.Le Pharmacien m’appelle en fin de soirée et me demande ce qu’elle a car elle fait la tête des mauvais jours. Déclic ! Voilà mon mal être, c’est elle ! Merde ! Que faire pour ratt****r le coup et lui demander de venir avec moi en tout bien tout honneur ? C’est encore le pharmacien qui viens à mon secours, il me dit savoir, par elle que je pars en vacances. Il me propose alors de lui donner sa semaine pour m’accompagner. Il se propose d’être l’entremetteur. J’approuve, Après tout, une compagnie me sera agréable. Et je ne penses vraiment pas à mal contrairement à vous qui commençaient à dire, il l’attire dans un piège et il va s’occuper d’elle ! Hé ! Bien non !Le lendemain, elle m’appelle pour me dire que le pharmacien lui a donné une semaine de congés en même temps que moi.. Je lui propose «  C’est super, veux tu venir avec moi, cela te changera les idées. Et ne t’inquiète pas le mobil home a plusieurs chambres et tu auras la tienne. » J’entends comme un soupir de soulagement dans le combiné.Ce samedi, jour de départ, je ne cache pas mon appréhension quant au déroulement muğla escort du séjour. Je ne la connais pas suffisamment pour savoir ses goûts en matière de vacances, mais nous verrons bien. Je passe la prendre à son domicile. Elle est très gaie et détendue. Bon point pour la suite.Nous avalons les quatre cents kilomètres qui nous séparent de saint Jean de Luz.Installation dans le mobil home et petite ballade sur le front de mer. Nous sommes tous les deux calmes et les plaisanteries fusent de par et d’autre. Pendant les trois jours suivants, je l’emmène visiter la région, nous passons en Espagne pour faire le plein de nourriture, boissons et gas oil…. Tout va bien, elle s’intéresse à tout ce que nous visitons et je découvre que nous sommes des passionnés de découverte du patrimoine national. De longues discussion à ce sujet meublent nos soirée. J’ai toujours mon appareil photo avec moi et mitraille sans arrêt les paysages et autre vieilles pierres mais je n’oublie pas de la prendre aussi.Ce mercredi, nous avons décidé d’aller sur Espelette et au retour de nous arrêter, si possible sur un site de ruines d’une grande maison ou d’un ancien château que j’avais repéré quelques jours auparavant. Je voulait y faire des photos. Ces ruines se situaient au bout d’un chemin et se cachaient derrière une haie imposante. Notre visite à Espelette fut très sympa, nous avons déjeuner dans un petit resto, visité la ville de fond en combles et visité la chocolaterie. Bien entendu nous ne sommes pas repartis les mains vides, chocolat et piments furent mis dans le coffre de la voiture. Cette journée là, il faisait très chaud et nous avions opté pour le short et le tee shirt. Elle avait mis un mini short en jean qui mettait en valeur ses fines jambes ainsi qu’un tee shirt décolleté rouge très moulant qui me permettait de voir sa poitrine ni trop petite, ni trop grosse. Pour ma part, mon éternel polo Lacoste bleu délavé sur un bermuda vert armé.Nous bavardions tranquillement mais je voyais que te temps en temps son regard devenait malicieux sans plus.Au retour, nous nous sommes arrêté comme convenu au bout du chemin menant aux ruines que je souhaitai photographier.C’était probablement une grand maison bourgeoise avec plein de dépendances, peut être une ferme. Toujours est il que au fur et mesure de notre progression, nous découvrons des pans de mur avec des fenêtres très décorées. La végétation a en partie occupé l’intérieur rendu inaccessible. Mais ce mélange de pierres et de verdure me convenait parfaitement et j’ai commencé à mitrailler toute cette merveille. Nous passons un grand et magnifique porche qui devait être l’entrée site. En me retournant, je constate que le porche est illuminé par le soleil et que cela produit un fantastique effet. L’appareil se déclenche sans arrêt et au bout d’une petite demi heure j’avais fait plus de trois cent photos qui devrait être triées pour ne garder que les meilleures. Sophie, observe tout et m’indique de temps en temps un endroit à prendre. J’en profite aussi pour la prendre en photo en disant de conserver une ou deux de ces photos pour mon album personnel.Après avoir visité les ruines nous décidons de repartir et de passer le fameux porche.« Dis moi, Sophie, voudrait tu te mettre sous le porche que je te prenne en photo ? » Cette idée m’est venue quand je me suis retrouvé derrière elle sur le chemin du retour, son petit cul me narguai et j’avais envie de le prendre en photo pour m’en souvenir !« Bien sûr ! Mais on gardera que la plus réussie ! » me répondit-elle.Et la voilà qui se positionne sous le porche droit comme I.« Attends, prends une position plus naturelle, s’il te plaît ! »« Quelle position tu veux que je prenne ? »« Je ne sais pas, peut être sur la gauche en t’appuyant sur le porche, ensuite au centre en levant les bras en écartant les jambes ensuite de côté et enfin de dos, si tu veux bien »Elle s’exécute doucement et soudain prends des poses sexy sans que je lui demande. Une bonne trentaine de clichés plus tard, nous les visionnons tous les deux.Je ne suis pas mécontent, il y a dedans des photos très suggestives ce qui n’est pas pour me déplaire et apparemment elle non plus.« Elles sont super ! Me dit-elle »«Oui répondis-je, vraiment bien et tu est très belle habillée comme ça »« Tu veut en faire d’autre, cela me plairait assez »« Bien sûr, tu peut y retourner »« D’accord, mais avant je dois me préparer, je vais aller derrière le mur et je te demande faire vite dès que j’ apparaîtrait sous le porche »« OK » dis-je en ne comprenant pas sa remarque.Elle disparaît derrière le mur et quelques minutes plus tard arrive sous le porche en me criant « Vas-y maintenant ! » Elle est nue comme ver et commence à prendre des poses langoureuses et suggestives. La séance photos n’a pas durée plus de dix minutes. Elle a disparue pour se rhabiller.J étais sur le cul . Sans voix ! Elle si réservé, si prude me faisait un énorme cadeau, j’en reviens toujours pas.Elle revint vers moi en me demandant «  Alors, elle sont bien ? » « Ooouui ! Mais.. on les regarderas en rentrant sur l’ordi. »Le chemin du retour fut silencieux pour ce qui me concerne.Au bout d’un moment, elle a du sentir ma gêne et me dit :« Ça t’a choqué que je pose nue ? Tu sais je l’ai fait pour toi car tu as tant fait pour moi, que cette idée m’a traversée l’esprit et que j’avais dans un coin de ma tête l’envie de poser nue. C’est sur toi que c’est tombé et je m’en réjoui. »« Je n’ai fait que t’épauler moralement. Et non cela ne me choque pas, seulement cela m’a un peu surpris. Et le fait que tu ai envie de poser nue ne t’a pas gênée? »« Pourquoi veut tu que je sois gênée, en plus tu ne m’as pas vue me déshabiller, c’est ça qui excite les hommes! » répondit-elle en riant« Tu serai prête à le refaire ? »« Bien sur si tu me le demande et que ça reste notre secret à tous les deux ! »Sa réponse acheva de me fasciner. Voici une femme que tu sent fragile et qui d’un seul coup escort muğla d’un seul se transforme en tigresse !« Je te remercie de ta proposition et j’en prends note. »Nous arrivons au mobil home, la fraîcheur de la soirée nous oblige à nous changer pour des vêtements plus chauds. Là en me changeant, je m’aperçois que mon boxer et mouillé. J’en change aussitôt.Plus tard, nous avons visionné sur le PC toutes les photos prises dans la journée assis l’un à côté de l’autre. C’est l’occasion pour moi, de faire un tri sélectif de celles qui sont ‘ratée’. Bientôt nous arrivons à celles des ruines.Pratiquement tout me convient. Et voici les fameuses photos de pose habillé qui m’enchantent : pas une de loupée. Sophie me remercie chaleureusement. La série des nues commencent, et ses commentaires sont acides : «Je ne suis pas belle nue, regardes moi ça c’est pas terrible» Moi, je rétorque «Attends, tu est magnifique. Il n’y a rien à jeter, bien au contraire. Tu sais bien prendre les poses, pour moi tu est parfaite !» «Merci, dit-elle en rougissant légèrement. Si ça te plaît c’est bien aussi pour moi. Mais je trouve cela pas terrible ! Et puis, elles sont prises de loin.» «C’est sûr que je n’allait pas te prendre de près à cause de l’environnement, cela n’en valait pas la peine. Les photos de prés se font plus en studio ou à la maison, sur un lit, un divan ou un autre lieu. »« Oui c’est vrai »Après un moment de réflexion, elle se tourne vers moi : « Et si me prenait en photo sur le lit maintenant, je pourrai me rendre compte de ce que ça donne ! Je ne m’attendais sûrement pas à ça.« Pourquoi pas » bégayai-jeElle se dirigea vers sa chambre en me disant « Je t’appelle quand je suis prête, prépare ton appareil »Quelques minutes plus elle m’appelle. Je rentre dans la chambre et je la trouve allongée à plat ventre sur le lit complètement nue.« C’est toi qui commande mes poses me dit-elle »« Reste comme tu est pour l’instant », Je tourne autour du lit en prenant mes clichés. Son cul me fascine bien entendu je bande mollement (vu que mon implant est au repos) et mon excitation grandi.« Retourne toi doucement » Mon appareil crépite. La voilà de côté, la jambe droite remontée de façon à ce que je voie pas sa chatte. Ses seins sont fermes et bien droit. Elle sourit à l’objectif. Je mitraille sans arrêt.« Mets toi sur le dos complètement » Chose faite, je me mets au pieds du lit et prendre sa chatte de plus près. Je m’accroupis et continue de prendre des cliches de son corps en longueur. J’hésite à lui demander d’écarter les jambes et il me revient qu’elle m’a dit que je commande ses poses.Tout en mitraillant, je luis dis « Écartes doucement les cuisses et repli ta jambe gauche.Elle s’exécute et c’est a travers l’objectif que je découvre son intimité. Ses lèvres roses ouvertes. Je vois qu’elle mouille. Pas de commentaire de ma part. Mon excitation est au paroxysme. S’en suit une série de pose, à quatre pattes, penchée en avant les jambes écartées etc…Je vois que la séance de pose arrive à sa fin.« J’ai fini, à moins que tu ne veuilles d’autre photos » dis-je sur un ton neutre.« Tu en as fait pas mal, c’est bien, je vais me rhabiller le temps que tu les charge sur l’ordi. Tu peut sortir. »Le temps de charger les photos, elle était assise sur le canapé à côté de moi. Très près de moi.Le diaporama commença et je constate que toutes les prises de vue sont impeccable. Arrive les dernières photos, celles un peu plus intimes de son entre jambe. Pas de commentaires. Moi, je me régale et je sens le désir monter.« Elles sont super ! » dis-je.« Les première sont bien, mais les dernières, je trouve que cela fait un peu porno » me réponds Sylvie« Ce ne sont pas des photos porno ! Le porno, il faut être deux et pratiquer des actes sexuels. D’ailleurs, je n’aime pas le mot ‘porno’. Deux personnes qui font l’amour devant une caméra, ce n’est pas du porno ! Maintenant plusieurs personnes qui le font ça c’est plus du porno ! »« Quand même….. »« Attends, est ce que tu a vu des films de ce genre ? »« Une foi, il y a longtemps…. »« Bon, je vais te montrer des mini films de couples qui font l’amour, et tu me dira si c’est du porno »« Si tu veut mais…. » Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que j’ai déjà activer le lien de mon site favori « xhamster.com ».Des dizaines de mini films s’affichent. Tout d’abord, je choisis un couple jeune qui se déshabillent mutuellement et pratiquent tout ce que représentent l’acte sexuel (fellation, cuni lungus etc.. pas d’anal).Sylvie regarde ce film d’une dizaine de minutes sans dire un mot. Dès la fin, je choisis une séquence d’anal, toujours en couple et s’en suivit une autre séquence de fellation avec éjaculation dans la bouche.« Alors, c’est du porno ? » lui demandai je « Je sais pas… mais tu regarde ça souvent toi »« Quand, je suis seul, oui. Je passe mes envies en regardant et en me masturbant »« Ha !…… » « Maintenant, je vais te montrer un bout de film qui est vraiment pour moi du porno »Aussitôt, je mets en route une séquence ou quatre mecs s’occupe d’un femme. Elle les suces tour à tour, ils la sodomises, la prennent en même temps par le cul et la chatte…. et pour finir éjaculent sur son visage et dans sa bouche.« C’est dégueulasse ! » s’exclame t elle« Voilà du vrai porno. Tu n’est pas d’accord ? »« Tu as raison. Je ne le voyais pas comme ça. Merci de m’ouvrir les yeux. »Je suis satisfait de moi. Elle baisse la tête dans une réflexion que je ne peut deviner.« Je voudrai te faire lire un petit texte que j’ai écrit. Je voudrai ton avis. C’est toujours en rapport avec ce que nous venons de discuter. »« D’accord, et après on va dormir, je suis un peu fatiguée »« Ok »Je recherche mon texte sur ma voisine et le lui fait lire. En même temps, je regarde son visage et de temps en temps je voie apparaître un large sourire. Cela me réconforte.A la fin de lecture elle me dit : « C’est toi qui a écrit ça ? C’est bien, très bien. Tu devais être très amoureux muğla escort bayan d’elle. »« Oui » répondis-je en essuyant les larmes qui coulaient sur mes joues « très amoureux, mais maintenant c’est du passé mais j’en garde un grand et beau souvenir ».« Tu est un homme gentil et honnête. Reste comme ça »Après quelques minutes de silence elle reprend :« Vous avez fait tout ce que tu as écrit ? »« Oui, elle le voulait depuis long moment »« Et toi tu le voulait ? »« Bien sur que oui, j’étais comblé. Mes fantasmes devenaient réalité ».Elle baissât la tête et je senti que quelque chose la chiffonnait mais je me gardai bien de soulever le lièvre.« Si nous allions nous coucher, dis je, la journée a vraiment été longue. »Après nos ablutions en salle de bain à tour de rôle, nous nous souhaitons bonne nuit.Je m’enfermais dans ma chambre. Heureux et indécis, vraiment indécis, je ne sait pas quoi penser de cette jeune et jolie femme, je n’arrive pas à la cerner. Je penses qu’il va me falloir des jours pour tout comprendre, je serai patient.Donc, je m’allonge sous le drap et éteins la lumière pensant m’endormir rapidement.Quelques minutes plus tard, j’entends la porte s’ouvrir en grand et la lumière pénètre dans la chambre. Dans l’embrasure je vois Sophie vêture d’un déshabillé blanc. Je n’arrive pas a la distinguer du fait qu’elle a la lumière derrière elle. Elle se glisse sur le côté du lit et me dit :« Tu dors ? »« Non, tu as un problème? »« Non…… je suis venu prendre mon cadeau de noël »« Je ne comprends pas quel cadeau ? Nous sommes en mai, on est loin de Noël….. »« Mais si, tu sait très ce que cela veut dire ! » Ce faisant, elle dépose un objet sur la table de chevet et enlève mon drap. Seul la lumière venant de la pièce d’à côté me permet à peine de la voir.D’un seul coup d’un seul, elle monte debout sur le lit et s’accroupit pour me retirer mon short de nuit. Instinctivement, je me laisse faire. Elle s’accroupit sur ma cuisse gauche. Je sent sa chatte chaude et humide sur ma cuisine et je comprend ses paroles qui font référence au texte que j’ai écrit.Elle tâte mes couilles sans un mot et trouve ma pompe à implant. Doucement, elle prend ma bite dans sa main et de l’autre elle pompe faisant gonfler mon sexe….« C’est bon, il est à bloc » dis je excité. Je ne l’ai pas encore touché et laisse la magie de l’instant me pénétrer. J’ai envie d’elle, de la prendre de suite mais je résiste, il faut qu’elle se mette en confiance.Elle me caresse le pénis et couilles d’une manière très douce, se penche et me lèche le gland. Putain, je suis en extase !Elle m’enfourne dans sa bouche et comme le va et vient, ses doigts me malaxent en même temps.Elle en train de reproduire exactement ce qui c’est passé avec ma voisine. Je n’en reviens pas. Tout ce qu’elle fait est copie conforme aux actes passés.Une larme s’écoule sur ma joue, les souvenirs remontent et m’envahissent. Je la laisse faire.Soudain, elle se met a califourchon à l’envers sur moi. J’ai ses fesses face à moi. Je les prends dans mes mains et les masse. Je les approche de ma bouche et commence à lui lécher le cul, elle se penche en avant et écarte les cuisses, je peut ainsi lui enfourner ma langue dans sa chatte. Elle continue de me sucer goulûment.Et comme je le présentai, après quelques minutes, elle se met sur moi et s’enfile sur ma queue et commence son va et vient. Je peut alors lui toucher les seins. Quel pied mais aussi quels souvenirs qui reviennent en moi. D’un coup elle se penche vers moi et m’embrasse enfonçant sa langue dans ma bouche. Elle me regarde et dit « On ne va pas tout faire comme ta voisine ! » Et aussitôt, elle saisi l’objet sur la table nuit, celui que je n’avais pas pu voir. Elle me présente un tube. «C’est de la vaseline » « Ha, tu veut en faire quoi ? » « Tu ne sait pas » répondit-elle en riant « Non pas de trop… » « Tu vas m’enculer ! J’aime ça et je veut le faire avec toi. » Elle me donnes le tube et se mets à quatre pattes en me disant « Tu m’en passes sur l’anus et à l’intérieur et tu t’en mets sur la bout de bite et tu y vas! »Je exécutes avec soins et je bande deux fois plus qu’avant. Mes doigts la pénètre, elle pousse un gémissement.J’approche ma bite de son cul et la frotte dessus. Je commence à la pénétrer pensant y aller doucement mais d’un coup de rein elle s’enfile jusqu’au fond tout en poussant un cri. Je commence mon va et vient de plus en plus fort, je souffle, elle crie « Vas y , encule moi, fait moi jouir ! » Je besogne jusqu’au moment ou elle pousse un long râle. Elle jouit et râle si fort que j’ai un sursaut. Je me retire et m’enfourne dans sa chatte pleine de liquide de la baise sans m’arrêter. Quelques minutes plus tard, je sent monter en moi la jouissance. Elle l’a senti, se retire, retourne et prend la bite à pleine bouche. Il ne faut guère de temps que je n’explose dans sa bouche. Elle continue. Enfin elle s’arrête et me tire la langue avec tout mon sperme de dessus. Elle avale tout.« Merci » me dit elle« Ce serait plutôt à moi de te remercier. C’était excellent ! »« J’ai beaucoup aimé ! »« On pourra le refaire quand tu voudras »« J’y compte bien! J’ai pas attendu si longtemps que que tu me baises sans en profiter à l’avenir ! »Comme d’habitude, salle de bain et toilette. Elle m’aide à dégonfler ma bite. En me précisant que c’est super car je bande plus longtemps….Le lendemain, elle m’avoue que dès la première fois ou elle m’a vue je lui avait plu et ensuite les petites discussion que nous avions lui confirmèrent son intérêt pour moi.Son patron, s’est aperçu de son attirance et ils en avaient parlé. C’est pourquoi il ma téléphoné pour me demander de l’emmener…. Bien lui en a pris.Nous avons fini la semaine dans la gaîté et la bonne humeur. Ma bite était gonflée, regonflée plusieurs fois par jour…. partout dans la nature, dans tous les recoin du mobile home….. parfois juste pour une fellation parfois pour la baise…..ou la sodomie…..et bien d’autres choses encore !C’était il y a six mois et depuis, c’est toujours la même chose mais cette fois à la maison….Nous avons même tourné un petit film de nos ébats que nous repassons de temps à autre.Voilà, vous savez tout.A bientôt pour une autre histoire…

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Das Leben des Damianos Episode 7

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Das Leben des Damianos Episode 7Weiter gehts mit den Berichten aus AthenEpisode 7Ich fieberte der Feier entgegen wurde aber durch meinen Vater und Archon Antoniou zu einem Gespräch gebeten in welchem der heutige Tag das Hauptthema war. Beide ließen mich wissen das meine Entscheidung und die Art wie ich die selbige getroffen habe gut ankam und für weise empfunden wurde. Der Archon teilte mir zu allem noch mit das er mit den hohen Stadtverwaltern gesprochen habe und sie alle der Meinung sind das ich mit meinem Tun höchst ehrenvoll für die Stadt gehandelt hätte. Er wollte weiter wissen ob ich mir wenn im nächsten Jahr die Wahl anstand vorstellen könnte, ein politisches Amt zu bekleiden. Ich erbat mir Bedenkzeit da ich dies nicht spontan entscheiden wollte. Natürlich wäre dies wunderbar aber ich muss bedenken das ich mehr in der Öffentlichkeit stehen würde für die nächsten beiden Jahre. Mein Leben mit Nikolaos sofern dieser dazu bereit wäre würde dadurch vermutlich viel komplizierter werden. Mein Umfeld und ich würden in den Focus rücken und somit wäre es deutlich schwieriger alles miteinander zu vereinbaren. All dies wollte ich aber erst später entscheiden, erst würde ich mit Nikolaos sprechen und ihm all dies mitteilen und in meine Entscheidung mit einbinden.In meinen Raum in welchen ich mich zurückgezogen hatte nahm ich noch ein Bad und legte einen seidenen Chiton an welchen ich seit kurzem mein eigen nannte. Mit meiner Mutter welche noch Unterstützung für die letzten Vorbereitungen benötigte sprach ich ebenfalls und auch sie meinte ich solle mir genügend Zeit nehmen. Dann war es soweit die ersten Gäste trafen ein.Selene erschien mit Kyra, Archon Antoniou ihr Vater kam mit seiner Gemahlin und andere Würdenträger der Stadt fanden sich ein. Je mehr Gäste eintrafen desto nervöser wurde ich da Nikolaos noch nicht erschienen war. Wir begaben uns dann ich den Speiseraum und besprachen allerlei Dinge welche ich nur beiläufig kommentierte. Dann endlich war es soweit Nikolaos traf ein und ihm wurde ein Platz an meiner Seite gewiesen von meiner Mutter. Dies war mir schon beinahe peinlich da er vielleicht denken könnte ich hätte dies so gewünscht. Zuletzt traf auch Selenio ein und unsere illustre Runde war komplett. Wir nahmen die Speisen welche offeriert wurden ein, nebenbei führte ich unverfängliche Unterhaltungen mit Nikolaos und Selene welche ebenfalls neben mir Platz gefunden hatte. Meine Eltern hatten sich wieder selbst übertroffen, Selene so platziert das die bereits vorhandenen Gerüchte weiter geschürt werden, andererseits hatten sie den mir persönlich wichtigsten Menschen ebenfalls mir zur Seite gesetzt. Nach Beendigung unseres Mahls verbrachten wir noch so mache Stunde bei netten Konversationen. Nikolaos gab sich diplomatisch und plauderte nett mit mir und allen anderen. Meinem Ziel mit der großen Aussprache war ich allerdings noch keinen Schritt nähergekommen. „Edler Damianos, würdet ihr mir die Ehre erweisen euch kurz alleine zusprechen. Es haben sich für mich nach diesem Tage Dinge ergeben und ich wäre an eurer Meinung sehr interessiert.“„Aber natürlich wie könnte ich eure Bitte ablehnen Nikolaos nachdem ihr heute so gütig wart mir zu helfen. Wenn ihr es wünscht können wir uns in das Arboretum zurückziehen dort wären wir ungestört.“Nikolaos bestätigte dies mit einem Kopfnicken und wir beide erhoben uns um den anderen mitzuteilen das wir noch etwas zu besprechen hätten. Im hinausgehen nahm Selene meine Hand zog mich zu sich und flüsterte in mein Ohr.„Damianos egal was nun auch geschieht nehmt es als gegeben hin. Ihr habt euch in den letzten Wochen so zu eurem Vorteil verändert dies sieht ein jeder. Ich wünsche euch viel Glück.“Kopfnickend entzog ich mich ihr und verließ gemeinschaftlich mit Nikolaos den Raum und wir begaben uns in das Arboretum. Nachdem ich ihm einen Platz gewiesen hatte setzte auch ich mich und verharrte erstmal schweigend um ihn die Gesprächsführung zulassen. Der Vollmond schien durch die Dachöffnung des Arboretums und spiegelte sich wunderbar in dem kleinen dort befindlichen Wasserbecken. Nach schier endlosen Minuten für mich richtete Nikolaos die Worte an mich.„Damianos ich wollte mich bedanken das du mir die Zeit zugestanden hast um über alles nachzudenken und mir die Gunst erwiesen hast in einem afyon escort bayan der Häuser deiner Familie zu leben. Wir beide wissen das du dies nicht tun hättest müssen ich danke dir trotzdem dafür. Wie ich es heute zur Mittagsstunde bereits andeutete war ich jederzeit über dich unterrichtet, ich weiß das diese Zeit für dich mit Sicherheit nicht einfach war. Dein zwischenzeitliches Verhalten mit der kompletten Isolation gefiel mir nicht da ich Angst hatte das du vielleicht eine Dummheit begehen würdet dies hattest du ja vorher angedeutet wie ich erfuhr. Froh darüber das du dich entschieden hast nicht dein Leben freiwillig zu beenden wollte ich schon damals mit dir sprechen, jedoch wurde mir von vielen Seiten zugetragen dich in deinem Selbstfindungsprozess nicht zu stören. Ja ich hatte viele Personen die mich jederzeit unterrichteten wie es dir aktuell ging und all diese Leute hatten ständig ein Auge auf dich und dein teilweise selbstzerstörerisches tun. Wie dem auch sei ich habe dich um ein Gespräch gebeten weil ich nach deiner Meinung fragen wollte.“ Verwirrt ob der Worte die ich gerade gehört hatte schwieg ich lieber. Wer hatte ihm Bericht erstattet wer hatte ihm geholfen, ich sah mich einer großen Verschwörung gegenüber. Dies war etwas worum ich mich danach unbedingt kümmern müsste aber erstmal war Nikolaos der meiner Meinung bedurfte.„Dann sprich Nikolaos, was ist es wobei du meine Meinung hören willst?“„Wie ich dir vorhin schon sagte hat sich heute etwas ereignet und trotz intensiven Nachdenkens, kann ich mich nicht entscheiden. Nach der Volksversammlung kam Archon Antoniou auf mich zu und bat mich um eine Unterredung. Er teilte mir mit das er wenn ich dem zustimmen würde er mich in seiner Administration unterbringen würde. Er würde sich freuen wenn ich zusagen würde und er meinte es würde mein Schaden nicht sein. Ich weiß nicht ob ich dieser Aufgabe gewachsen bin, was wenn ich versage. Ich bitte dich, hilf mir eine Entscheidung zu treffen.“„Zu allererst mein lieber Nikolaos danke ich dafür das du mich um Rat bittest. Ich will gerne versuchen dir zu helfen. Archon Antoniou bietet dir diese Möglichkeit sicherlich nicht an ohne es sich gut überlegt zu haben. Ich sagte dir schon mehrfach das du wenn du dies wünscht ein gute Leben in Athen führen kannst. Ich kann dir nur raten höre auf dein Gefühl es wird dir ein guter Ratgeber sein. Sorge dich nicht ob du versagen könntest und selbst wenn dies einmal der Fall sein sollte wird dich niemand verurteilen. Wir sind alle nur Menschen und wir machen Fehler doch sie formen uns erst zu dem was wir sind.“Als ich meine Worte endeten sah ich Nikolaos an und klopfte ihm freundschaftlich auf die Schulter.„Ich danke dir Damianos für diese ehrlich aufrichtigen Worte. Dank deiner Worte tendiere ich dazu dem Ansinnen des Archon nachzukommen. Nun aber ist es soweit, wie ich dir sagte ich möchte mit dir sprechen.“Die Worte die mich erreichten schnürten sich um meine Brust und ich war völlig verkrampft und merklich begann ich wieder zu schwitzen und meine Knie zitterten.„Damianos, wie unweigerlich von allen zu erkennen hast du die letzten Wochen wirklich dazu benutzt an dir und deiner Art zu arbeiten. Du behandelst mich nun wirklich so als ob ich dir gleichgestellt bin. Dein gesamtes Verhalten hat sich so empfinde ich es völlig gewandelt, du warst immer schon ein guter Mensch doch nun bist du einer der auch anderen auf Augenhöhe begegnet. Dies war wie du ja weißt einer meiner Bedingungen das wir Gefährten sein können. Mein einziges Ansinnen war es dir vor Augen zu führen das es Notwendig ist in einer Partnerschaft seinen Gefährten mit Respekt zu behandeln. Nun da ich weiß das dir dies klar ist würde es mich freuen wenn wir eine Partnerschaft haben könnten. Wenn du also trotz allem immer noch so etwas wie Liebe oder Zuneigung für mich empfindest, würde ich sehr gerne dein Gefährte sein den nun wäre ich nicht nur so wie vorher ein Schmuckstück das man haben will sondern könnte mir sicher sein das du mich um meinetwillen haben willst. Damianos danke dass du mich sprechen gelassen hast nun sprich bitte du auch mit mir.“ Meine Augen waren glasig vor Tränen, die Worte die ich wahrlich in mich aufgesogen habe, waren mehr als ich zu hoffen wagte.„Nikolaos, ich habe es mir nach deinem afyon escort Weggang in dein neues Heim nicht leicht gemacht. Da du ja immer Bescheid wusstest wie du sagst weißt du das ich schrecklich darunter gelitten habe. Nicht nur einmal war ich bereit mein Leben zu beenden weil die Trennung von dir für mich den Leiden im Tartarus (Hölle) in nichts nachstand. Heil suchte ich bei den Göttern und in meinen Gedanken. Ja durch die mir von dir übermittelten Worte durch Selene hast du in mir ein Umdenken bewirkt und dafür bin ich dir unendlich dankbar. Du meinst wenn ich noch etwas für dich empfinden würde dann würdest du gerne mit mir die Partnerschaft anstreben. Nikolaos ich muss dir gestehen das ich dich nicht nur mag nein ich würde sogar so weit gehen das ich dich abgöttisch liebe. In den letzten Wochen ist mir klar geworden das ich ohne dich nicht mehr sein möchte. Ob ich mit dir eine Partnerschaft eingehen möchte wolltest du wissen, ich sage ja Nikolaos. Ich danke den Göttern das ich durch die Zeit der Entbehrung geläutert wurde und nun dem einzigen dass ich für mein Leben erbitte näher bin, dich als Gefährten nein besser als Partner zu haben. Nikolaos ich werde versuchen dich niemals wieder zu enttäuschen allerdings weisst du da ist noch das leidige Thema mit meiner Vermäh….“Nikolaos versiegelte meine Lippen mit den seinigen um mich zum Schweigen zu bringen. Auf diesen Moment der Wiedervereinigung hätte ich nicht zu wagen gehofft und lies es geschehen. Nikolaos Zunge forderte Einlass in meinen Mund welchen ich ihr nur allzu gerne gewährte. Ich legte meine Hände sanft auf seinen Kopf um ihn nie wieder loszulassen. Wir küssten einander und strichen unsere Körper ab und tauschten so Zärtlichkeiten aus. Nikolaos löste sich von mir und sah mir tief in die Augen. „Damianos ich habe dich vermisst, wir müssen dennoch vorsichtig sein, was wenn uns jemand sehen würde.”„Das ist mir egal sollen sie doch alle wissen das ich dich liebe ich will mich nicht verstecken müssen. Wir sind wie wir sind, wer dies nicht akzeptiert kann mir gestohlen bleiben.“„Damianos nein das will ich nicht. Ich habe lange und ausführlich geredet mit Selene und Kyra die letzten Wochen, sie haben mir klargemacht warum ich einer Vereinigung von euch beiden zustimmen sollte. Sie haben mir vor Augen geführt das es für uns alle von Vorteil wäre wenn wir wie geplant leben würden. Ja ich müsste dich nach außen hin Selene überlassen aber in unserem Heim da wären wir eins könnten tun was uns beliebt. Damianos ich bitte dich wenn du dies auch willst sprich mit Selene und regelt alles was getan werden muss.”„Wenn dies dein Wunsch ist werde ich dem gerne Nachkommen, da ich was auch immer nötig ist tun werde um mit dir zu leben.“ Es war also beschlossene Sache von uns beiden das wir diese Pose leben wollten damit wir einander unbeschwert haben konnten.Nikolaos erhob sich und ich folgte ihm Richtung des Ausgangs. Kurz bevor wir diesen erreichten nahm ich ihn am Arm drehte Nikolaos herum und drückte ihn gegen die Wand und lenkte ihn in den Schatten der kleinen Olivenbäume. Ich küsste ihn voller Leidenschaft und erkundete jeden Zentimeter seines Körpers mit meinen Händen.„Damianos, nicht bitte denke an deinen Ruf denke an deine Familie.“„Das ist mir egal, ich will dich ich begehre dich und hier wird uns niemand stören die da drinnen sind alle mit feiern beschäftigt.“Ich kam mit den Fingern auf der Nadel zu liegen die seinen Chiton hielt und zog diese sachte und unmerklich aus dem Tuch. Kaum das sie das Tuch verlassen hatte glitt der Chiton von seinem Körper und gab einen Ausblick preis der mir den Atem nahm. Vor mir stand nun ein völlig entkleideter Nikolaos der sanft vom Mondlicht umspielt wurde. Ich wollte und musste ihn liebkosen und berühren, meine Lippen senkte ich auf seine schönen zarten Brustwarzen um diese mit meinem Mund und der Zunge zu liebkosen. Während ich eine Brustwarze nach der anderen leckte und an ihnen sanft knabberte erkundete meine Hand seinen Körper erkundete sachte seinen nahezu makellosen Körper fuhr jeden seiner Muskeln ab und gelangte dann schließlich mit der Hand in seinem Schambereich wo ich sanft seine kurze aber vorhandene Behaarung kraulte.Ich glitt dann mit meiner Zunge nach unten und bohrte sie erkundend in seinen Bauchnabel. Ich escort afyon leckte an seinen zarten Bauchmuskeln und war fest entschlossen ihm nun die völlige Entspannung und Lust zu schenken. Ich ging mit meinem Kopf leicht nach hinten und hatte nun zum ersten Mal seine Männlichkeit, dazu noch in voller Pracht vor meinen Augen. Der Anblick raubte mir den Verstand und lies mir das Wasser im Mund zusammenlaufen. Ich näherte mich seiner Eichel und setzte sanft einen Kuss auf die Spitze. Nikolaos hatte seine Hände nun auf mein Haupt gelegt und strich mir sachte durchs Haar.„Ohh Damianos nicht bitte, hört auf es könnte uns jederzeit jemand entdecken.“Ich sah nach oben und lächelte ihn an.„Hör auf dir Gedanken zu machen und genieß es. Hier stört uns keiner, vertraue mir.“„Du bist des Wahnsinns Damianos, allerdings machst du mich auch gerade wahnsinnig.“Ich schenkte ihn nochmal ein lächeln und kümmerte mich dann wieder um das Ziel meines Begehrens. Ich küsste nochmals die Spitze und lies dann sanft meine Zunge oberhalb der Öffnung kreisen. Die entlockte meinem geliebten ein tiefes seufzen. Ich strich mit der Zunge entlang der Eichelkranzes um ihm so Freude und Lust zu bereiten. Seine Finger vergruben sich in meinen Haaren und ab und an zogen sie an ihnen, dies spornte mich noch mehr an ihm Entspannung zu schenken.Ich schloss meine Lippen nun sanft um seine Eichel und glitt dann sanft seinen Schaft entlang. Meine Hand ergriff seine Hoden und ich wiegte sie sanft zwischen meinen Fingern. Ich konnte nicht genug von ihm bekommen, er schmeckte so unglaublich gut und der Geruch den sein Intimbereich verströmte raubte mir den Verstand. Immer schneller ließ ich meinen Mund über seinen Schaft gleiten und so stöhnte er kaum hörbar in seine Hand die er sich auf seinen Mund gelegt hatte. Ich ließ ihn nun aus meinem Mund gleiten und kümmerte mich nun voller Inbrunst um seine Hoden. Ich saugte zuerst einen nach dem anderen in meinen Mund und leckte und sog an ihnen, danach tat ich dasselbe mit beiden gemeinsam.„Damianos ich kann nicht mehr, ich bin gleich soweit, lass es oder erlöse mich endlich bitte.“Seine Hoden ließ ich aus meinem Mund gleiten und sah ihn mit einem schmutzigen lächeln an.„Wie du wünscht Nikolaos, dann höre ich halt auf.“Kaum gesagt spürte ich seine Hände an meinem Kopf welche mich wieder in Richtung seines Liebesstabs lenkten. Ich konnte mir ein Grinsen nicht verkneifen bevor er mich mit meinem Mund auf seinen Penis drückte. Er schob mich immer weiter und ich kämpfte gegen meinen Würgereflex. Dies schien ihm aber nicht zu kümmern in diesem Moment und diese ungekannte Seite an ihm gefiel mir. Ich fokussierte mich nun wieder völlig auf ihn und seinen Lustspeer und lies ihn gewähren. Immer schneller nahm er sich, nach was ihm verlangte und ich konnte hören das sein Atem immer schneller ging lange konnte er dies nicht mehr aushalten. Wenige Stöße später verkrampfte er sich und ich konnte ihn scharf Luft einsaugen hören, im gleichen Moment konnte ich fühlen wie sein Schwanz zu pulsieren begann. Sämige wohlschmeckende Flüssigkeit flutete nun schubweise meinen Mund und ich konnte und wollte nichts anderes als ihn nun völlig zu schmecken. Ich schluckte nun den Saft welchen er mir in seiner Lust geschenkt hatte und er schmeckte für mich als sei es Ambrosia (Speise der Götter). Kaum das er sich etwas beruhigt hat ließ er meinen Kopf los und so konnte ich ihn aus meinem Mund gleiten lassen. Ich gab ihn einen letzten Kuss auf seine Eichel und erhob mich dann.„War es für dich genauso schön wie für mich?”„Damianos du bist verrückt aber ja es war wunderschön. Wir sollten jetzt aber zu den anderen gehen wir werden sicher schon vermisst.”„Ähm Nikolaos du solltest dich noch kleiden, sonst werde ich eventuell noch Eifersüchtig.“Er sah mich entsetzt an und musste dann loslachen als ihm auffiel das er noch völlig nackt vor mir stand. Nachdem ich ihn beim ankleiden geholfen habe kehrten wir wieder zu den anderen zurück.„Damianos ich würde wenn du nichts dagegen hast heute mit dir die Bettstatt teilen.“Diese Worte die er mir kurz bevor wir die anderen erreichten ins Ohr flüsterte, zauberte mir ein Lächeln auf die Lippen und ich konnte nur nicken. Kaum das wir in den Raum traten blickten uns einige kurz an um dann sofort wieder in ein Gespräch vertieft wegzusehen. Selene und Kyra allerdings ließen ihre Blicke auf uns ruhen und lächelnden uns an so als ob sie uns ansehen könnten was wir vor kurzen getan hatten. Na endlich haben sie sich gefunden 😉 Kommentare wie immer erwünscht.

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Le piège et ses suitesAvec mon petit ami du moment, par ce beau dimanche de printemps, nous faisons une balade bucolique dans le bois non loin de notre immeuble. C’est en sortant de cette petite forêt que nous rencontrons un ami de Jean, mon copain du moment. Entre eux, c’est les grandes retrouvailles, les embrassades et les accolades sans fin. Enfin, il nous présente sa femme, une belle femme un poil plus âgée que moi. À son cou divinement fin, elle porte un serre-cou avec un anneau sur le devant. J’en ai déjà vu porté par de jeune demoiselle pas encore dégrossies. Mais aussi dans des revues, par des femmes soumises à leur Maître. Très vite, en gagnant une petite buvette à peine sortie de l’hibernation, je me prends d’amitié avec elle et c’est réciproque. Autour d’un verre, Paul, l’époux, nous dit que sa femme a cessé de travailler pour ne plus s’occuper que de leur maison fraichement terminée. Le problème, ce n’est pas qui nous le dise, mais le ton employé qui me chagrine un peu. Il semble dédaigneux dans sa manière de parler de sa femme, comme si elle n’était là que pour lui porter sa bière et lui tailler une pipe. Et Véronique, elle ne bronche pas, ne se révolte pas, complètement passive, comme soumise à son mari. Le pire, c’est qu’au bout d’un moment, d’entendre Paul parler de sa femme en des termes à la limite de a vulgarité, been ça me met en transe, allez savoir pourquoi. Plus tard, nous nous séparons avec une invitation pour un souper, un de ces samedis à venir. Paul nous invite même à passer le weekend dans leur maison. Jean se fait un plaisir d’accepter alors que moi, je suis un peu plus sur mes gardes sans encore savoir pourquoi. Bref, trois semaines plus tard, ce n’est pas un samedi, mais un vendredi soir que nous rejoignons Paul et Véronique. Il est vrai que la maison n’est pas petite. Sur un étage, je préfère, elle couvre une sacrée surface et le terrain tout autour, est immense, presque plus grand qu’un terrain de foot. Jean sonne, il tient le sac contenant nos petits présents. C’est Véronique qui nous ouvre, tout sourire de nous voir enfin débarquer. Après nous avoir fait la bise, elle nous conduit au salon en s’excusant de ne pas nous suivre. Elle prétexte un petit contrôle de son souper. Dans le salon, c’est tout juste si Paul se lève pour nous accueillir. Il semble même distant au moment de me serrer la main. Je dirais même froid comme un iceberg. Bref, Véronique accoure nous servir un verre, elle s’est changée pour une robe très courte, s’ouvrant sur le devant. De plus, elle est pied nu. Mais c’est à son cou que le changement est le plus flagrant, elle porte un collier de cuir, comme celui que portait Rex, le chien de mes parents, c’est un collier étrangleur. Mes yeux exorbités ne peuvent plus quitter Véronique. Si elle m’impressionne, le mot est faible. Surtout que je venais de terminer la lecture de cinquante nuances de Grey. Dans ma tête, je n’ai plus de doute, Véronique est une soumise. Alors qu’elle retourne à la cuisine, j’en profite pour la suivre, jouant la curieuse du repas qu’elle concocte. -Dis, ton collier, c’est bien ce que je pense ?-Ma femme est une soumise, ma soumise. Elle l’est 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. M’annonce Paul sur un ton sarcastique et un sourire de pervers.-Une soumise ? Mais une soumise comment ?-Si tu préfères, elle est plus qu’une soumise, c’est mon esclave. Et cela dur depuis nos fiançailles. Tu peux la gifler, l’obliger de te lécher tes pieds, elle doit t’obéir sinon, elle sait qu’elle sera punie. J‘en étais sur le cul d’entendre Paul parler ainsi de son épouse. Ok, je sais que ça existe pour de vrai. Mais de là à me retrouver en face d’une femme esclave de son mari, j’étais sur le cul. Dans le salon, j’annonce cette nouvelle à mon Jean qui ne semble pas trouver cette nouvelle extraordinaire. Il me dit même qu’il était déjà au courant depuis l’épisode de la buvette. Et il savait, ce con et il ne m’en a rien dit ? Mais pourquoi ? Oh je sais, pour ne pas me faire peur. Mouais, c’est surtout pour que je ne refuse pas l’invitation. Bref, je suis très mal à l’aise devant cette situation peut commune. J’ai peur que… Oh mon dieu, Véronique vient d’entrer au salon, pieds et poings menottés. Elle porte un plateau pincé à ses seins, superbes seins au passage. -Tu vois, Jeanne chérie, elle ne déteste pas !On voit que ce n’est pas lui qui porte le plateau à ses tétons. Là, pour tout dire, je n’ai plus qu’une envie, rentrer. Véronique s’agenouille devant moi, humble, terriblement belle. Sur le plateau, je prends l’un des verres. J’ose même une caresse sur sa joue. Son sourire me fait plaisir. Elle me fait même une petite moue avec ses lèvres, comme…oui comme si elle m’embrassait. La main de Jean sur mon genou et qui commence à retrousser ma jupe, je me sens tout chose, comme si Jean et Véronique m’avaient envoyé une décharge électrique dans le corps et cette main qui remonte encore, touche ma culotte que je sais mouillée depuis peu. J’ai voulu croisé mes jambes, Jean, par sa main, me l’interdit. J’étais sans voix quand Paul, caressant la longue chevelure de Véronique me raconte comment tout a commencé. Au début, c’était un couple tout ce qu’il y a de plus normal. Un jour, voulant mettre un peu de piment dans leur vie de couple, Paul a emmené sa future dans un sexshop et là, le jeu de domination et soumission pouvait commencer. Il lui demanda de choisir des dessous et d’aller les essayer dans une cabine. Là, après qu’elle se soit mise nue, il ouvrit le rideau en empêchant Véronique de le refermer. Un autre jour, elle dut mettre une très courte jupe sans culotte. Une autre fois, c’est une robe presque transparente pour faire ses courses avec un bondage serré sur son corps et tous pouvait le voir car, la robe était moulante :-Bref, dit Paul, au fil des jours, elle est devenue ma soumise avant que je ne commence à la fesser pour un repas trop salé ou un verre pas propre. De fil en aiguille, acceptant, me demandant même, je me suis fait plus sévère jusqu’à ce qu’elle me demande officiellement à devenir mon esclave. Ça s’est fait ans un club SM, devant une vingtaine de personnes. Tiens, regarde son pubis, Caroline, approche, n’ai pas peur. Je me suis approchée devant Véronique toujours à genou, le corps bien droit et là, Paul a soulevé le bas de sa petite robe, me dévoilant un tatouage qui dit qu’elle est sa propriété. Enfin, comme pour mettre la pression, il me montre une lettre signée par Véro qui est sa demande de soumission. Derrière moi, Jean glisse sa main sous ma jupe, juste sur mon cul, titillant mon anus de son majeur et je pars, je jouis, j’ai un orgasme qui me met au tapis devant Véronique. En relevant mon visage, j’ai le sexe annelé de Véro sous les yeux. Pour un peu, elle pourrait me pisser dessus que je ne pourrais pas l’éviter. En me relevant, Paul me tend une main secourable. Piège à cou, oui ! Cet enfoiré m’attire tout contre lui, me colle sa bouche sur la mienne pour me rouler une pelle que je n’arrive pas à lui refuser. Surtout que ce saligot me pose ses grosses paluches sur mon cul sans que Jean n’intervienne pour me défendre. -T’avais raison, Paul, il lui en faut peu pour basculer du côté obscur. ¨-Elle est comme ma Véro, il faut juste les mots qui vont avec sa personnalité et la voilà docile. Et sur un ton si naturel que j’avais l’impression qu’il parlait de moi comme d’un morceau de bidoche. Certes, j’étais vaincue, mais pas totalement. Le coup de grâce est venu de Véro qui s’est jetée sur moi une fois son plateau retiré de ses seins. Ma culotte m’est retirée, presque arrachée. Jean me tient par les pieds, me les écarte. Paul me retient mes bras et Véro s’insinue entre mes cuisses pour me brouter la chatte comme une salope. En quelques instants, il ne me reste plus que ma jupe. Les mains de Paul malaxent doucement mes seins. Et je jouis encore tellement mon corps à soif d’orgasmeS. Quand Paul me pince mes mamelons durs comme de l’acier, je jouis encore. La langue et les doigts de Véro sont dans mon cul et mon mec se branle sur ma tête. -Donne-moi ta bite, je t’en supplie mon Jean, donne.-Tu vois, maintenant, elle en réclame ta meuf. -Si tu me l’avais dit y deux mois, je t’aurais traité de fou. Aller, suce ma salope, suce bien. -Oui mon Jean, en profondeur, comme tu aimes. J’ai sucé cette queue comme si c’était un présent des dieux. J’avais envie, une envie dévorante de jouir, de faire jouir, de bouffer du foutre jusqu’à plus soif. Je crois bien que je n’avais jamais sucé sa queue avec autant d’enthousiasme que ce soir-là. Celle de Paul se découvre, plus épaisse que celle de mon Jean, je passe d’une à l’autre alors que la fine main de Véro s’enfonce inexorablement dans ma chatte. Je pars encore, Jean jouit sur mon visage, c’est à peine si j’en ai quelques gouttes sur ma langue. Je le branle encore en me tournant vers celle de Paul que je tète à fond, que je glisse jusque dans mon larynx. Si je ne suis pas encore une salope, je suis sur la bonne route, c’est clair. Dans ma chatte, cette main me fait vivre l’enfer. Orgasme après orgasme, je perds tout contrôle. C’est encore pire quand Paul jouit dans ma bouche. Je me délecte de son sperme plus épais et moins salé que celui de mon homme. je demande grâce, on me refuse cette escort hatay grâce. Dans mon cul, trois doigts commencent à s’enfoncer alors qu’une main occupe toujours ma chatte. Je crois mourir quand cette seconde main coulisse dans mon fion déchiré. Je hurle mon bonheur de jouir encore et puis, plus rien. C’est bien plus tard que je retrouve mes esprits. Paul me montre en train de jouir, les deux mains de Véro dans mon corps pratiquement jusqu’au coude. Je suis encore fatiguée, mes poignets portent des bracelets de cuir, je n’ai plus ma jupe et chatte est totalement rasée de près. Je regarde Jean assit près de mes pieds, il me pose des bracelets de cuir à chacune de mes chevilles. -Ma chérie, ce soir, c’est ton dernier jour de liberté. -Oui mon amour. -Pas mon amour, mais Maître. Dès lundi, avec l’aide de Paul, je vais aller voir une maison pas très loin d’ici. si l’affaire se fait, tu ne travailleras plus pour ne plus t’occupe que de moi et de la maison. comme Véro, tu seras entravée en permanence. Je pourrais te punir quand bon me semble, à la moindre faute, au moindre manquement. Cependant, je te laisse encore le choix jusqu’à dimanche. Si tu me quitte, on en reste là. sinon, dans six mois, tu m’épouse !Ses mots sont calment, posés, si persuasifs dans le ton que j’accepte sans même réfléchir à ce que pourrait être ma vie future. C’est Véro, autorisée à me parler qui m’explique ce que Jean attend de moi. Du coup, mon Jean m’oblige à aider Véro dans toutes les tâches durant tout le weekend. C’est d’une sévère claque sur mes seins que Jean m’oblige à me lever pour relier mes bracelets de chaines. En regardant tout autour de moi, je vois qu’il est déjà plus de minuit et que je n’ai encore rien mangé. Je regarde la table, je ne vois que deux couverts. Véro s’en va dans un coin du salon, se met à genou, se penche. Je l’entends qui lape quelque chose. En y regardant de plus près, elle mange à même une gamelle ce que nos Maîtres vont manger tranquillement dans leurs assiettes. Près de la gamelle de Véro, il en est une autre que Paul me destine en me la montrant du doigt avec autorité. Jean, devant ma petite hésitation, m’att**** par ma nuque et me force à m’agenouiller près de Véro, me plongeant mon visage dans cette gamelle. Je me sens soudainement humiliée, mais dans mon corps, c’est tout autre chose, lui, il aime plus que ma tête. Je mange comme je peux. Je ne suis pas aussi habituée que Véro à manger comme un clebs. Pourtant, en me forçant un peu, j’y parviens. Je vide même cette gamelle et j’ai encore une faim de loup. À table, j’écoute ces deux hommes parler de moi, de ce qu’il me faut ou ne faut plus. -Tu vois, je n’ai rien pour la contraindre chez nous.-T’inquiète, dans la journée, on ira faire quelques achats pour elle. Y a un bon magasin à vingt minutes d’ici, une mine pour tout ce qui est SM. Y a tout, même le superflu. Tu verras et pas cher avec ça. Après, si tu veux une qualité supérieure, il y a un autre magasin qui te propose des cravaches faites à la main, de même pour les martinets et tout ce qui peut habiller une esclave. Pire, à deux pas de la première, y a une boutique de fringue, c’est là que j’habille ma petite pute. -Ok, ben on verra bien. -C’est tout vu, mon gars. Viens, je te montre ce que j’ai fait dans le garage et la pièce du fond.En nous abandonnant, les deux hommes nous quittent pour cette visite. Après une ou deux minutes, Paul nous appelle toutes les deux. -On y va à quatre pattes, tu verras, ça va te plaire, ma chérie. Me dit Véro avec un large sourire. Ils vont nous fouetter, nous mettre des pinces et peut-être même nous couler de la cire brulante sur nos corps. tu finiras par adorer, ma chérie.-Parle pour toi, je ne suis pas encore une maso !-Qui te parle de masochisme ? Pas moi, quoi que. Non, ce que j’aime, c’est après, quand mon Maître m’encule, me baise et me fait jouir. À quatre pattes, nous rejoignons le garage. Je suis encore une fois sur le cul en voyant ce que Véro appelle le donjon. Pour moi, cela tient plus d’une salle de torture qu’à autre chose. Mais très vite, je suis plaquée contre un grand X par quatre mains très puissantes. Face à ce X, je suis attachée par mes bracelets et fessée avec une sorte de paddle, je crois que c’est comme ça que ça s’appelle. Dans mon cul, on m’enfonce un truc en métal, il est large, long et on me l’attache à ma taille. Sur ma cuisse, je sens quelque chose de doux. Merde, j’ai une queue de renard dans mon fion ! Quoique… ce soit très agréable surtout quand cette même main se met à le bouger dans tous les sens. Sauf que sur mon dos, entre mes épaules, des lanières frappent durement. J’ai mal en même temps que j’éprouve du plaisir. Ce mélange me met à la limite d’un orgasme. Cet orgasme, je le veux, je le désire plus que tout au monde. Pas loin, une voix pousse des gémissements, Véro est enculée par un gros gode. Quand elle pousse un petit râle très expressif, j’explose comme si tout mon corps se déchirait en milliard de petites particules, comme si mon orgasme me démembrait de l’intérieur, me disloquait, rebondissait dans mon corps. Là, j’étais prête à aller plus loin encore, sans savoir encore jusqu’où ces eux fumiers voulaient que j’aille. Enfin, quand je dis fumier, ce n’est péjoratif, non, loin de là, c’est plus dans le sens affectif. J’aurais très bien pu dire ces deux amours. La bite de mon Jean me défonce ma rondelle juste après avoir retiré cette queue. Il se fait sauvage et jamais je ne l’ai senti aussi brutal dans mon fion. Pire que tout, je me mets à le supplier d’y aller encore plus fort. Plus fort, j’ai eu, sous la forme d’une magistrale grosse fessée, une cuisante. Pire que celles de mon enfance. Et pour tout dire, même si je souffre, j’adore. En fait, en quelques heures, je suis passée de la fiancée bien sous tous rapports à une salope de la pire espèce. Autant dire que ce n’était pas une route, mais une autoroute. Enfin, devant nos corps épuisés, nos Maîtres nous rassemblent pour une dernière humiliation, nous pisser dessus. Un peu craintive, voire déjà dégoutée et pourtant, quand Véro colle sa joue contre la mienne, la bouche ouverte, la langue tendue. Je l’imite, reçois les premières gouttes et je me mets à boire directement à la source de Paul et ma Véro à celle de Jean. après cette douche dorée, Véro et moi, nous nous léchons nos corps recouverts de foutre, de pisse, je me délecte de sa chatte quand elle me pisse dans la bouche. Nom d’une moi (PUTAIN), plus je me fais rabaisser, plus j’aime ça, je jouis quand Véro me broute mon minou et que je me soulage à mon tour. Après quelques heures de sommeil, une douche et une gamelle de céréale, mon Maître m’enfonce un plug de métal dans mon cul avec une jolie de renard qui pend sous une très courte robe prêtée par ma Véro. Dans la voiture, je me rends vitre compte des effets que procure ce genre d’objet et j’adore ce que mon corps vit. Une petite demi-heure plus tard, en laisse, oups, c’est la toute première fois et en public, mon Jean me guide vers l’entrée de sexshop. Une fois à l’intérieur, je me retrouve avec la robe ouvert, ma poitrine à l’air comme ma chatte. Pire, mon Maître relève l’arrière pour me poser sur mon plug à queue. Dans ce magasin, je sens tout le poids de ces regards envieux posés sur moi et Véro. Nos Maître nous guident à travers les rayons jusqu’au coin SM et fétichiste. Ce que je découvre me stupéfie, surtout cette longue cravache à l’extrémité très fine que mon Maître prend et m’assène un bon coup sur mon cul. Si je pousse un petit cri, je crois que mon sourire fait qu’il la prend. Il défait mes mains, m’ordonnant de choisir de quoi me punir. MartinetS, cravacheS, paddleS, tout passe. Si je ne prends pas ces boites de pinces à linge, c’est parce que j’en ai plus qu’il n’en faut chez nous. Puis, ce sont les bracelets de cuir, les menottes avec ou sans chaine, court ou longue. J’en prends deux paires pour mes poignets, une sans, l’autre avec chaine. Pour mes cheville, deux avec chaine, une courte et une longue. Mon Maître me montre trois colliers, un en cuir, l’autre en métal et un étrangleur, je pose les trois dans mon panier. Satisfait, mon Maître m’emmène vers le fétichisme et m’habille non sans me faire essayer chaque vêtement devant lui, aux yeux et à la vue de tous. Même Véro n’y échappe pas. si je rougis de honte, ma chatte trempe, même que cela coule sur mes jambes jusqu’à mes pieds. Quand Paul lui montre une grosse menotte toute seule, avec une chaine relativement longue, qu’il montre, sur Véro, où elle se met, mon Maître me la met immédiatement à mon cou après avoir retiré mon collier de cuir. Enfin, le rayon chaussure. Là, il ne veut que des talons hauts de dix centimètres au grand minimum. Ceux que je vois me mettent dans tous mes états et je veux essayer cette paire de bottillon avec leurs talons de dix-huit centimètres. Une fois aux pieds, il me faut l’aide de Véro et de mon Maître pour faire mes premiers pas. Je n’ai que l’extrême extrémité de mes orteils qui touche le sol. Cela me fait un effet bœuf quand en plus Maître Paul me fout sa main au panier. Maître Jean se permet encore de me prendre plusieurs godes, tous de bonnes et grosses tailles. Il choisit aussi, sur les conseils avisé de Maître Paul, des vibromasseurs hatay escort bayan de même tailles que les godes. À la caisse, la carte de crédit dans ma main, suprême humiliation, je passe tout dans les mains poisseuses de ce gros homme vulgaire. Il ne cesse de me reluquer, caressant mes mains que je ne peux retirer, c’est un ordre de mon Maître. En fait, je dois même me laisser peloter par qui le désir sans que je ne puisse refuser sous peine d’une lourde punition. Si pour certain cela ne pose aucun problème de me fourrer leurs sales doigts dans ma chatte, mon cul leur reste interdit. Il n’en est pas de même pour ma Véro près de moi. Son cul, à défaut du mien, se fait durement darder par un ou plusieurs doigts sous le regard goguenard de nos Maîtres. Enfin, le payement fait, mon Maître referme ma robe sans pour autant cacher mon cul. Dehors, il me met même un gros gode que je dois porter comme un cierge allumé. Près de la voiture, un à un, je dépose chaque objet dans le coffre en le nommant haut et fort. Je suis rouge comme une tomate et mon entrejambe baigne dans ma mouille. Chez Maître Paul, les deux Maîtres m’attache solidement, m’enfonce un gros vibro dans ma chatte, me l’attache de sangle de cuir avant de me cagouler et de m’habiller d’un corset de cuir rigide. En plus du corset, on me retire ma menotte qui me faisait office de collier pour me mettre une minerve en cuir, me bloquant mon cou. Sur mon cul, la longue et fine cravache finit par s’abattre violement. J’ai mal, je le crie, on me bâillonne et on recommence je ne sais combien de fois. Je ne sens plus mes fesses, j’ai même l’impression de ne plus en avoir s’il n’y avait ce plug bien enfoncé à l’intérieur de mon anus. C’est sur ma poitrine bien posée sur le balconnet de mon corset que les coups viennent s’abattre. Ils pleuvent si fort que je ne les vois plus tellement les larmes inondent mes yeux. Cette fois, je n’y échappe pas, j’ai droit à la total. Ce vibro dans ma chatte, je crois que c’est encore pire que les coups que j’encaisse. Il me fait jouir au pire moment, quand la cravache frappe mes mamelons durs comme de la pierre. Pire que tout, les orgasmes s’enchainent à un rythme que mon corps peine à supporter en plus des coups de cravaches. Quand tout s’arrête, c’est autour de Véro de souffrir pendant que mon Maître me bourre la chatte en plus du vibro. Une expérience douloureuse pour qui est étroite comme moi. Sa bite collée au vibro, après quelques minutes, c’est l’enfer sur terre qui se déchaine dans mon corps au point que mes yeux se ferment et que je n’entende plus rien. Je me réveille en pleine nuit, attachée, posée sur le ventre, le corps en feu dans un silence de mort. Rien ne bouge, je ne vois rien, il fait nuit noir autour de moi. Je ne peux pas remuer, mes membres sont attachés les uns aux autres. Je ne peux pas crier, je suis encore bâillonnée. J’ai soif, je n’ai rien à boire, j’ai faim, rien à manger. Même si, peu à peu, je peux voir des formes autour de moi, je ne sais pas où je me trouve. Dans ma tête, je me fais déjà tout un cinéma. Je me vois vendue à un quelconque homme ou femme pervers, sadique jusqu’au bout des ongles quand soudain, mon corps se met à vibrer. Oh merde, j’ai encore ce foutu vibro en moi et mon corps adore ça qui plus est. Une porte s’ouvre, un bruit de chaine, je n’arrive pas à me tourner. Une douce main se pose sur mes fesses, elle étale de la pommade. L’autre douce main me retire mon bâillon, une bouche me fait chuuut. Sous ma bouche, je sens cette gamelle, c’est de l’eau, je la vide. Véro en profite pour me mettre une cagoule qui ne couvre que le haut de ma tête, elle s’arrête au bout de mon nez.-Ma douce chérie, tu subis l’épreuve d’endurance, ne lâche rien, tiens bon. Je t’aime ma douce. Il y a mangé sous ta bouche, c’est du dessert, régale toi. Un baiser et plus rien, le silence et la nuit. Je ne sais combien d’heure j’ai passé dans ce lieu inconnu. Si je parviens à garder mon calme, je n’arrive pas à dormir avec ce vibro qui ne cesse de vibrer dans mon corps. Je suis si crevée que je n’arrive plus à avaler ma propre salive. Deux, trois peut-être plus, des jours peut-être, je ne sais plus, le temps, pour moi, s’est arrêté. La porte située derrière moi s’ouvre, je sens son faisceau de lumière près de moi. Une main rude me retourne, je ne vois l’homme qui me caresse, je présume que c’est mon Maître. Ses mains me délivrent mes jambes, mes bras. Tous mes membres sont engourdis d’être resté si longtemps immobiles. On me lève, je chancelle, on me soutient, on me fait marcher de force. Puis on me pose sur une chaise, on retire mon bâillon avec ordre de faire silence, on me donne boire, à manger, c’est un sandwich. Pour moi, c’est un repas de fête. Deux autres mains viennent laver mon corps, ce sont celles de Véro, ma douce Véro. Quel jour sommes-nous ai-je envie de demander, de hurler. Je me tais pourtant, docile soumise que je suis devenue. Sur mes seins, ces douces mains étalent de la pommade. On me retourne, ces mêmes mains en mettent une bonne couche sur mes fesses, le tout dans un silence monacal. Je porte toujours ma cagoule. Cette bite qui force ma bouche, je la connais par cœur, c’est celle de mon Maître que je m’empresse d’emboucher, de pomper, de sucer si cela peut me permettre de sortir de la nuit. Je suce, l’avale entièrement, passant outre ma luette, plongeant dans mon larynx. C’est bien elle, celle qui me fait si merveilleusement jouir quand elle pilonne mon corps. Il y a ce foutre qui me noie de plaisir car j’ai osé me caresser pendant que je pompe cette bite si bonne. Ce foutre, tout comme le sandwich, c’est une bénédiction dans ma bouche. Je ne peux m’empêcher de jouir en étalant ce qui a débordé de ma gueule de salope. Je sens aussi la langue de Véro venir lécher ce trop-plein. Ma belle, que j’aimerai t’aimer, te faire jouir jusqu’à plus soif. On relie mes poignes, une main claque violement mon cul avant que mes chevilles soient reliées entre-elles. Cette queue revient à la charge, non pas pour que je la suce, mais pour se soulager. Ma bouche est prête, ma langue sortie et je bois, je me gave en essayant de ne pas en perdre la moindre petite goutte. Pourtant, une autre bouche guette, lèche déjà ce qui coule de chaque côté de mes lèvres, la douce bouche de Véro. Après s’être retiré, la main de mon Maître guide ma tête vers celle dont je suis tombée amoureuse, Véro. Nous nous embrassons longuement avant mon Maître ne me bâillonne à nouveau, me couche à même le sol de bêton. Et c’est à nouveau le silence autour de moi. Couchée sur le ventre, ma tête imagine, me turlupine, m’angoisse avec ses idées complétement folles. Je crois devenir folle de mon imagination, folle de ne pas savoir, de ne pas connaitre de quoi sera fait demain. À propos, c’est quand demain ?Ce foutu vibro, il ne s’arrête donc jamais. Il me rend aussi folle que mon imagination. Il m’arrive même de souhaiter mourir pour ne plus sentir cette chose vibrer dans ma chatte devenue encore plus douloureuse que mes fesses et mes seins réunis. Je ne sais où je suis, sous moi, ce n’est plus du bêton, mais une sorte de moquette ou un tapis, allez savoir. Tout ce que je sens sous mon dos…Yes, je ne suis plus sur le ventre. Me cul remue, c’est un doux tapis que mon cul sent. Et…merde, plus de vibro non plus. Je me retourne, j’y parviens très facilement, même entravée. J’en suis à parier que tout était prévu de longue date, dans mon dos, à mon insu. Je ne peux me retourner plus qu’un demi-tour, à mon collier, une chaine me retient encore. Si mes jambes sont aussi libres, ce n’est pas le cas de mes bras. Je porte encore ma cagoule. Je n’ai plus la moindre notion de temps. Pour moi, cela fait deux jours, une semaine, un mois, qu’est-ce que j’en sais. Je crois que c’est encore pire que le vibro. Une odeur de céréale et de lait parfum mon nez. Oui, il y a une gamelle sur ma droite, j’arrive même à m’en approcher. Je lape, aspire tout ce que je peux, je peux même lécher. Mince, je n’ai plus mon bâillon. Mais alors, je pourrais crier, hurler, appeler du secours. Non, je ne m’en sens pas le droit. Et puis y a Véro, si je me souviens bien, elle m’a demandé de tenir le coup aussi longtemps que possible. Mais si je décide que cela assez duré, se pourrait-il qu’ils m’entendent crier ?Pour me rassurer, je me mets à chantonner une vieille rengaine apprise à l’école enfantine. Je ne chante pas fort, juste assez pour me donner du courage. Un sentiment de bien-être m’envahit en fredonnant, il me semble même remonter au temps béni où j’allais encore à l’école. De cette époque, je reviens lentement à ma vie actuelle, passant par toutes les périodes de ma vie, de mes premiers amours, de mon premier vrai baiser jusqu’à mon dépucelage tellement doux avec mon Jean. il s’était montré si grand Seigneur en me faisant l’Amour si tendrement que c’est à peine si j’ai senti mon hymen se déchirer. Plus je revois ces images de mon passé, plus je sens mon corps s’échauffer. Il faudra un tout petit rien pour je jouisse, juste une petite caresse, un petit courant d’air sur ma chatte pour que j’explose. Je revis toutes les fois pendant lesquels mon Jean m’a fait l’Amour jusqu’à vendredi soir, le jour de mon changement de vie. Je revois tout, encore une hatay escort fois, jusque dans les moindres petits détails. Et le miracle arrive, je jouis en poussant un long hurlement de bête en rut. Un râle si puissant qu’il parvient à m’assourdir pendant un moment. Tout mon corps s’est vouté sou l’effet puissant de mon orgasme. J’étais tendue comme un arc prêt à lâcher sa flèche. La porte s’ouvre au moment où tout mon corps s’apaise. Une main se pose sur mon ventre, le caresse, c’est celle de mon Maître, j’en suis presque certaine. Mais non, cette voix, c’est celle de Maître Paul. Il me demande si tout va bien. Je vais bien, merveilleusement bien. Je tente de me redresser pour l’embrasser, lui dire combien je suis heureuse. La chaine me rappelle à l’ordre. -Ma chère, vous venez de battre le record de Véro. -Un record Maître ?-Oui, 96 heures dans le noir complet, sans qu’on ne vous parle. Et en plus, tu parviens même à jouir. Je ne pensais pas à te dire ça, mais tu es une soumise merveilleuse, exceptionnelle même. Viens délivrer ton amie, Véro. Prends grands soin d’elle. Jean est sorti voir un notaire. -Quel jour sommes nous, Maître Paul. -Nous sommes jeudi, il est presque onze heures du matin et on va aller te baigner. Délivre la et tu lui coule un bon bain mon amour. -Avec plaisir mon Maître adoré. J’adore la voix e ma Véro quand elle parle ainsi. Si je suis rapidement libre, ma cagoule enfin retirée. Je ne peux encore marcher. Mes jambes, elles n’ont pas marché depuis plus de 96 heures, c’est long. Il me faut le massage de Véro, un massage sensuel, délicat, merveilleux et, mais surtout, si jouissif quand sa main se perd entre mes cuisses. Debout, peu vaillante encore, Maître Paul et sa douce esclave m’aident à me rendre dans la salle de bain. Maître Paul m plonge lentement dans cette eau délicieusement chaude. Véro y pénètre à son tour pour me laver entièrement. Je n’ai qu’à me laisser chouchouter, dorloter, coucouner et tout et tout, pour une fois depuis vendredi passé. Que c’est bon de sentir bon. Mon cul ne sent plus, la bouche et la langue de Véro y veillent. Ma chatte n’est plus malodorante, la bouche et la langue de Véro y font un merveilleux ouvrage. Les mains de Paul se font douces sur mes seins. Sa bouche sur la mienne équivaut à du miel. J’ose même lui dire que je l’aime. Mon dieu, j’ai clamé mon amour à un autre que mon homme, suis-je folle, oui, je le suis de ce couple, de leur soif de pousser plus loin les limites de l’amour. Paul nous laisse. Véro me raconte sa vie entièrement tournée vers son dévouement au service de son époux. Je sais que Paul écoute, je n’en doute pas une seconde. Je l’imagine sourire quand Véro m’apprend que c’est elle qui a désiré être tatouée. À mon oreille, elle me glisse qu’elle rêve de porte plusieurs anneaux. Cependant, il en est deux qu’elle veut absolument, sur son nez et l’autre sur son clitoris. Quand elle me donne la raison, tout sourire, les yeux brillants de mille feux, je comprends son désir de se voir promenée en laisse tenue ou par son nez ou par son clito. Je me mets à imaginer Jean me promenant nue, une laisse accrochée ou à mon clitoris ou à mon nez. Je me vois aussi faire les boutiques, ma laisse confiée à des vendeurs, hommes et femmes, qui me tourmentes, me baisent, m’enculent ou m’obligent à lécher chattes et cul, à boire leur urine. Je m’imagine ma laisse accrochée devant un bar, tel les chevaux devant un saloon avec un vaste abreuvoir devant moi. je vois même Véro accrochée comme moi, juste à mes côtés avec nos seules bouches de libre pour nous embrasser tendrement. Deux mains qui claquent entre-elles me font sortir de mon rêve. C’est Maître Jean, il est de retour, frais comme un gardon. -Ma chérie, c’est fait !Oui, mais quoi ? -Paul, j’ai signé, voici les papiers qui te reviennent. T’as plus qu’à signer et on peut entamer les travaux. -Viens boire une bière pendant que je te signe tout ça, mon pote. J’allais pour demander quoi quand l’index de Véro se pose sur ma bouche. Elle attend que mon Maître rejoigne Paul avant de me dire :-Nos Maîtres ont décidé d’agrandir la maison. ils veulent ajouter une nouvelle chambre à coucher, une nouvelle salle de bain et un donjon pour nous punir. Chut, ne parle pas, ma chérie. Rends-toi compte que nous allons servir nos Maîtres, toi et moi, toutes les deux, tous les jours, du matin au matin sans que cela ne cesse jamais. -Ma chérie, mais c’est fantastique, merveilleux. Toi et moi, je n’ose encore l’imaginer. -Chut, ce n’est pas tout. Comme la maison sera plus grande, nous serons aussi obligées de baiser avec tous ceux qui franchiront la porte. ils veulent faire des partouzes dans le salon qui va doubler de volume, peut-être plus, je n’en sais encore rien. -Tu nous vois baiser avec dix, vingt ou plus. Nous deux remplies de foutre, de pisse et ces bites qui se vident en nous sans interruption ?-Mais c’est exactement ça qui vous attend, mes deux commères. Sortez de ce bain et venez au salon voir les plans. S’exclame mon Maître. Aussitôt dit, aussitôt sèches, Véro et moi. Main dans la main, nous gagnons le salon. Je ne sais pas si cette merveilleuse nouvelle ou quoi, mais nous arrivons comme des chattes en chaleur, marchant sur la pointe de nos pieds. Mon Maître déroule les plans, Maître Paul nous situe, nous montre ce qui va changer, s’agrandir, s’ajouter et :-Ma chère, il nous faut te dire que nous avions, Jean et moi, avec l’aide de ma merveilleuse et docile épouse, tout programmé depuis près d’un an. Il ne manquait plus que toi. je suis désolé si nos procédés ton choquées, mais il le fallait. -Maître Paul ne vous excusez plus jamais devant moi, plus jamais. Je préfère recevoir une bonne fessée, une bonne gifle que de vous entendre vous excuser. -Ma chérie, est-ce à dire que tu ne veux pas revenir en arrière ?-En arrière, foutre non, jamais de la vie. je viens de passer 96 heures attachées, dans le noir, le silence et vous voudriez que je renonce à me soumettre à vous deux, me séparer de mon amour de Véro. Qui plus est, pendant mon bain, mon Maître que j’aime, j’ai osé dire à Maître Paul que je l’aimais. -Eh bien voilà qui nous satisfait. Il ne reste plus qu’à alors !-Plus qu’à ! Les filles, une bière ?-Merci Maître mais…-Une bière ?-Oui mon Maître. Répond Véro à mon Maître, la tête baissé, un joli sourire à ses lèvres pulpeuses.-Mes Maîtres, on pourra dire que je suis tombée dans un merveilleux piège. -C’est vrai ! Et tu le regrettes ?-Oh certes non, tout au contraire maintenant que je sais pour voir jouir comme une dingue. -C’est vrai que tu jouis nettement mieux maintenant que chez nous, ma belle. à propos, le mariage, tu y tiens toujours ?-Plus que jamais si je peux choisir une robe qui aille avec mon nouveau statut.-Alors là, ma chérie, je te laisse carte blanche à une condition, que cette robe puisse être réutilisée ensuite. M’annonce mon Maître. -Le défi ne me semble pas trop difficile à tenir. Cependant, mes Maîtres, il y a une chose que Véro et moi désirerions. Oui, elle m’a parlé d’un de ses fantasmes, celui de porter des anneaux. Seulement, en tout premier, nous aimerions en porter deux dans un premier temps, un dans la cloison nasale et un autre sur le capuchon de nos clitoris. par la suite, Maîtres, vous pourriez continuer en nous en mettant sur nos tétons ou sur nos sexes. -Tu entends ça Paul ?-Mais voilà qui n’est pas pour nous déplaire, hein Jean !-Ça non, va pour les deux premiers. Autre chose ? Me demande mon Maître.-Oui mon Maître adoré, votre marque sur mon corps, votre titre de propriété à l’emplacement que vous choisirez.-Un tatouage comme Véro peut-être ? Demande Maître Paul.-Oui Maître Paul, exactement. -Parfait, on voit ça la semaine prochaine. Pour les anneaux, idem. Véro connait la personne qu’il faut. En plus, il vient à domicile. Ajoute Maître Paul.Pour ce soir, nous en restons là avec les souhaits. Nos Maîtres nous baisent comme des dieux, passant de Véro à moi, ils nous baisent toutes les deux parfois en me prenant tous les deux, une queue dans mon cul, l’autre dans ma chatte. Et Véro n’est pas en reste puisqu’elle subit le même délectable sort que moi. Ce matin, je le sais de source sûr, c’est vendredi. Oui, j’ai un calendrier sous les yeux. Avec Véro, nous préparons le déjeuner de nos princes, un déjeuner royal pour deux Maîtres merveilleux. Avec Véro, nous avons pris la décision de toujours être menottée, que cela soit nos mains sur le devant ou nos pieds avec une chaine plus longue pour pouvoir nous déplacer. Tout cela en plus de notre collier, le même pour toutes les deux, cette grosse menotte bien fermée et bloquée pour ne pas qu’on puisse la fermer trop et nous étrangler. La chaine bien entre nos seins, le plateau fixé en nos seins, nous voilà en train de marché en crabe pour délivre nos repas du matin. Pour nous, deux gamelles de céréale et un peu de lait nous suffit. Devant eux, chacun d’un côté du plateau, ils ne font pas que manger leurs tartines, on est aussi du menu, Véro et moi. Ensuite, on les lave, les deux ensembles et on les viole avec amour, mais pas trop pour qu’ils puissent nous baiser après. Pendant qu’ils s’habillent, Véro me confie que le tatoueur possède une queue digne de celles de nos Maîtres et qu’il baise comme un dieu. Je me réjouis d’avance de me donner à un autre devant nos Maîtres. Je veux leur prouver que je suis bien une salope tout comme Véro et j’en suis une, n’en doutez pas, une vraie de vraie.Histoire écrite d’un trait en deux petites heures

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Der Busfahrer mit dem Riesenschwengel Teil 6

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Der Busfahrer mit dem Riesenschwengel Teil 6Nächtliche Vergewohltätigung und Besuch bei Davids erstem Stecher„Das klappt schon…schieb ihn ruhig bis zum Anschlag in meinen Rachen…ich vertrage deinen Knüppel zur Gänze – versprochen.“ Ungläubig sah er wie sein vor ihm kniender junger Lover sein pralles Gerät ganz mühelos schluckte und bis zur Wurzel in seinem Mund unterbrachte. Seine gekonnte Blas- und Lutschtechnik brachte ihn in einen orgasmusähnlichen Zustand ohne ihn zu schnell zum Abspritzen zu bringen. Wie konnte das sein wo er doch sonst nicht einmal die Hälfte in der willigen Mundöffnung versenkte?Herr Leinberger wachte mit einem lauten Stöhnen aus seinem feuchten Traum auf. So realistisch hatte er solch einen Sextraum noch nie erlebt…noch völlig von diesem Eindruck überwältigt griff er nach seinem besten Stück. Zuerst fummelte er etwas nachlässig daran herum um ihn dann doch fest in seine Pratze zu nehmen. Er fühlte sich selbst für seine Verhältnisse enorm prall und hart an und er führte unter leisem Herumgestöhne einige feste Wichsbewegungen aus nur um sie bald darauf wieder abzubrechen. ‚Was macht dieser Bursche nur mit mir?’ dachte er im Stillen für sich. Die Straßenlaternen draußen sorgten für eine schwache doch gerade noch ausreichende Beleuchtung in der Schlafecke und er konnte seinen jungen Freund der friedlich schlafend neben ihm lag betrachten…so wie er es schon zuvor getan hatte. Der Radiowecker zeigte erst 3:20 Uhr an und es sollten eigentlich noch einige Stunden erholsamer Schlaf angesagt ein aber daran war für ihn erstmal nicht mehr zu denken. Vorsichtig zog er die dünne Bettdecke von seinem Liebhaber weg…er lag mit dem Kopf zur Wand halb auf der Seite halb auf dem Bauch wobei das rechte Bein angewinkelt war. Sanft fuhr er mit seiner Linken über die glatten kugelrunden Arschbacken während seine rechte Hand die eigene stocksteife Ramme kräftig abgriff. ‚Tut mir leid mein kleiner Geliebter aber es geht nicht anders’ sprach er noch leise mit sich selbst und erhob sich leise vom Bett.Über dem Kopfende befand sich ein kleines Regal worauf sich hinter einer Grünpflanze versteckt noch ein Fläschchen mit Gleitgel befand…dieses nahm er nun vom Regal runter und drückte eine gute Portion der glibberigen Masse in seine Hand und verteilte sie gründlich auf seinem Eumel während er den Rest vorsichtig in Davids Poritze unterbrachte und auch mal kurz zwei, drei Finger ins Loch steckte. Er näherte sich dem noch immer tief schlafenden Burschen von der Seite und brachte sein brennend heißes Folterwerkzeug zielsicher am aufnahmebereiten Hintereingang an in den er innerhalb der letzten Woche so oft eingedrungen war. Der Schließmuskel gab ganz leicht nach und schon steckte die dicke Eichel nebst ein paar Zentimetern des restlichen Schwanzes im warmen Arsch. Dieses Gefühl war für ihn durch nichts zu überbieten. David wurde erst jetzt wach und spürte natürlich sofort den fetten Eindringling in seinem Hintern. Automatisch schob er seinen Arsch nach hinten und spießte sich so förmlich selbst auf…allerdings noch ohne ihn komplett aufzunehmen.„Ooh…was für eine originelle Art geweckt zu werden“ meinte er noch ganz schlaftrunken. „Entschuldigung mein Kleiner aber ich bin wach geworden mit einem Mordsständer…ich hab nämlich von dir geträumt. Ich hoffe du bist mir nicht böse für diese halbe Vergewaltigung aber du hast ja selbst gesagt daß du ab und zu etwas handfester rangenommen werden möchtest. Ich muss dich jetzt einfach noch mal besteigen sonst platzt mir der Lümmel.“ „Das merke ich der zuckt ja schon wieder wie verrückt…lass mich aber erst meine bevorzugte Fickposition auf dem Rücken liegend einnehmen.“ Der Monsterriemen wurde kurz herausgezogen und die Fickstute rollte sich in die Mitte des Bettes. Die Knöchel wurden mit beiden Händen ergriffen und weit nach hinten gedrückt so daß der Arsch schön in die Höhe ragte. Ohne seine Hand zu Hilfe zu nehmen brachte Herr Leinberger seine Dauersalami in einer einzigen fließenden Bewegung wieder im Bubenarsch unter – und zwar gleich bis zum Anschlag. „Ja das ist auch meine Lieblingsstellung…da kann man so schön zugucken wie das Fickbündel sich vor Geilheit hin- und her windet.“ Er befand sich aufrecht auf seinen Knien und führte lang anhaltende Stöße durch wobei er den Großteil seines Kolbens herauszog nur um ihn gleich wieder bis zur Wurzel reinzuschieben. Das Loch war mittlerweile so gut eingefickt daß dies völlig problemlos vor sich ging – und geil schmatzende Geräusche produzierte wenn der Schwanz rein- aydın escort und raus fuhr.David beobachtete seinen Deckhengst ganz fasziniert bei seiner Arbeit. Durch die Dunkelheit konnte er seinen Liebhaber nur als riesenhafte Gestalt über sich erkennen ohne genaue Details zu sehen. Der bewegte seine Hüften nun mehr seitwärts so daß seine Stöße mal mehr auf die eine oder die andere Seite einwirkten was sich unglaublich geil anfühlte. Herr Leinberger beugte sich nun nach vorne sich auf seinen Händen abstützend wobei er aber seine neue Ficktechnik beibehielt. Sein so typisches gemächliches Ficktempo erhöhte sich wieder mit dem nahenden Höhepunkt ebenso wie die Lautstärke der beiden. Diesmal konnte David sich nicht zurückhalten und spritzte als Erster ab während er dabei vor Lust wimmerte. Das war auch für den Fickbären das Signal zum Kommen und nach ein paar letzten raschen Fickbewegungen entleerte er ebenfalls seine Eier wobei er ganz ruhig tief im Arsch steckend verharrte und zufrieden schnaufte. „Puh das war wirklich nötig…kaum zu glauben daß es gerade mal 5 Stunden her ist das du meinen Saft zuletzt herausgelutscht hast. Schön daß du auch noch mal gekommen bist…es ist unglaublich erregend wenn sich dein Schließmuskel beim Orgasmus um meinen Bolzen zusammenzieht.“ Der obligatorische ausgiebige Kuss folgte. „Begeben wir uns doch noch etwas in Morpheus’ Arme…jetzt haben wir uns ganz sicher noch ein paar erholsame Stündchen Schlaf verdient.“Gegen 8:00 Uhr waren beide Männer wieder wach und hatten sich gut erholt…nur Davids Hintern schmerzte etwas. Er nahm eine belebende Dusche während sein Freund das ausgiebige Frühstück vorbereitete. Dazu buk er etliche Brötchen im Backofen auf und warf auch den Toaster an. Dazu wurde frischer Kaffee aufgebrüht. David hatte sich inzwischen angezogen und begab sich zum Esstisch wo sich Albert bereits hingesetzt hatte nur im Morgenmantel bekleidet. „Willst du ein halbes Regiment verpflegen so viel wie du hier auffährst?“ „Kleiner Scherzbold…das Frühstück ist die wichtigste Mahlzeit des Tages und ich liebe es dies zu zelebrieren…vor allem mit dir.“ Beide begannen nun mit dem Morgenmahl wobei sie sich andauernd unter dem Tisch gegenseitig füßelten.Für heute Nachmittag war ein Besuch bei Peter, Davids erstem Mann und auch Ficker, geplant. „Mein erster Lover wird natürlich immer eine besondere Bedeutung für mich haben…vor allem weil er mein erster Fremdschwanz in Hand, Mund und Arsch war. Und weil es über mehrere Jahre ging. Wir waren aber nie verliebt ineinander oder so etwas. Ich habe aber trotzdem ein paar Vorbehalte wenn wir ihn besuchen…er ist nämlich mindestens ein so potenter Bock wie du. Ich kenne ihn gut und er will bestimmt einen flotten Dreier veranstalten. Das passt schlecht zu unserem Treueversprechen und ich würde ihn gerne als Freund behalten“ „Mach dir keinen Kopf deswegen…wir können ihn auf jeden Fall mal bei unserem Sex zuschauen lassen. Und wenn er Hand an dich legt ist das schon in Ordnung so und fällt nicht unter Fremdgehen. Ich bin diesem Mann sehr dankbar daß er dich so gut vorbereitet hat auf meinen Riesen und das werde ich ihm auch deutlich machen.“ „Mmh wie gesagt es war vor allem Sex und keine Liebe aber trotzdem bedeutsam für mich und ich fühle mich verpflichtet ihm die Tatsache meiner festen Beziehung zu dir zu erklären…ich habe aber Bedenken bei der Sache. Er ist ein ganz toller Kerl und ihr werdet gut miteinander klarkommen da bin ich mir sicher. Aber wenn wir einmal diese Grenze überschreiten und einen Dritten in unser Sexualleben reinlassen…warum sollte dies dann nicht ebenso mit einer weiteren Person passieren? Und ehrlich gesagt habe ich keine Lust dabei zu sein wenn irgendeine Tucke an dir herumschraubt.“ „Du hast ja Recht aber dazu gibt es keinen wirklichen Anlass…einfach deshalb weil es vor dir seit langer Zeit einfach niemand wichtigen gab wie es dein Peter für dich ohne Zweifel ist. Ich habe ewig lange gebraucht um über meine große enttäuschte Liebe hinwegzukommen damals als Anfangszwanziger…auch deswegen bin ich seinerzeit hierher gezogen. Und ich werde ganz sicher nichts riskieren was unserer Beziehung schaden könnte. Wer weiß vielleicht will dein Ex-Liebhaber ja gar nichts mehr von dir wenn er uns beide sieht.“ „Dein Wort in Gottes Gehörgang“ meinte David daraufhin nur.Es war mittlerweile früher Samstagnachmittag. David klingelte noch einmal bei Peter durch und sagte daß sie sich jetzt auf den Weg zu ihm machen. Dann stiegen die beiden in Herrn Leinbergers etwas angejahrten escort aydın dunkelgrünen 5er-BMW – ‚Spinat-metallic’ laut David – und fuhren los. Etwa 20 Minuten später hatte David und das Navi sie sicher ans Ziel gebracht. In diesen Viertel gab es eine ganze Menge kleinerer und größerer Villen aus der Gründerzeit und Peter wohnte in einer…oder genauer gesagt in deren oberer Hälfte. David klingelte unten am Tor und es wurde auch gleich darauf geöffnet. Die Holztreppe zur oberen Etage knarrte ganz schön als sein schwergewichtiger Begleiter dieselbe hochstieg. Peter stand auch schon in der Tür um die zwei in Empfang zu nehmen. Er umarmte erst einmal David, gab Herrn Leinberger die Hand und bat die beiden herein. Peter sah gut aus wie immer mit seinen 1,85m Körpergröße und seinem natürlich-muskulösen Körper. Er achtete sehr auf sich und trieb immer noch reichlich Sport in Form von Wandern, Radfahren und Schwimmen. Das Haupthaar war schon längst ergraut aber auch mit 59 noch dicht und voll wie eh und jeh. „Nun gut Albert dies hier ist Peter und Peter das ist mein Mann Albert. Vielleicht kennt ihr euch ja sogar.“ „Nur vom Sehen denke ich.“ gab Peter zurück. „Aber ich habe ja wahre Wunderdinge von ihnen gehört. Freut mich für dich David daß du so einen Prachtkerl an Land gezogen hast. Und für sie freue ich mich ebenfalls denn das ist ein echt lieber Junge.“ entgegnete er und fuhr David freundschaftlich durch sein Haar. „Das Witzige ist ja daß wir uns schon ewig lange kannten. Albert ist nämlich Arbeitskollege und Freund von meinem Vater und er war immer schon präsent solange ich denken kann.“ „Und wie habt ihr euch kennengelernt?“ fragte Herr Leinberger an Peter gerichtet. „Ich bin regelmäßiger Gassigänger im Tierheim hier in der Nähe und war mit einem niedlichen Bichon im Stadtwald unterwegs und David war auf einem seiner Ausflüge in die Natur. Nun wie es halt so läuft: Augenkontakt, ins Gespräch gekommen und meine Visitenkarte ihm in die Hand gedrückt. Er hat sich auch bald darauf bei mir gemeldet und der Rest ist Geschichte. David darf ich Albert unsere Bilder und Filme zeigen die wir zusammen gemacht haben?“ „Ja gerne…ich will die auch mal wieder anschauen. Etliche Polaroids aber das meiste ist auf dem PC.“ „Nun nicht mehr auf dem PC…ich habe diese Sachen auf CDs ausgelagert nur zur Sicherheit und auch als Backup. Ich fahre den Rechner gleich mal hoch.“„Albert du willst das doch bestimmt auch mal anschauen?“ fragte David seinen Freund. „Und wie…du hast gar nicht erwähnt daß ihr Filmchen und Bilder von euch gemacht habt…kann’s kaum erwarten.“ Der PC war mittlerweile fertig hochgefahren und die CD wurde ins Laufwerk gelegt. Eine Menge Bildergalerien und Clips wurden aufgezeigt und Peter begann sich durch die Dateien zu klicken. Herr Leinberger gingen förmlich die Augen über während sein fettes Teil ohnehin längst wieder die volle Größe erreicht hatte und das er nun andauernd knetete. David war noch einiges jünger auf vielen Pics und der vertrug sowohl Peters mehr als ansehnlichen Schwanz als auch die dicksten Dildos. Der Bengel wurde in jeder möglichen und unmöglichen Stellung durchgerammelt da er seine Gelenkigkeit voll ausnutzte. Auf anderen Aufnahmen war zu sehen wie die Hand des älteren Mannes fast ganz im kleinen Arsch verschwunden war…da fehlte höchstens noch ein Zentimeter und sie wäre ganz drin abgetaucht. „Die Faust habe ich nie ganz untergebracht…nicht daß ich es nicht oft genug versucht hätte“ meinte Peter schmunzelnd. Herr Leinberger war nun augenscheinlich bereits wieder auf 180 und gab vor lauter Geilheit irgendwelche unartikulierten Laute von sich. „Na das scheint aber jemandem zu gefallen…ihr zwei tut euch nur keinen Zwang an.“ David wandte sich seinem Mann zu wurde von ihm mit beiden Armen wie in einen Schraubstock gepackt und bekam dessen Zunge tief in seinen Mund verpasst.Kurz darauf begannen sich alle drei Männer zu entkleiden. Peter enthüllte daß auch er mit seinen 95 Kilos die er auf die Waage brachte kein Leichtgewicht war aber alles war schön fest und gut bemuskelt. Er hatte keinerlei sichtbare Körperbehaarung außer die auf seinem Kopf…auch die Schambehaarung war rasiert worden ebenso wie der dicke Sack. Wenn es Hochsommer wäre würde auch sein ganzer Körper nahtlos gebräunt sein wie es auf vielen der Bilder zu sehen war. Sein stattlicher 18×5 Schwanz hatte eine nach oben gerichtete Krümmung und stand waagerecht nach vorne ab. Nun fiel sein Blick auf das monströse Gerät von Herrn Leinberger das bereits von David sanft aydın escort bayan mit der Hand bearbeitet wurde. „Gute Güte das glaube ich ja nicht…David das musst du mir unbedingt zeigen wie du den in deinem Gierschlund aufnimmst. Aber sollten wir nicht vorher mal wieder ein paar der Gummischwänze zum Einsatz bringen…natürlich nur wenn es Albert recht ist.“ „Ja bitte mach es so ich will das unbedingt sehen.“ David begab sich nun zu einer Liege die sich im Wohnzimmer in einer Art Erker befand…dieselbe Liege auf der er einst seinen ersten Schwanz in den Arsch gedrückt bekam. Er befand sich auf allen Vieren und wackelte erwartungsfroh mit seinem Apfelpo hin und her.Peter kam mittlerweile mit den zwei dicksten Dildos, einer großen Flasche selbstgemachten Glitschgels und einer kleinen Flasche mit zum Ficken geeigneten Babyöl an. Albert gab ihm zu verstehen daß er das rosige Loch selbst einschmieren sollte. Zuerst nahm er das duftende Öl und verteilte die Substanz auf beide Arschbäckchen und in die Poritze so daß alles schön glänzte. Dann wurde die Dosierpumpe der großen Flasche ins Loch gesteckt und einige satte Strahlen der glitschigen kühlen Masse reingespritzt. Ein weiterer Spritzer wurde auf dem ersten Dildo verteilt der laut Peter 6,5 cm Durchmesser hatte und sogleich am erwartungsfrohen Eingang angesetzt wurde. Völlig problemlos glitt der Kunstschwanz rein und zwar bis zu den Eiern. Herr Leinberger bearbeitete währenddessen die ganze Zeit vorsichtig seinen granitharten Totschläger wobei er mit seiner linken Hand über den Arsch seines jungen Lovers fuhr und sogar einen und schließlich zwei seiner dicken Wurstfinger neben dem Dildo im Loch unterbrachte was den Bengel derbe aufstöhnen ließ. Die Finger und der erste Dildo wurden aber rasch wieder entfernt und der nächstdickere mit 7 cm Durchmesser wurde in Stellung gebracht. Auch der verschwand praktisch ohne Widerstand im aufnahmefähigen Darm allerdings nicht zur Gänze da er doch einiges länger war. David quengelte nun etwas herum da er statt der toten Gummischwänze endlich etwas Lebensechteres verpasst haben wollte.Peter zog den Dildo heraus und die beiden Männer bewunderten das perfekte ‚Gaping’ welches das aufgetriebene Loch produzierte. Beide hatten bereits jeweils zwei ihrer Finger reingesteckt aber da war immer noch reichlich Platz so daß Peter einen dritten hinzufügte. „Heute klappt es mit dem Faustfick da bin ich mir sicher.“ Albert gab nickend seine Zustimmung und Peter verteilte etliche Spritzer Gleitgel auf seine rechte Hand und noch ein paar mehr ins offenstehende Loch wo er bereits mit vier Fingern zugange war. Die drehte er langsam hin und her wobei er allmählich immer mehr von der Hand unterbrachte was problemlos klappte bis nur noch der Daumen draußen blieb. Jetzt zählte es aber…der Daumen wurde eng an die anderen Finger angelegt und Peter versuchte seine Hand möglichst schmal zu halten als er einen erneuten Versuch wagte. Er drückte gleichzeitig sowohl nach vorn und führte gleichzeitig eine drehende Bewegung entgegen dem Uhrzeigersinn aus…und diesmal konnte er spüren wie der Schließmuskel nachgab und plötzlich steckte seine Pratze bis zum Handgelenk drin. David akzeptierte den Eindringling unter lautem Ächzen und auch Herr Leinberger gab ein Keuchen von sich welches seine heftige Erregung anzeigte. Die Faust wurde nun unter ebensolchem Stöhnen und Ächzen wieder herausgezogen und Herr Leinbergers Herumwedeln mit seinem Dickschwanz machte klar daß er jetzt selbst dem gut gedehnten Arsch einen Besuch abstatten wollte.Peter nahm den geröteten warmen Prügel ungläubig staunend in die Hand und dirigierte ihn zur glitschigen Öffnung wo Herr Leinberger ihn gleich bis zum Anschlag hereindrückte…zum vierten Mal innerhalb von nicht einmal 24 Stunden. Während der ausgiebigen Wichsvorarbeit stand er mehrmals kurz vorm Abspritzen und so hielt er es nicht seht lange in dem warmen Gedärm aus. Bald zog er ruckartig seinen Rüssel raus und brachte schon wieder fünf heftige Salven seiner anscheinend unerschöpflichen Spermaproduktion auf dem Rücken seines Burschen zur Landung. Was auch Peter sogleich zum Höhepunkt brachte der nun selbst seine ansehnliche Ladung beisteuerte.Einige Zeit später saßen die drei Männer vereint und wieder bekleidet beim 5:00-Uhr-Kaffee und tauschten ihre Anekdoten aus. Wie von David prophezeit kamen die beiden wunderbar miteinander aus es wurde viel gelacht und getratscht. Peter versprach auch daß er eine Kopie der CD-ROM mit allen Bildern und Filmen der beiden für Albert anfertigen wolle. „Ich wollte ja schon eine für David anlegen aber er wollte die Sachen nicht bei sich zu Hause liegen haben. Eigentlich sehr klug von ihm…aber bei dir sind die Sachen sicher gut aufgehoben.“- Fortsetzung folgt –

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Pour sauvé l’emploi de mon mari 4 et fin

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Pour sauvé l’emploi de mon mari 4 et finInutile de dire que la nuit fut longue, allongé contre le sol. Et ma condition de prostitué personnel de mon employeur commence a me pesé. Il est temps que l’élève dépasse le maitre. Il est trop confiant avec moi et je vois des failles ce crée dans ce colosse. Mon mari a force de promotion est devenu le numéro deux dans son département, ce qui signifie que pour moi si il tombe je passerais de la gueuse a remplir de foutre a la nouvelle reine. Mais hors de question que je le fasse plongé pour une vulgaire affaire de harcèlement au travail. Il doit payer avec ce qu’il a de plus chère et pour lui c’est son pouvoir et son argent. Le lendemain rendez-vous d’affaire avec un client. Je doit porté une tenu très décolleté assez pour que a chaque fois que je me penche le client puisse admiré ma poitrine. Le rendez-vous commence, il parle de gros chiffre, je prend mon rôle de secrétaire très au sérieux, je vois en cela un moyen de le faire tombé.Après plusieurs minute, de discutions tendu avec son client mon patron me demande d’allé chercher des cafés.Je reviens avec deux cafés, il se tourne vers moi et me dit -Nous venons d’arrivé a un accord, notre chère client et d’accord de signé le contrat si vous vous montrez docile avec lui, ce soir.-Bien sur monsieur.Me voilà donc partie avec le client pour ça chambre d’hôtel. Il se tourne vers moi.-Il parait que vous n’avez pas froid aux yeux montré moi ça.-Je commence alors un strip tease présentant mes seins, mes hanches à lui. Je m’approche pour commencé une fellation je n’ai pas trop d’entrain après ma nuit difficile. Il a un regard assez doux. Me voyant sans passion il me fait me relevée. -Désolé, monsieur c’est le décalage horaire.-Je edirne escort bayan comprends allongé vous sur le dos, je reste un gentleman je ne peux vous laissé dans cette état.Je m’exécute, cela fait longtemps que l’on ne pas pris en missionnaire. Et je dois avouer que son regard me fait fondre. Il se présente face a moi et toujours de manière très douce viens en moi. Il fait des allé retour doucement et accélère de plus en plus vite. C’est divin. J’avais oublié cette sensation de se faire faire l’amour. Il se montre expérimenté avec une femme et viens souvent m’embrassé dans le coup ce qui monte mon extase a son paroxysme. Je hurle de joie de me faire ainsi prendre. Je me sens parfaitement remise de ma dur nuit. Je monte sur lui et fait des allé retour. Il prend mes seins dans sa bouche. Je pointe et mouille abondement. Je voudrais faire durer cela durant des heures. Lui aussi prend beaucoup de plaisir à me voir jouir de son pénis. Il fini par se terminé avec plusieurs soubresaut en moi. Je m’allonge sur lui on reste ainsi durant plusieurs minutes. -Mon patron est honnête ? Il rigole.-Non, c’est un enfoiré, la moitié va dans sa poche, c’est un voleur, mais on ne peut pas le faire tombé.-Tu es sure ? Tu as une preuve ?-Ouais pleins et je ne dois pas être le seul qu’il arnaque. Si tu a accès a son ordi perso tu prend sa comptabilité et il est mort.Ca je peux largement le faire, maintenant plus cas détourné son attention.En partant le client donne les contra et une enveloppe remplie de billet. Sur le retour je prends un disque dure assez grand pour copié tout son ordinateur. Il m’attend en peignoir je lui donnes les contrats. Il va aux toilette j’att**** sont ordinateur et commence a copié l’intégralité de escort edirne son ordinateur, une heure vingt. Il va falloir que je l’occupe tout se temps.Je me d’déshabille et me met a genou face a la porte des toilette, il ne faut pas qu’il regarde vers son ordinateur. Il sort, je me précipite sur son pénis comme assoiffé de sperme. Il faut que ce soit long et intense. Je le suce en m’étouffant, le prenant le plus loin possible dans ma gorge. Il prend ma tête et la colle contre son ventre. -Tu en a pas eu encore assez, ma jolie.Je reprend mon souffle et reviens à la charge, seulement dix minutes de passé. Ca va être rude pour mon corps. Je me mets a quatre patte, il vient me doigté sans ménagement et son autre main viens s’abattre sur mes fesse. Dix minutes de gagné encore une heure. Il att**** sa ceinture et l’abat sur mes fesses. La douleur est lancinante. Habitué du fouet je me rends compte que mon mari est très doux par rapport aux coups de mon supérieur. Il me relève pour venir s’occupé des mes seins. La douleur est affreuse mais je ne dois pas craquer c’est surement ma seul chance de gagné ma liberté. Je reprends ma fellation pour épargner ma poitrine d’autres coups. Il a l’air impressionné de mon endurance Mais le temps défile lentement en tout cas moins vite que ma volonté.Je suis rouge de ses multiples coups, il me retourne et commence à me prendre dans le vagin avec vigueur. Il me traite de tous les noms. Je sens les larmes me monté aux yeux de ma faire ainsi humilier. Il glisse dans mon anus et viens me sodomisé violement. Les larmes coules et mon cerveau est éteins cela dure depuis une éternité. Il éjacule dans mon anus. Je viens nettoyer son pénis. Je me sens soulagé de voir la fin de mon supplice. edirne escort Il sort pour prendre sa douche avec un air satisfait. Miracle l’intégralité de l’ordinateur est sauvegardée. Il est fini. Cela me remet de mes émotions je cache le disque dur. Le voyage se termine enfin. Retour en France. Bien sur sans quelque abus de pouvoir de mon patron. Mais ma vengeance est en route ce qui me permet de supporté ses assauts répété. De retour a la maison, j’avoue tout a mon mari, lui montres les vidéo. Il est sous le choque. De voir ça. Mais se montre très reconnaissant. Je lui présente mon plan.Après plusieurs recherches on constitue un dossier. On fini la soirée par un long cunie pour fêté sa futur promotion. Le lendemain direction le bureau, j’ai pris quelque accessoire en plus de ma clé usb. Mon patron n’est pas encore là. Je branche sur son ordinateur et met bien en évidence toutes les dossiers exels qui montre son détournement d’argent. Il arrive avec ça démarche de coq, je le suis pour voir sa tête quand il s’assoie derrière son bureau. Il devient de plus en plus pale au fur à mesure qu’il lit les fiches. Je brandie la clé usb devant lui. -Tu es foutu mon gros. C’est la fin pour toi mais je vais te faire payer ce que tu ma fais subir. Tu vas te mettre a quatre pate nu au milieu du bureau. Il bredouille, c’est la première fois que je le vois perdre se moyens. Je sens une vague de sadisme me noué le ventre quand il s’exécute. Je sort alors une cravache et commence a le fouetté sans retenu. J’en pleur presque de joie. Je le bâillonne pour ne pas avoir a supporté ses cris. Mon mari rentre aussi dans le bureau prend la cravache et lui donne de violent coup. Il est rouge de tout nos coup et nous assez vengé. Il a été renvoyé en trois jours, mon mari a pris ça place grâce aux excellents rapports écrit par mon patron sur lui. Et moi maintenant je prends toujours beaucoup de plaisir a accompagné mon nouveau patron aux quartes coins de la terre. FIN

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Zur Hure erzogen – Teil 11

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Zur Hure erzogen – Teil 11Mittlerweile hatte ich schon mit etlichen Männern Sex gehabt und es immer genossen. Orgasmusprobleme kannte ich nicht. Regelmäßig Sex zu haben war mir innerhalb kürzester Zeit zu einem grundlegenden Bedürfnis geworden. Aber es ging mir nicht nur um genitalen oder auch analen Sex, bei dem ich oft ebenso zum Höhepunkt kam, für mich war es fast ebenso geil, wenn ich einen Mann selbstlos mit dem Mund befriedigen konnte. Besonders geil war es für mich aber immer, wenn ein Typ eine härtere Gangart bevorzugte. Das hatte meine Mutter schon nach dem ersten derartigen Erlebnis, von dem ich ihr berichtete hatte, erkannt. Ich dagegen wollte mir vor mir selbst nicht eingestehen, dass ich vielleicht eine leicht masochistische Ader hatte und dass ich auf jeden Fall devot veranlagt bin. Denn ich hatte es für mich zwar akzeptiert, dass ich einen Hang zur Sexsucht hatte, aber sollte ein Mann eine Frau, mit der er ins Bett ging, nicht auch respektieren? Sollten Mann und Frau nicht auf einer Augenhöhe sein?Mama versuchte meine Bedenken zu zerstreuen: „Dir ist ja schon klar geworden, dass du, genau wie ich, dauergeil bist. Frauen wie wir brauchen Männer, die es uns ordentlich besorgen. Willst du von einem Mann respektiert werden oder willst du gefickt werden?“„Ich will schon gefickt werden. Es ist einfach so schön, wenn ich merke, wie geil ein Mann auf mich ist. Und wenn er mich dann fickt, dann ist das so ein unheimlich gutes Gefühl. Das ist so richtig. Das weiß ich automatisch, was ich zu tun habe und wie ich mich bewegen muss. Nicht so wie in der Schule, wo ich mich oft nicht auskenne und nicht weiß was ich machen soll. Aber was mich beunruhigt ist, dass es mich auch geil macht, wenn mich ein Mann beschimpft und mir vielleicht sogar weh tut.“„Warum beunruhigt dich das?“„Naja, man sagt ja, dass Männer Frauen nicht schlecht behandeln sollen. Und dass wir Frauen emanzipiert sein sollen, und dass wir gleiche Rechte haben sollen. Da passt das doch nicht zusammen, dass ich mich Männern unterordnen will.“„Hör auf mit Gleichberechtigung und Emanzipation und diesem ganzen Scheiß! Wir Frauen sind dazu auf der Welt, Männer zu bedienen und sie zu befriedigen. Das ist die natürliche Ordnung der Welt. In der Weltgeschichte war es ja auch schon immer so, dass die Männer die Geschicke bestimmt haben, und die Frauen waren dazu da, ihre Männer zu umsorgen. Das ist eine ganz natürlich Aufgabenverteilung und ich sehe nicht ein, warum irgendwelche Emanzen das jetzt krampfhaft ändern wollen.“Es beruhigte mich, dass meine Mutter das so sah, denn ich war in einem Alter, wo es mir unangenehm war, „anders“ zu sein. Wenn aber meine liebe Mutter die Dinge ebenso sah wie ich, konnte meine Veranlagung ja nicht so schlimm sein.So kam es, dass sie mich auch an meinen zweiten richtigen Kunden vermittelte. Sie sagte mir schon im Vorhinein, dass es ein Typ wäre, der eine etwas härtere Gangart bevorzugte.„Er hat mir gestanden, dass er gerne mal ein Teenie-Mädchen ordentlich hernehmen möchte. Da bist mir du eingefallen, weil ich mir denke, dass dir das gefallen könnte.“Offensichtlich schaute ich etwas skeptisch drein, denn sie beeilte sich mir zu versichern: „Keine Angst. Er wird sicher nichts von dir verlangen, dass der Kerl, der dich da unlängst aus der Disco abgeschleppt hat, nicht auch gemacht hat. Und wenn er dich wirklich überfordern sollte, kannst du es ihm klar sagen. Das habe ich mit ihm vereinbart. Und wenn er sich nicht daran hält, bekommt er es mit mir zu tun.“Das beruhigte mich einigermaßen. Und ich musste mir ja eingestehen, dass mich die Aussicht auf ein Erlebnis wie das mit Mike aus dem Club erregte.Als ich dann vor dem Haus stand, war ich etwas enttäuscht. Ein seelenloser Betonbau in einer riesigen Wohnhausanlage am Stadtrand. Meine Enttäuschung wurde nicht kleiner, als der Kunde die Tür öffnete. Er war ein kleiner, ziemlich unscheinbarer Typ. Ich vermutete, dass er wohl keine Frau abbekam und deswegen ein Mädchen suchte, wo er seinen Frust ablassen konnte. Und sei es auch gegen Bezahlung. Gut, in mir hatte er gefunden, was er suchte. tekirdağ escort bayan Ich hatte mich im l****a-Look hergerichtet: Mit einem kurzen rosa Kleidchen, das im 50er Jahre-Stil unten weit geschnitten war. Dazu trug ich Söckchen und relativ flache Schuhe. Schließlich hatte der Kunde ein junges Mädchen gewollt.„Hübsch“, meinte er dann auch, als er mich in die Wohnung gelassen hatte. Damit war es mit den Freundlichkeiten aber schon vorbei. Mit einer Bewegung, die keinen Widerspruch zuließ, zog er mich an sich. „Deine Mutter hat nicht gelogen. Du schaust wirklich gut aus. Naja, sie sieht ja auch geil aus. Und bist du auch so ein notgeiles Dreckstück wie sie?“„Du kannst es ja ausprobieren“, sagte ich in einem Anflug von Frechheit mit dem ich meine Unsicherheit zu überspielen versuchte.„Soso, frech bist du auch.“KLATSCH! Eine Ohrfeige landete in meinem Gesicht. Ich war so überrascht, dass ich gar nicht reagieren konnte.„Ich glaube, bei dir hapert es bei der Erziehung. Naja, kein Wunder, wenn kein Mann im Haus ist und die Mutter nie daheim ist und nur rumhurt. Oder brauchst du es einfach hart? Brauchst du mal einen richtigen Mann, der es dir ordentlich besorgt? Komm her.“Und er zog mich an sich und küsste mich.Als seine Zunge grob in meinen Mund eindrang, schmeckte ich intensiv, dass er nach Bier und Zigaretten roch.Er küsste mich hart und fordernd – und ich erwiderte seinen Kuss leidenschaftlich. Das schien ihm zu gefallen. Unsere Zungen umschlangen einander und wir schluckten jede Menge Spucke des anderen.Wie immer wenn ich geküsst wurde, wurde ich erregt und merkte, wie meine Scheide feucht wurde. Als hätte er das bemerkt, griff er mir an den Oberschenkel und ließ seine Hand zwischen meine Beine wandern.„Du geiles Stück … bist ja schon ganz nass“, konstatierte mein Lover als er mir ansatzlos zwei Finger in die Muschi steckte.Ich konnte es nicht leugnen und drückte mein Becken seinen Fingern entgegen.„Ja … ich bin geil … bitte fick mich“, bettelte ich während des Küssens.„Du geile kleine Schlampe … ich werd‘s dir besorgen!“, stöhnte er, während er an meinen Lippen herumkaute.Er biss mir in die Lippen! Es tat weh – aber gleichzeitig war es auch ein geiles Gefühl.Dass ich ihm nicht entzog, spornte ihn an, weiter zu gehen und nochmals zuzubeißen. Diesmal fester.Ich drückte mich an ihn und genoss die schmerzhafte, aber doch auch so geile Berührung, während er gleichzeitig mit seinen Fingern meine Fotze fickte. Ich merkte, wie es feucht über meine Lippen lief. Nach einem Moment wusste ich, was es war. Blut! Der Kerl hatte meine Lippe blutig gebissen!Ich dachte nicht lange nach und biss ihn ebenfalls in die Lippe.Er stockte nicht mal. Im Gegenteil, meine Reaktion schien ihn noch geiler zu machen. Wir verbissen uns regelrecht ineinander. In der Ekstase fühlte ich keinen Schmerz. Oder nein: Ich fühlte den Schmerz, aber er erregte mich!Seine Finger hatten meine nasse Spalte verlassen und er packte mich jetzt hart am Hintern und knetete meine Arschbacken.Dann packte er mein Kleid am Halsausschnitt und zog es mir mit einer schnellen Bewegung herunter. Dass es dabei am Rücken riss, war ihm offensichtlich vollkommen egal. Da ich keine Unterwäsche trug, stand ich nun nackt vor ihm.„Rasiert bist du kleines Flittchen auch schon“, stellt er mit einem dreckigen Grinsen fest. „„Du brauchst es hart und schmutzig, weil du tief in dir drin eine dreckige, versaute Hure bist, die es dringend nötig hat. Und die will raus … raus aus dir … die will losgelassen werden. Einfach Gas geben und Spaß haben … ohne Rücksicht, ob das okay ist. Ob es weh tut …“ Er packte mich an Haaren und zog sie nach unten, sodass ich auf die Knie gehen musste, „oder ob es … ekelig ist!“Mit diesen Worten zerrte er mich an den Haaren ins Badezimmer. Dabei verlor ich auch noch meine Schuhe und Söckchen. Und während er mich in die Dusche drängte, entledigte er sich seiner Kleidung. Als er nackt war, nahm ich den Geruch von Alkohol und Zigaretten, den er ausströmte, noch intensiver wahr.Ich kniete jetzt vor ihm und wollte seinen halbsteifen Schwanz in escort tekirdağ den Mund nehmen, als er plötzlich lospisste! Ich war völlig überrascht, als der Strom warmen Urins in mein Gesicht plätscherte. Natürlich hatte ich von meiner Mutter gehört, dass Natursektspiele für viele Leute eine sehr erregende Praktik waren, und ich hatte auch in Pornos gesehen, wie Leute einander anpinkelten, aber ich hatte nie ganz verstanden, wo der Kick dabei lag.Mit einem kräftigen Griff drückte er gegen mein Kiefer, sodass ich den Mund öffnen musste und er mir auch da hinein brunzen konnte. Ich schluckte ganz automatisch, um den Mund leer zu bekommen, der so überraschend mit Flüssigkeit gefüllt war. Selbst wenn ich es gewollt hätte, hätte ich nichts gegen diese Demütigung unternehmen können, denn er hielt mich so, dass jeder Widerstand zwecklos gewesen wäre.Doch nach dem ersten Fluchtreflex wollte ich mich gar nicht mehr wehren. Ich öffnete den Mund weiter, um möglichst viel von dem Natursekt schlucken zu können. Der Geschmack war mir egal, aber es erregte mich, etwas so Versautes zu machen.Und mein Kunde genoss mit unbeschreiblicher Heftigkeit, wie Strahl auf Strahl aus seinem Pissloch auf mich, die ich vor ihm kniete, plätscherte. Er lenkte jetzt den Strahl so, dass er nicht nur das Gesicht, sondern auch den Rest des Kopfes, meine Haare, meine Haut benässte. Mmeinen Mund benutzte er einfach als Toilette, als Klosettschüssel, in die man einfach hineinbrunzt, ohne sich lange Gedanken zu machen. Obwohl ich so etwas noch nie vorher gemacht hatte, schluckte ich eifrig den gelben Harn des Mannes über mir. Ich öffnete meinen Mund wieder, kaum dass ich die warme salzige Brühe genug gekostet und hinuntergeschluckt hat, öffnet ihn in ergebener Gier, ließ mir neuem begehrlich zwischen die aufgesperrten Lippen brunzen, den Rachen vollseichen. Und ich schluckte von neuem, wieder und immer wieder, ließ mir Schwall auf Schwall des Männerurins in die Kehle pissen. „Du Sau, du … du dreckige Sau. Dafür bist du gut … zum Pissesaufen. Ja, sauf nur alles“, schrie er fast.Es hatte wirklich eine ganze Menge in seiner Blase angesammelt, und ich fühlte schon wie sich mein Magen mit der intimen, warmen und streng riechenden Flüssigkeit füllte.Doch der Geschmack geilte mich auf. Und nicht nur der Geschmack. Nein, es ist auch dieses Gefühl des Ausgeliefertseins, dass ich die intimsten und erniedrigensten Dinge tun musste.Ich schluckte und schluckte, doch es war zu viel. Immer wieder lief es aus meinen Mundwinkeln über Hals und Titten den ganzen Körper hinunter wo es sich in der Dusche sammelte.Allmählich wurde der Druck weniger bevor der Strahl ganz versiegte. Mein Gesicht war voll Piss und der Lidschatten rannte in kleinen Bächen über meine Wangen herunter. Ich musste furchtbar aussehen.Ich hatte aber kaum Zeit, Luft zu holen, als er mir seinen Schwanz schon wieder in den Mund steckte.„Sauber machen!“, befahl er mir.Hingebungsvoll begann ich an seinem Schwengel zu lutschen, der in meinem erfahrenen Mund zu voller Größe anwuchs. Der Typ war zufrieden.„Blasen kannst du ja schon ganz gut … und die Hände lass schön auf deinem Rücken.“Er zog ihn fast ganz heraus, um ihn mir gleich darauf wieder bis zum Ansatz in den Mund zu schieben. Ich spürte, wie es mir hochkam, schluckte es aber tapfer wieder hinunter. Diesmal zog er seinen Schwanz ganz aus meinem Mund heraus, wobei ein langer Speichelfaden zwischen uns hängen blieb.KLATSCH, bekam ich eine Ohrfeige.„Du geiles Dreckstück …, das brauchst du doch!“ Und noch einmal knallte er mir eine, diesmal auf die andere Wange.Dann rammte er mir seinen Mast wieder in den Hals und orgelte nun immer wieder in meinen Mund.Als ich schon dachte, dass er bald abspritzen würde, packte er mich plötzlich, zog mich aus der Dusche und zwang mich auf die Knie – den Kopf drückte er auf die glatten Fliesen, den Hintern hielt ich unweigerlich in die Höhe gereckt.„Ich will deinen Arsch!“, fauchte er mich an. Die Art, wie er mit mir umging, geilte mich total auf.Er spuckte nur kurz auf die Rosette und spaltete dann ohne Gleitmittel tekirdağ escort mit seinem knochenharten Prügel meinen Schließmuskel.„Aaauuuuhhh!“, jaulte ich auf. Der Schmerz war noch größer als damals, als dieser Mike aus der Disco meinen Arsch vergewaltigt hatte. Ich hatte gar keine Zeit, mich zu verkrampfen, sodass mein Ficker nun meine Muskeln durchschnitt wie heißer Stahl durch Butter. Instinktiv versuchte ich mich ihm zu entziehen, aber er hielt meine Schultern nach unten, was mir ein Entkommen völlig unmöglich machte. „Aaah, herrlich eng“, schnaubte er, als er mir seinen Pflock nun in die Eingeweide bohrte. Wieder füllten sich meine Augen mit Tränen. Meine Hände hatte ich zu Fäusten verkrampft, um den Schmerz besser ertragen zu können. Als er seinen Harten nun fast ganz zurückzog, bis nur mehr die Eichel in meinem Schließmuskel steckte, glaubte ich, mich anscheißen zu müssen. Aber sofort jagte er mir sein Ding wieder in den Darm, sodass mir Hören und Sehen verging!Dann zog er seinen Schwanz sogar ganz heraus und ich spürte, wie mein Arschloch nun offen klaffte. Er genoss offenbar den Anblick, bevor er mir seine geschwollene Männlichkeit wieder tief in den After steckte.Er begann nun, mit schnellen Stößen meinen Arsch zu ficken.Ich jaulte und jammerte, aber das schien ihn nur noch mehr anzuspornen. Ich war für ihn nur wie eine Gummipuppe, an der er seine Gier befriedigte. Doch wie bei meinen ersten Arschficks ließ der Schmerz rasch nach und die Lust übermannte mich. Auch diesmal verwandelte ich mich schnell vom unschuldigen Teenager zur arschgeilen Schlampe. „Ja, … bitte … fick mich! Fick mich in den Arsch“, hörte ich mich flehen. Ich konnte nichts dagegen tun, es kam einfach aus mir heraus.Er erhörte meine Bitte.„Das kannst du haben, du geile Drecksau!“Und wieder rammte er mir seinen fetten Pflock bis zum Heft in die Gedärme. Er begann nun, mich in schnellem Rhythmus zu ficken. Meine Analwände massierten seinen pumpenden Schaft. Es bereitete ihm offensichtlich enorme Lust, meinen kleinen knackigen Hintern durchzuorgeln. Ich wusste, dass sich die Muskeln meiner Hüften beim Zugreifen straff und fest anfühlten. Die Muskeln in meinem Arsch dagegen legten sich heiß und eng um seinen Schwanz. Er ergriff meine Handgelenke und zog mich an sich, sodass ich ins Hohlkreuz gehen musste. Als er sich dann zurück lehnte, kamen unsere Körper in eine vollkommene Balance. Mein Oberkörper war nun zurück gewölbt wie bei der Galionsfigur eines Segelschiffes. So war ich seinen festen Stößen schutzlos ausgeliefert. Sein Becken klatschte gegen meine Pobacken. Meine noch von seiner Pisse nassen Haare hingen mir wild ins Gesicht. Ich war nur ein geiles Stück Fleisch!Und ich merkte, wie ich mich nun rasch einem Orgasmus näherte. Gierig drückte ich meinen Arsch nun seinen Stößen entgegen als mich der Höhepunkt übermannte.„Uuu …. Uuuaaa!“ schrie ich und bäumte mich so gut es mit den zurückgezogenen Armen ging, auf.Ich hätte mich gerne fallen gelassen, aber mein Ficker ließ mir keine Zeit zum erholen. Dass ich gerade einen heftigen Analorgasmus erlebt hatte, war ihm egal. Er vögelte unbeeindruckt weiter meinen HinternPlötzlich zog er sich aus meinem Darm zurück, stand auf, packte mich an der Schulter und drehte mich zu sich. Erst als er mir seinen Schwanz vors Gesicht hielt, verstand ich, was er von mir wollte. Gierig stürzte ich mich auf seinen Mast, um ihn bis zum Anschlag in ihren Hals zu stecken. Dass sein Schwanz gerade noch in meinem Arsch gesteckt hatte, war mir vollkommen egal. Ja, die Vorstellung, etwas Versautes zu machen, erregte mich sogar noch zusätzlich. Er packte mich wieder am Kopf und fickte meinen Kopf. Er selbst bewegte sich kaum, sondern stieß meinen offenen Mund immer wieder auf seine Lanze. Sein stöhnen wurde lauter, während mir die Spucke in Strömen aus dem Mund lief.Während er nun laut aufstöhnte, zuckte sein Schwanz und ich spürte den druckvollen heißen Schwall seines Samens. Unter heftigem Stöhnen spritzte er mir seinen Saft bis auf die Mandeln. Gierig saugte und schluckte ich sein geiles Sperma. Was für ein Gefühl den Mund gefüllt zu bekommen! Schub um Schub spritzte er und ich schluckte den ganzen Mund voll. Nur langsam versiegte seine Flut. Ein letztes Mal zuckte er und entzog mir seinen Schwanz. Nichts war vorbeigegangen und ich hatte seine ganz Ladung in meinem Magen.

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